HADOPI sera revotée à l’assemblée nationale. Normalement le 5 Mai. Le même jour, le parlement européen revotera le « paquet télécom », dans lequel reste présent l’amendement Bono, qui risque de rendre caduque HADOPI. Ce même si Christine Albanel dit qu’elle s’assoira dessus le vote du parlement européen… Remarquez, elle et le gouvernement s’est déjà assise sur le vote du parlement français, qui a déjà rejeté HADOPI le 9 Avril.
Nicolas Sarkozy avait promis que le réforme de la constitution, c’était plus de pouvoir pour le parlement. En voilà la preuve : quand il ne vote pas comme le veut le pouvoir, c’est comme le peuple : on le refait voter, ou bien on passe en force. Après ça, déplacez vous aux urnes, gentils français : pour ce que ça sert…
Dormez tranquilles, mes amis les artistes et maisons de disques, le présumé coupable internaute paiera d’une façon ou d’une autre…
Dans les quelques dernières lectures à propos d’HADOPI (vive le site Numérama), un billet de Philippe Astor expliquant pourquoi l’obsession de Sarkozy révolte les internautes. Numérama cite ce billet en mettant en avant cette phrase qui explique résume beaucoup de sentiments :
« Ce système, au demeurant, n'offre aucune perspective d'avenir aux jeunes, tout en leur faisant déjà mesurer le poids de la facture qu'ils auront à payer - climatique, environnementale, économique, etc. Il sauve la peau de banquiers dont l'irresponsabilité a fait partir des milliers de milliards de dollars en fumée, mais plonge leurs parents et des pans entiers de l'humanité dans la précarité. Il ne prévoit aucune sanction contre les financiers de haut vol qui ont mis l'économie mondiale à genoux par excès d'avidité, mais veut couper l'accès à Internet de ceux qui téléchargent des chansons sans payer »
A lire aussi, pour s donner un peu de baumes au cœur :
* Rejeter HADOPI, c’est possible, par Christelle de Cremiers ;
* 8 bonnes raisons de dire oui à HADOPI : sourions un peu, il nous reste au moins ça ;
* Enfin, en rajout de dernière minute, mon copain Rubin qui rappelle que les pirates, ça vole des bateaux, pas des chansons...
Nicolas Sarkozy avait promis que le réforme de la constitution, c’était plus de pouvoir pour le parlement. En voilà la preuve : quand il ne vote pas comme le veut le pouvoir, c’est comme le peuple : on le refait voter, ou bien on passe en force. Après ça, déplacez vous aux urnes, gentils français : pour ce que ça sert…
Dormez tranquilles, mes amis les artistes et maisons de disques, le présumé coupable internaute paiera d’une façon ou d’une autre…
Dans les quelques dernières lectures à propos d’HADOPI (vive le site Numérama), un billet de Philippe Astor expliquant pourquoi l’obsession de Sarkozy révolte les internautes. Numérama cite ce billet en mettant en avant cette phrase qui explique résume beaucoup de sentiments :
« Ce système, au demeurant, n'offre aucune perspective d'avenir aux jeunes, tout en leur faisant déjà mesurer le poids de la facture qu'ils auront à payer - climatique, environnementale, économique, etc. Il sauve la peau de banquiers dont l'irresponsabilité a fait partir des milliers de milliards de dollars en fumée, mais plonge leurs parents et des pans entiers de l'humanité dans la précarité. Il ne prévoit aucune sanction contre les financiers de haut vol qui ont mis l'économie mondiale à genoux par excès d'avidité, mais veut couper l'accès à Internet de ceux qui téléchargent des chansons sans payer »
A lire aussi, pour s donner un peu de baumes au cœur :
* Rejeter HADOPI, c’est possible, par Christelle de Cremiers ;
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