Je ne peux être taxé d'anti-Corse. Parce que j'aime la Corse et parce que j'aime les Corses, et les nombreux amis Corses que j'ai. Et c'est parce que je me sens proche, intellectuellement et viscéralement, de la Corse, que je peux être trés dur dans mes termes et dans mon approche de ce conflit de la SNCM.
D'abord les faits. La SNCM est une boite qui tous les mois perd un pognon fou. A coté de ça, une comapgnie "privé", qui répond néanmoins à un cahier des charges publics, Corsica Ferries, gagne de l'argent, et rend un service de grande qualité. Que faire donc de la SNCM ?
Là, nous avons la partie "syndicat" qui s'y met. Le futur syndiqué que je suis ne va là pas encore être taxé "d'antisyndicalisme" en disant que dans ce cas précis de la SNCM, les syndicats CGT et travailleurs corses sont des fossoyeurs véritables.
Quelles sont leurs revendications :
* Lors des conflits qui ont duré plusieurs mois, c'était la "préférence corse" pour les embauches... Lorsque Le Pen en parle dans ses discours, c'est du fascisme. Lorsque Megret, Maire de Vitrolles, le met en place dans sa ville pour les emplois locaux, il est (à juste titre) condamné par le conseil d'Etat. Et là, ce syndicat "gauche - corse nationale" lance un mouvement qui détruit la compagnie, et cela passe ... Le prefet accepte ces conditions... Bon, déjà ça commence...
* Que l'Etat garde le contrôle de la Compagnie. Ceux sont les mêmes qui tirent des obus sur les préfectures et plastiquent des marques de l'Etat en Corse, voulant que ce dernier se retire de l'ile, qui demandent, pour leurs conforts personnels, que l'Etat reste actionnaire majoritaire de la SNCM... Pour surtout éviter une restructuration nécessaire d'une boite qui perd du fric !
Ensuite, les coups d'éclats à la limite du terrorisme, les secrestations de personnels et de directeurs, et toutes ces actions qui sont considérées comme "syndicales", mais qui sont en fait des opérations de bandits, je n'en parlerai pas.
Mais je finirai par une seule remarque. Le budget de l'Etat possede un trou de 1000 Milliards d'Euros. Les hopitaux sont exangues, on a pas suffisament d'effectifs dans les tribunaux et les commissariats. Et jamais le pouvoir d'achats des fonctionnaires et des salariés n'a été aussi faible. Le prix de l'essence ne cesse d'augmenter (ainsi que la TIPP..) et les impots locaux en font de même. Et là, on nous demande de continuer à renflouer le trou d'une compagnie maritime qui n'a rien, mais alors rien, de service public ? Je ne suis plus d'accord.
Non, là, c'est trop ! Alors qu'on laisse travailler Corsica Ferries qui fait bien son taf, qu'on privatise la SNCM. Et qu'on demande leurs avis aux Corses, au vrai. Veulent ils continuer de voir leurs iles truandée et terrorisée par une bande infime qui instaure un régime de terreur quasi mafieux sur cette ile qui est tellement merveilleuse ?
Napoleon Bonaparte, si tu étais là, toi le vrai Corse qui a tant fait pour la France, tu nous donnerai, sans doute, une bien belle réponse...
D'abord les faits. La SNCM est une boite qui tous les mois perd un pognon fou. A coté de ça, une comapgnie "privé", qui répond néanmoins à un cahier des charges publics, Corsica Ferries, gagne de l'argent, et rend un service de grande qualité. Que faire donc de la SNCM ?
Là, nous avons la partie "syndicat" qui s'y met. Le futur syndiqué que je suis ne va là pas encore être taxé "d'antisyndicalisme" en disant que dans ce cas précis de la SNCM, les syndicats CGT et travailleurs corses sont des fossoyeurs véritables.
Quelles sont leurs revendications :
* Lors des conflits qui ont duré plusieurs mois, c'était la "préférence corse" pour les embauches... Lorsque Le Pen en parle dans ses discours, c'est du fascisme. Lorsque Megret, Maire de Vitrolles, le met en place dans sa ville pour les emplois locaux, il est (à juste titre) condamné par le conseil d'Etat. Et là, ce syndicat "gauche - corse nationale" lance un mouvement qui détruit la compagnie, et cela passe ... Le prefet accepte ces conditions... Bon, déjà ça commence...
* Que l'Etat garde le contrôle de la Compagnie. Ceux sont les mêmes qui tirent des obus sur les préfectures et plastiquent des marques de l'Etat en Corse, voulant que ce dernier se retire de l'ile, qui demandent, pour leurs conforts personnels, que l'Etat reste actionnaire majoritaire de la SNCM... Pour surtout éviter une restructuration nécessaire d'une boite qui perd du fric !
Ensuite, les coups d'éclats à la limite du terrorisme, les secrestations de personnels et de directeurs, et toutes ces actions qui sont considérées comme "syndicales", mais qui sont en fait des opérations de bandits, je n'en parlerai pas.
Mais je finirai par une seule remarque. Le budget de l'Etat possede un trou de 1000 Milliards d'Euros. Les hopitaux sont exangues, on a pas suffisament d'effectifs dans les tribunaux et les commissariats. Et jamais le pouvoir d'achats des fonctionnaires et des salariés n'a été aussi faible. Le prix de l'essence ne cesse d'augmenter (ainsi que la TIPP..) et les impots locaux en font de même. Et là, on nous demande de continuer à renflouer le trou d'une compagnie maritime qui n'a rien, mais alors rien, de service public ? Je ne suis plus d'accord.
Non, là, c'est trop ! Alors qu'on laisse travailler Corsica Ferries qui fait bien son taf, qu'on privatise la SNCM. Et qu'on demande leurs avis aux Corses, au vrai. Veulent ils continuer de voir leurs iles truandée et terrorisée par une bande infime qui instaure un régime de terreur quasi mafieux sur cette ile qui est tellement merveilleuse ?
Napoleon Bonaparte, si tu étais là, toi le vrai Corse qui a tant fait pour la France, tu nous donnerai, sans doute, une bien belle réponse...
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