Ce petit mamifère qui ferait craquer mes amies marseillaises ou lorraines m'accueille tous les soirs quand je rentre du boulot. Il est allongé à quelques encablures de là où je gare ma Modus. Il se retourne, me voit sortir de la voiture, me salut d'un "miaaaou" dont j'ignore la signification. Puis se lève paisiblement, et s'en va dans les champs en face de ma maison.
Et la journée, parfois, je le vois. Hier, mon amie est allé le prendre en photo. Et tout à l'heure, alors que j'ouvre les volets suite à une pénible nuit, je le vois aussi. Il tourne la tête vers moi, esquisse une bruit, puis continue sa vie comme si je n'existais pas.
Pourtant ce chat est blanc. Un peu gris sur les bords, un peu sale sans doute, mais en aucun cas il est noir. Par conséquent, d'autres symboles expliquent ma journée de hier, assez pénible. Mauvaise.
Un mal de dos, d'abord pour rester sur mon nombril, qui va de mal en pi. Avec un plus des anti-inflamatoires qui sapent le ventre et m'ont fait passer la nuit à pleurer, à aller des toilettes à mon lit en passant par le canapé pour être assis.
Puis à coté de ça, le père de mon ami qui rentre à l'hopital à StEtienne. Aujourd'hui, parce que hier elle ne voulait pas me laisser toute seule et qu'elle est gentille, elle est montée faire un aller-retour Roquemaure - StEtienne. 2 heures de route, fois deux donc. Son père va mieux, mais c'est pas encore ça.
Je passe une connection WiFi que je n'arrive plus à configurer, une adresse IP à la con, et une holtine Wanadoo qui va probablement me faire passer à la concurence trés vite car j'en ai marre. Pour arriver à la finale de la Coupe de France, qui aura fait pleurer dans les chaumières du Sud. Je dis ça, que j'étais triste, en plus d'être malade. Je dis ça et je dis pas plus, j'ai pas envie de parler plus, d'analyser, ou de polémiquer. Je suis extrémement triste, pas en forme en plus. Et c'est pénible, j'aime pas.
Dans toute période, il y a des zones d'ombre où la roue est dans une position défavorable. Aprés un début de 2007 pharaonique pour moi, qu'il y ait une turbulence est logique, on ne peut pas qu'être heureux. Et ça aide à apprécier les chouettes moments, des moments plus difficiles.
Allez, je vais m'allonger. Ou pas. Enfin je vais essayer de me soulager ce dos. Et peut être retouver chatoutblanc. La prochaine fois, je parlerai des chiens qui viennent nous voir...
Et la journée, parfois, je le vois. Hier, mon amie est allé le prendre en photo. Et tout à l'heure, alors que j'ouvre les volets suite à une pénible nuit, je le vois aussi. Il tourne la tête vers moi, esquisse une bruit, puis continue sa vie comme si je n'existais pas.
Pourtant ce chat est blanc. Un peu gris sur les bords, un peu sale sans doute, mais en aucun cas il est noir. Par conséquent, d'autres symboles expliquent ma journée de hier, assez pénible. Mauvaise.
Un mal de dos, d'abord pour rester sur mon nombril, qui va de mal en pi. Avec un plus des anti-inflamatoires qui sapent le ventre et m'ont fait passer la nuit à pleurer, à aller des toilettes à mon lit en passant par le canapé pour être assis.
Puis à coté de ça, le père de mon ami qui rentre à l'hopital à StEtienne. Aujourd'hui, parce que hier elle ne voulait pas me laisser toute seule et qu'elle est gentille, elle est montée faire un aller-retour Roquemaure - StEtienne. 2 heures de route, fois deux donc. Son père va mieux, mais c'est pas encore ça.
Je passe une connection WiFi que je n'arrive plus à configurer, une adresse IP à la con, et une holtine Wanadoo qui va probablement me faire passer à la concurence trés vite car j'en ai marre. Pour arriver à la finale de la Coupe de France, qui aura fait pleurer dans les chaumières du Sud. Je dis ça, que j'étais triste, en plus d'être malade. Je dis ça et je dis pas plus, j'ai pas envie de parler plus, d'analyser, ou de polémiquer. Je suis extrémement triste, pas en forme en plus. Et c'est pénible, j'aime pas.
Dans toute période, il y a des zones d'ombre où la roue est dans une position défavorable. Aprés un début de 2007 pharaonique pour moi, qu'il y ait une turbulence est logique, on ne peut pas qu'être heureux. Et ça aide à apprécier les chouettes moments, des moments plus difficiles.
Allez, je vais m'allonger. Ou pas. Enfin je vais essayer de me soulager ce dos. Et peut être retouver chatoutblanc. La prochaine fois, je parlerai des chiens qui viennent nous voir...
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