J'avais pris ces photos en début de mois d'Octobre. Le lendemain de mon anniversaire, moral loin en dessous de zéro. Pour pleins de raisons (absences qui me font toujours de la peine, évenements personnels pas marrants, et sentiments qui demeure d'une solitude assez pernicieuse et désagréable...). Et quand pas le moral, je prend mon vélo et je roule. Accessoirement, je vais chez maman politique, une ancienne conseillère régionale avec d'anciennes hautes responsabilités nationales au RPR d'Alain Juppé. Et qui a toujours été plus qu'une simple conseillère politique pour moi. Une deuxième maman, celle en tous cas je n'ai pas eu peur de parler quand ça n'allait pas.
Ce jour là du 5 Octobre, ça n'allait pas du tout. Et rentrant le soir chez moi, sur mon même petit vélo vieux de deux mois, ça allait mieux. Efficace, non ?
L'objet de ce billet n'est pas tant de parler de mes états d'ame qui demeurent, même si j'ai vraiment tout pour être heureux. Notamment hier soir un chouette repas au restaurant avec Falconette. Et juste avant rencontre du bébé de celle qui la première aura fait battre ce petit coeur d'orichalque, et qui me fait penser que toutes mes anciennes histoires de coeur n'auront pas été toute faite d'une triste amertume. Dont le gout perdure douloureusement quelques années plus tard...
Non, juste faire un billet écolotriste. Il fait chaud. Il fait un grand soleil. Et j'aime les Toussaints gris et pluvieuses, où on regarde "Ghost Hunt" dans le canapé alors que dehors il fait trés froid et trés gris. Hier, le soleil était brillant. Esteban, fils du soleil, avait trop bien fait son travail : il devrait être en congé la semaine de Toussaint.
Si j'avais roulé sur les hauteurs du village de Sauveterre, j'aurais eu la même image sans doute. Ces vignes jaunes et orangées sous le soleil bleu et chaud. 20°C, ça fait quand même beaucoup pour un 1er Novembre...
Billet avant d'aller rouler en vallée de Cèze. Chez mon papa politique tiens. On reste "en famille", même si des fois elle nous fait de la peine et nous oblige à aller pleurer dans les jupons de maman politique.
Mais il fait beau. C'est le plus important ? Ou le plus triste, c'est selon si on est soit nostalgique, soit écologiste préoccupé par le réchauffement climatique de la Toussaint.
Bonne journée à tous, qu'il fasse un temps de Toussaint, ou pas.
Ce jour là du 5 Octobre, ça n'allait pas du tout. Et rentrant le soir chez moi, sur mon même petit vélo vieux de deux mois, ça allait mieux. Efficace, non ?
L'objet de ce billet n'est pas tant de parler de mes états d'ame qui demeurent, même si j'ai vraiment tout pour être heureux. Notamment hier soir un chouette repas au restaurant avec Falconette. Et juste avant rencontre du bébé de celle qui la première aura fait battre ce petit coeur d'orichalque, et qui me fait penser que toutes mes anciennes histoires de coeur n'auront pas été toute faite d'une triste amertume. Dont le gout perdure douloureusement quelques années plus tard...
Non, juste faire un billet écolotriste. Il fait chaud. Il fait un grand soleil. Et j'aime les Toussaints gris et pluvieuses, où on regarde "Ghost Hunt" dans le canapé alors que dehors il fait trés froid et trés gris. Hier, le soleil était brillant. Esteban, fils du soleil, avait trop bien fait son travail : il devrait être en congé la semaine de Toussaint.
Si j'avais roulé sur les hauteurs du village de Sauveterre, j'aurais eu la même image sans doute. Ces vignes jaunes et orangées sous le soleil bleu et chaud. 20°C, ça fait quand même beaucoup pour un 1er Novembre...
Billet avant d'aller rouler en vallée de Cèze. Chez mon papa politique tiens. On reste "en famille", même si des fois elle nous fait de la peine et nous oblige à aller pleurer dans les jupons de maman politique.
Mais il fait beau. C'est le plus important ? Ou le plus triste, c'est selon si on est soit nostalgique, soit écologiste préoccupé par le réchauffement climatique de la Toussaint.
Bonne journée à tous, qu'il fasse un temps de Toussaint, ou pas.
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