Dimanche en pyjama...

Et ne rien faire... Il fait froid dehors... Regardez la télé, du foot, des séries, des trucs cons hypnotisant...
Il fait soleil pourtant, mais non... On sera plus efficace demain, le mois de décembre sera dur avant Noel...

Dimanche en pyjama...

Et ne rien faire... Il fait froid dehors... Regardez la télé, du foot, des séries, des trucs cons hypnotisant...
Il fait soleil pourtant, mais non... On sera plus efficace demain, le mois de décembre sera dur avant Noel...

Blue (Cowboy Beebop - Mai Yanamé), et reflexions sur une France d'en haut qui s'isole...


Le froid est arrivé. J'aurais pu mettre Hyoga ou Camus à l'honneur. J'ai voulu mettre une des plus belles chansons de l'animation japonaise au premier rang de mon billet japano-musical du samedi. Blue, la dernière chanson de l'animé Cowboy Beebop qui a vraiment marqué la fin du XXeme siècle... La voix de l'admirable Mai Yanamé sublime la composition de la non moins admirable Yoko Kanno.
Ajoutons à ça le final de Cowboy Beebop, et on obtient un des meilleurs morceaux d'animation japonaise... A mon modeste avis.

Sur le reste, pas grand chose à dire... Il faut dire que maintenant que la guerre des boutons est finie au Parti Socialiste, je n'irai pas jusqu'à dire qu'on s'emmerde, mais c'est plus calme...
J'aurais pu parler de la "fronde" des maires de France... Le maire de mon ancien village a failli s'être vu condamné pour ne pas avoir appliqué le service minimum. Il est pourtant de droite. Mais il est maire d'un village de 1300 âmes, avec seulement 7 employés municipaux. Dont aucun disponible, mais surtout compétent, pour garder des enfants. On fait comment ?

D'une manière générale, il faudra bien un jour s'interroger sur ces décisions qui viennent de tout en haut, et profondément inapplicable au niveau de la base. On entend ci et là le projet de supprimer les premières années de maternelle. Désengagement de l'Etat au niveau de la petite enfance, et amusez vous collectivités locales pour faire ce travail là, nécessaire... Stupide. Et dangereux, la politique de gens de tout en haut qui ne connaissent pas le "tout en bas", la France des petites villes et villages.
Nicolas Sarkozy était maire pourtant... Bon d'accord, Neuilly, c'est pas la France, c'est vrai...

Et on en revient toujours à l'arrogance et l'humilité, indispensable à tous les niveaux. Quand Rachida Dati fait une carte judiciaire en regardant tout le monde, magistrats ou élus locaux, du haut de sa tour d'argent, cela provoque cet incendie qui brule Vendôme et tous ses tableaux. Quand Nicolas Sarkozy décide, en Roi tout puissant plus qu'en démocrate élu par le petit peuple, de supprimer la pub sur le service public ou d'obliger les mairies à remplacer l'éducation nationale en cas de défaillance de celle ci, il provoque des colères de gens qui ne lui sont pas forcément défavorables... Et des colères qui ne sont peut être pas illégitimes.

Finalement, on part de Cowboy Beebop pour finir sur Sarkozy. Et sur une phrase politique que je n'ai pas trouvé idiote cette semaine, de la part de mon médecin généraliste : "la principale opposition à Sarkozy pourrait être simplement l'UMP". Oui, sauf si ceux sont ses affidés qui sont à sa tête, car je ne vois pas Devedjian ou Hortefeux aller contre l'Elysée. Aller contre celui qui les nourris et qui fait ce qu'ils sont : militantisme d'interet, on en a déjà parlé ici...
Mais si c'est la "droite" républicaine dans son ensemble, des centristes aux gaullistes traditionnels, en passant par les radicaux et libéraux du travail (et pas du capital et des fils à papa), cela pourrait faire quelque chose...
Oh, il y aura toujours la gauche extrême pour bruler les quelques morceaux de bois restant, et attiser des haines sourdes... Mais Besancenot et Le Pen, même si je les imagine reprendre du poil de la bête en ce moment, ce que j'en pense... Tuer la peste en lui injectant le virus du choléra, je trouve ça pas forcément efficace...

Et en plus il ne fait pas beau... Et si on restait le weekend au lit ? Conclusion tirée par les cheveux pour un billet qui sera parti n'importe où... Je ferai mieux la prochaine fois.

Blue (Cowboy Beebop - Mai Yanamé), et reflexions sur une France d'en haut qui s'isole...


Le froid est arrivé. J'aurais pu mettre Hyoga ou Camus à l'honneur. J'ai voulu mettre une des plus belles chansons de l'animation japonaise au premier rang de mon billet japano-musical du samedi. Blue, la dernière chanson de l'animé Cowboy Beebop qui a vraiment marqué la fin du XXeme siècle... La voix de l'admirable Mai Yanamé sublime la composition de la non moins admirable Yoko Kanno.
Ajoutons à ça le final de Cowboy Beebop, et on obtient un des meilleurs morceaux d'animation japonaise... A mon modeste avis.

Sur le reste, pas grand chose à dire... Il faut dire que maintenant que la guerre des boutons est finie au Parti Socialiste, je n'irai pas jusqu'à dire qu'on s'emmerde, mais c'est plus calme...
J'aurais pu parler de la "fronde" des maires de France... Le maire de mon ancien village a failli s'être vu condamné pour ne pas avoir appliqué le service minimum. Il est pourtant de droite. Mais il est maire d'un village de 1300 âmes, avec seulement 7 employés municipaux. Dont aucun disponible, mais surtout compétent, pour garder des enfants. On fait comment ?

D'une manière générale, il faudra bien un jour s'interroger sur ces décisions qui viennent de tout en haut, et profondément inapplicable au niveau de la base. On entend ci et là le projet de supprimer les premières années de maternelle. Désengagement de l'Etat au niveau de la petite enfance, et amusez vous collectivités locales pour faire ce travail là, nécessaire... Stupide. Et dangereux, la politique de gens de tout en haut qui ne connaissent pas le "tout en bas", la France des petites villes et villages.
Nicolas Sarkozy était maire pourtant... Bon d'accord, Neuilly, c'est pas la France, c'est vrai...

Et on en revient toujours à l'arrogance et l'humilité, indispensable à tous les niveaux. Quand Rachida Dati fait une carte judiciaire en regardant tout le monde, magistrats ou élus locaux, du haut de sa tour d'argent, cela provoque cet incendie qui brule Vendôme et tous ses tableaux. Quand Nicolas Sarkozy décide, en Roi tout puissant plus qu'en démocrate élu par le petit peuple, de supprimer la pub sur le service public ou d'obliger les mairies à remplacer l'éducation nationale en cas de défaillance de celle ci, il provoque des colères de gens qui ne lui sont pas forcément défavorables... Et des colères qui ne sont peut être pas illégitimes.

Finalement, on part de Cowboy Beebop pour finir sur Sarkozy. Et sur une phrase politique que je n'ai pas trouvé idiote cette semaine, de la part de mon médecin généraliste : "la principale opposition à Sarkozy pourrait être simplement l'UMP". Oui, sauf si ceux sont ses affidés qui sont à sa tête, car je ne vois pas Devedjian ou Hortefeux aller contre l'Elysée. Aller contre celui qui les nourris et qui fait ce qu'ils sont : militantisme d'interet, on en a déjà parlé ici...
Mais si c'est la "droite" républicaine dans son ensemble, des centristes aux gaullistes traditionnels, en passant par les radicaux et libéraux du travail (et pas du capital et des fils à papa), cela pourrait faire quelque chose...
Oh, il y aura toujours la gauche extrême pour bruler les quelques morceaux de bois restant, et attiser des haines sourdes... Mais Besancenot et Le Pen, même si je les imagine reprendre du poil de la bête en ce moment, ce que j'en pense... Tuer la peste en lui injectant le virus du choléra, je trouve ça pas forcément efficace...

Et en plus il ne fait pas beau... Et si on restait le weekend au lit ? Conclusion tirée par les cheveux pour un billet qui sera parti n'importe où... Je ferai mieux la prochaine fois.

Des livres, des tags, et moi, et moi, et moi...

Difficile tag pour l’inculte que je suis. Mais CyberMamie Rosa m’a taggué, donc je dois faire. Quels sont les six livres qui me représentent le mieux ?
Outre le fait que pour répondre à ce tag, il faut savoir lire, ce n’est pas facile de savoir ce qui nous représente vraiment… Il faut se connaître. Et qui peut prétendre se connaître réellement ? Pas moi en tous cas… Je laisse à mes proches, plus qu’à mon « Docteur des Pieds » (copyright Sublimette), le soin de savoir ce qui me représente vraiment…

Essayer l’exercice, tout de même… Six livres qui me représentent vraiment. J’aurais plutôt du faire le tag « six personnages d’animés » qui me représentent vraiment… Parce que dans le coté torturé de certains anti-héros que l’on peut voir ici et là, y en a un wagon…

Mais tentons. D’abord par un héros de roman, qui est celui dont je suis les aventures en ce moment. Le Commissaire Kurt Wallander de la série des polars du brillant suédois Henning Mankell.
Pourquoi Kurt Wallander ? Parce que ce type est dramatiquement humain. Avec tout ce que cela a de pathétique par moment. Des faiblesses, pleins. Des doutes, pleins. Des relations avec les gens difficiles, parfois dramatiques. Avec son ex femme, avec sa fille, avec ses collègues de boulot.
Parfois, il pète les plombs. On le retrouvera complètement ivre après une soirée avec son pote Svinden, ou après une discussion avec son ex femme. A la fin d’un bouquin, il partira un an en maladie le long d’une plage, mais c’est vrai que quand on a tué quelqu’un qui a menacé sa fille, on est pas bien…
Et il a souvent l’esprit qui part loin, très loin. Sa douce amie (sortent ils ensemble ?) qui vit à Riga. Son pote et mentor Ridberg, mort dans le premier bouquin, qui reste un guide même au-delà de la mort.
Et des choses qui lui collent aux souvenirs, qu’il n’arrive pas à oublier, à se dépêtrer. Qui l’obsède. Des gens, souvent. Comme moi, oublierais je ou accepterais je un jour mes faiblesses de l’été 2002 ? Peut on arriver à oublier ses erreurs ? Et même, le doit on ? N'est ce pas nos fautes qui nous rappellent à notre condition de simple humain mortel ?

Aussi, ses rêves qu’il n’atteindra jamais. Une vie à attendre, mais pas à agir pour atteindre ses rêves. Dans l’opéra. Ou ses illusions d’une police telle qu’il aimerait, ou d’une vie dans un pavillon en banlieue d’Ystad avec une femme et un labrador. Et la réalité, qui revient, implacable.

Enfin, un modèle ce Wallander. Pas brillant, pas du tout. Charismatique ? Quand il travaille, parce que c’est un bosseur. Un besogneux. Qui arrive au final. Ce n’est pas le James Bond qui fait craquer toutes les filles, et visiblement lui aussi n’est pas bien beau, ou pas bien populaire. Mais il bosse. Honnêtement. Et il y arrive…
Un modèle finalement, ce Wallander. Ou quelqu’un auquel j’arrive à m’identifier. De part tous ses défauts…

Alors six livres ? Je pourrais arrêter le jeu ici, en citant « Meurtrier sans visages », « les chiens de Riga », « la lionne blanche », « l’homme qui souriait », etc… Mais disons que de ce jeu, ici,


Quelque part, mon univers littéraire étant ce qu’il est, j’aurais du mal à dire beaucoup lus que ce livre là. Le reste ne serait finalement que des biographies, parce que je confesse lire des romans et/ou thriller dont les « héros » sont vraiment des héros. Et dont l’identification est difficile.

Je me souviens quand même, pendant que j’écris, de cette trilogie que j’avais lu étant très jeune. Quel age ? 12, 13 ans peut être… Oh, le gaulliste que je suis devenu souris à l’évocation de Jules Vallès, et sa trilogie « l’enfant », « le bachelier », « l’insurgé ». Et je souris, maintenant que je suis devenu un peu Forézien par alliance, de voir que cet homme qui a quand même marqué mon collège de part la lecture de cette trilogie qui aurait pu faire de moi un enfant de gauche, est une figure de cette région.
Jeune, j’avais comme rêve d’être un « Grand Journaliste ». C’était mon rêve, peut être la lecture de Vallès y eu contribué. Est-ce que ma fascination envers les personnes « littéraires », qui ont cette culture et cette sensibilité (parfois de gauche) que je n’aurais jamais, vient de là ? Je me revois lire « le monde de Sophie », et être cet enfant… L’été 2002 évoqué plus haut, où je voulais ne pas être celui que j’étais, du moins dans les yeux des autres. Peut être en partie que Jules Vallès en est en partie responsable… ?
Maintenant que j’y repense, je relirais bien cette trilogie, qui a marqué mon enfance. J’ai encore dans le nez l’odeur de ce vieux livre, que j’avais piqué dans la cave, dans le tas de bouquins que devait lire ma maman quand elle était au lycée… Vous savez, les livres aux pages jaunies par le temps. Est-ce que je les ai toujours ?

Je pense que lire un Jules Vallès acheté sur Amazon, ça doit être moins bien quand même…

Je passe sur les écrits du Général de Gaulle, ou ses biographies écrites par Max Gallo ou Alain Peyreffite. Parce que l’humilité empêche de devenir trop con, et parce qu’on ne peut pas d’identifier à ce qui est un modèle. Laissons les icônes à leurs places, gardons la notre.
Et parler De Gaulle après Vallès peut faire sourire. Sauf à penser que le gaullisme, est profondément apolitique… Ce que je pense davantage jour après jour, mais ce n’est pas l’objet de ce tag.

Dernier livre, unique cette fois, auquel je me suis identifié. « L’emploi du temps », de Marc Butor.
Il était au programme de MathSup ce livre. Le thème de cette année était « la ville ». J’ai découvert Emile Verhaeren cette année là, et sa peinture des villes du Nord dans ces recueils de poème…

Revenons à « L’emploi du temps », de Marc Butor. J’avais lu ce livre été 1995’. J’étais en Angleterre. Pas à Bleston, comme le héros du livre, mais à Bury Saint Edmonds. Et je ne restais pas un an, non, mais j’étais aussi dans une terre que je ne connaissais que peu. Et je lisais finalement les aventures d’un autre, qui vivait la même histoire que moi. Ou plutôt était ce moi qui vivait pareillement à lui… ?
Et je me souviens de ce bouquin où le héros et la ville ne faisait qu’un… C’était vraiment un bouquin sur une ville, anglaise pourquoi pas, mais cela aurait pu être de partout…

J’avais transmis ce livre à une amie qui partait durant un an aux Etats-Unis. Je ne sais pas si elle l’a lu. Et je ne sais pas si elle a ressenti les mêmes choses que moi. Aujourd’hui encore, ce livre me fait ressortir des émotions, et pourtant je ne sais plus lesquelles. Bizarre, je revois la couverture bleue foncée du roman. Et c’est tout.

Je cesse là l’exercice. Passionnant il est, mais je me dis que je pourrais aussi citer Philippe Labro, dont le livre « tomber 7 fois… » m’avait marqué. Là encore par ce coté profondément humain de ses hommes qu’on imagine différent de nous, mais qui ne sont que des êtres humains bourrés de faiblesses. Et capable de sombrer dans une dépression, y compris la tête de la première radio de France. L’humilité, de se savoir humain, pas plus…
Ce bouquin est en plus écrit avec une pudeur et une humble retenue qui rend le personnage remarquable, et touchant. Un beau livre.

Allez, je cesse vraiment maintenant.


Non sans transmettre le mistigri. Parce que cet exercice est amusant finalement. Passons le ballon à six personnes.
J’aimerais lire ce que pense le Magicien d’Ox à ce sujet. J’aimerais aussi lire la copine Sublimette. Est-ce que l’adorable chien Dalton se sent proche de Shiguré ? Qu’en pensent les pertinents observateurs du monde politique que sont mes copains de ouèbe Toréador ou Rubin ? Et Alayia, se sent elle plus proche de DeathMask ou d’Aiolos ? Pour finir, les filles Marion et Claire donneront sans doute de jolis billets.
Enfin, j’aimerais transmettre le bébé à ma copine des bons enfants de Marseille, parce que j’imagine que ça doit être génial ce qu’elle a écrire. Mais elle n’aime pas les tags, donc je ne la taggues pas… (Simple invitation amicale ^^)

Après ça, je m'occupe des tags de Dominique, de Rubin et d'Internecivus, promis... ;-)

PS : la chanson qui accompagne ce billet est tirée de l'avant dernier album de Serge Lama, et s'appelle "Les poètes". J'aime beaucoup cette chanson, qui évoque je trouve assez bien les relations particulières que j'ai pu avoir eu, par le passé, avec la "littérature" (je mets des guillemets pour accentuer le coté pédant de ma phrase), et les certaines littéraires que j'ai vraiment beaucoup apprécié...
"Les poètes il ne faut pas les vivre, il faut les rencontrer un soir auprès d'un livre", c'est vrai... Comme c'est vrai "qu'ils déchirent des cœurs pour s'offrir des orages"... Et quelque part, je peux m'identifier avec cette chanson. Je ne suis pas un poète, mais peut être est il préférable de me rencontrer au coin d'un blog, je ne sais pas... ^__~
Après, les aimer morts mais les fuir vivants... ? Non, ne me fuyez pas de suite s'il vous plait... ^__^

Des livres, des tags, et moi, et moi, et moi...

Difficile tag pour l’inculte que je suis. Mais CyberMamie Rosa m’a taggué, donc je dois faire. Quels sont les six livres qui me représentent le mieux ?
Outre le fait que pour répondre à ce tag, il faut savoir lire, ce n’est pas facile de savoir ce qui nous représente vraiment… Il faut se connaître. Et qui peut prétendre se connaître réellement ? Pas moi en tous cas… Je laisse à mes proches, plus qu’à mon « Docteur des Pieds » (copyright Sublimette), le soin de savoir ce qui me représente vraiment…

Essayer l’exercice, tout de même… Six livres qui me représentent vraiment. J’aurais plutôt du faire le tag « six personnages d’animés » qui me représentent vraiment… Parce que dans le coté torturé de certains anti-héros que l’on peut voir ici et là, y en a un wagon…

Mais tentons. D’abord par un héros de roman, qui est celui dont je suis les aventures en ce moment. Le Commissaire Kurt Wallander de la série des polars du brillant suédois Henning Mankell.
Pourquoi Kurt Wallander ? Parce que ce type est dramatiquement humain. Avec tout ce que cela a de pathétique par moment. Des faiblesses, pleins. Des doutes, pleins. Des relations avec les gens difficiles, parfois dramatiques. Avec son ex femme, avec sa fille, avec ses collègues de boulot.
Parfois, il pète les plombs. On le retrouvera complètement ivre après une soirée avec son pote Svinden, ou après une discussion avec son ex femme. A la fin d’un bouquin, il partira un an en maladie le long d’une plage, mais c’est vrai que quand on a tué quelqu’un qui a menacé sa fille, on est pas bien…
Et il a souvent l’esprit qui part loin, très loin. Sa douce amie (sortent ils ensemble ?) qui vit à Riga. Son pote et mentor Ridberg, mort dans le premier bouquin, qui reste un guide même au-delà de la mort.
Et des choses qui lui collent aux souvenirs, qu’il n’arrive pas à oublier, à se dépêtrer. Qui l’obsède. Des gens, souvent. Comme moi, oublierais je ou accepterais je un jour mes faiblesses de l’été 2002 ? Peut on arriver à oublier ses erreurs ? Et même, le doit on ? N'est ce pas nos fautes qui nous rappellent à notre condition de simple humain mortel ?

Aussi, ses rêves qu’il n’atteindra jamais. Une vie à attendre, mais pas à agir pour atteindre ses rêves. Dans l’opéra. Ou ses illusions d’une police telle qu’il aimerait, ou d’une vie dans un pavillon en banlieue d’Ystad avec une femme et un labrador. Et la réalité, qui revient, implacable.

Enfin, un modèle ce Wallander. Pas brillant, pas du tout. Charismatique ? Quand il travaille, parce que c’est un bosseur. Un besogneux. Qui arrive au final. Ce n’est pas le James Bond qui fait craquer toutes les filles, et visiblement lui aussi n’est pas bien beau, ou pas bien populaire. Mais il bosse. Honnêtement. Et il y arrive…
Un modèle finalement, ce Wallander. Ou quelqu’un auquel j’arrive à m’identifier. De part tous ses défauts…

Alors six livres ? Je pourrais arrêter le jeu ici, en citant « Meurtrier sans visages », « les chiens de Riga », « la lionne blanche », « l’homme qui souriait », etc… Mais disons que de ce jeu, ici,


Quelque part, mon univers littéraire étant ce qu’il est, j’aurais du mal à dire beaucoup lus que ce livre là. Le reste ne serait finalement que des biographies, parce que je confesse lire des romans et/ou thriller dont les « héros » sont vraiment des héros. Et dont l’identification est difficile.

Je me souviens quand même, pendant que j’écris, de cette trilogie que j’avais lu étant très jeune. Quel age ? 12, 13 ans peut être… Oh, le gaulliste que je suis devenu souris à l’évocation de Jules Vallès, et sa trilogie « l’enfant », « le bachelier », « l’insurgé ». Et je souris, maintenant que je suis devenu un peu Forézien par alliance, de voir que cet homme qui a quand même marqué mon collège de part la lecture de cette trilogie qui aurait pu faire de moi un enfant de gauche, est une figure de cette région.
Jeune, j’avais comme rêve d’être un « Grand Journaliste ». C’était mon rêve, peut être la lecture de Vallès y eu contribué. Est-ce que ma fascination envers les personnes « littéraires », qui ont cette culture et cette sensibilité (parfois de gauche) que je n’aurais jamais, vient de là ? Je me revois lire « le monde de Sophie », et être cet enfant… L’été 2002 évoqué plus haut, où je voulais ne pas être celui que j’étais, du moins dans les yeux des autres. Peut être en partie que Jules Vallès en est en partie responsable… ?
Maintenant que j’y repense, je relirais bien cette trilogie, qui a marqué mon enfance. J’ai encore dans le nez l’odeur de ce vieux livre, que j’avais piqué dans la cave, dans le tas de bouquins que devait lire ma maman quand elle était au lycée… Vous savez, les livres aux pages jaunies par le temps. Est-ce que je les ai toujours ?

Je pense que lire un Jules Vallès acheté sur Amazon, ça doit être moins bien quand même…

Je passe sur les écrits du Général de Gaulle, ou ses biographies écrites par Max Gallo ou Alain Peyreffite. Parce que l’humilité empêche de devenir trop con, et parce qu’on ne peut pas d’identifier à ce qui est un modèle. Laissons les icônes à leurs places, gardons la notre.
Et parler De Gaulle après Vallès peut faire sourire. Sauf à penser que le gaullisme, est profondément apolitique… Ce que je pense davantage jour après jour, mais ce n’est pas l’objet de ce tag.

Dernier livre, unique cette fois, auquel je me suis identifié. « L’emploi du temps », de Marc Butor.
Il était au programme de MathSup ce livre. Le thème de cette année était « la ville ». J’ai découvert Emile Verhaeren cette année là, et sa peinture des villes du Nord dans ces recueils de poème…

Revenons à « L’emploi du temps », de Marc Butor. J’avais lu ce livre été 1995’. J’étais en Angleterre. Pas à Bleston, comme le héros du livre, mais à Bury Saint Edmonds. Et je ne restais pas un an, non, mais j’étais aussi dans une terre que je ne connaissais que peu. Et je lisais finalement les aventures d’un autre, qui vivait la même histoire que moi. Ou plutôt était ce moi qui vivait pareillement à lui… ?
Et je me souviens de ce bouquin où le héros et la ville ne faisait qu’un… C’était vraiment un bouquin sur une ville, anglaise pourquoi pas, mais cela aurait pu être de partout…

J’avais transmis ce livre à une amie qui partait durant un an aux Etats-Unis. Je ne sais pas si elle l’a lu. Et je ne sais pas si elle a ressenti les mêmes choses que moi. Aujourd’hui encore, ce livre me fait ressortir des émotions, et pourtant je ne sais plus lesquelles. Bizarre, je revois la couverture bleue foncée du roman. Et c’est tout.

Je cesse là l’exercice. Passionnant il est, mais je me dis que je pourrais aussi citer Philippe Labro, dont le livre « tomber 7 fois… » m’avait marqué. Là encore par ce coté profondément humain de ses hommes qu’on imagine différent de nous, mais qui ne sont que des êtres humains bourrés de faiblesses. Et capable de sombrer dans une dépression, y compris la tête de la première radio de France. L’humilité, de se savoir humain, pas plus…
Ce bouquin est en plus écrit avec une pudeur et une humble retenue qui rend le personnage remarquable, et touchant. Un beau livre.

Allez, je cesse vraiment maintenant.


Non sans transmettre le mistigri. Parce que cet exercice est amusant finalement. Passons le ballon à six personnes.
J’aimerais lire ce que pense le Magicien d’Ox à ce sujet. J’aimerais aussi lire la copine Sublimette. Est-ce que l’adorable chien Dalton se sent proche de Shiguré ? Qu’en pensent les pertinents observateurs du monde politique que sont mes copains de ouèbe Toréador ou Rubin ? Et Alayia, se sent elle plus proche de DeathMask ou d’Aiolos ? Pour finir, les filles Marion et Claire donneront sans doute de jolis billets.
Enfin, j’aimerais transmettre le bébé à ma copine des bons enfants de Marseille, parce que j’imagine que ça doit être génial ce qu’elle a écrire. Mais elle n’aime pas les tags, donc je ne la taggues pas… (Simple invitation amicale ^^)

Après ça, je m'occupe des tags de Dominique, de Rubin et d'Internecivus, promis... ;-)

PS : la chanson qui accompagne ce billet est tirée de l'avant dernier album de Serge Lama, et s'appelle "Les poètes". J'aime beaucoup cette chanson, qui évoque je trouve assez bien les relations particulières que j'ai pu avoir eu, par le passé, avec la "littérature" (je mets des guillemets pour accentuer le coté pédant de ma phrase), et les certaines littéraires que j'ai vraiment beaucoup apprécié...
"Les poètes il ne faut pas les vivre, il faut les rencontrer un soir auprès d'un livre", c'est vrai... Comme c'est vrai "qu'ils déchirent des cœurs pour s'offrir des orages"... Et quelque part, je peux m'identifier avec cette chanson. Je ne suis pas un poète, mais peut être est il préférable de me rencontrer au coin d'un blog, je ne sais pas... ^__~
Après, les aimer morts mais les fuir vivants... ? Non, ne me fuyez pas de suite s'il vous plait... ^__^

What Aaron Goldman is Thankful For

Aaron Goldman over at MediaPost just posted his 10 Reasons Search Marketers Should Be Thankful. In terms of the research, the links, and the thought put in behind it, this is an outstanding post.

Search may not be recession-proof—links to a post Aaron wrote about a month ago where he provides research demonstrating how and why search marketing will remain strong through this downturn.

Google's free keyword tool and Insights for Search tool—the keyword tool is hardly new, but has been upgraded, and is much more robust than it used to be. And Insights is just a lot of fun.

Google Analytics is enterprise-ready—a recent post from Jeff Campbell that delves into the latest enhancements added to Analytics and why these make it now competitive with top-shelf analytics packages.

New Study Reveals Untapped Billions In Search Marketing—some interesting research here on the growth potential for paid search. However, "hold-outs from the paid search Stone Age" seems a rather harsh way to refer to the large number of search marketers who still use Excel, which works just fine for the vast majority of companies, those that spend less than $50K per month on paid search.

I'm thankful for my clients, my readers, and endless opportunities to continue learning in the constantly changing world of search marketing.

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Contact Tom Pick: tomATwebmarketcentralDOTcom

En attendant le Canard de demain, soupir d'ancien militant...

Finalement, le Parti Socialiste est un blogophage... Sujet actuel maintes fois rebattus. On a l'impression d'avoir tout lu ailleurs, d'avoir tout dit chez soi. Et comme les artichauts à la crème de quand on était petit, on pense avoir tout fini dans l'assiette qu'une grande voix nous clame "il en reste encore !".
Le Parti Socialiste français serait il pour ma maison du Faucon l'artichaut à la crème de quand j'étais petit ?
En attendant le canard enchainé de ce mercredi qui sera à pleurer, deux images de celui d'après Reims, du mercredi 19 Novembre 2008. Qui résument à eux deux tellement mieux que pleins de messages blogs, toute cette séquence que l'on vient de vivre. Cette chasse anti Royal d'un coté (qui émeut certains, mais peut être Ségolène Royal y est elle pour quelque chose, dans cette haine qu'elle attise dans son propre camps... Rare qu'on déteste une personne respirant l'innocence...), et ce coté terrifiant d'un évènement inintéressant peut être, mais qui monopolise notre attention telle une drogue... C'est comme un épisode à la con de "Plus belle la vie". C'est nul, mais quand on a commencé l'épisode, il faut qu'on reste jusqu'à la fin. Il faut qu'on sache... (copyright quelqu'un que j'aime bien, mais qui a eu quelques soucis ces derniers temps...)
Et pendant ce temps à droite ? Oh ben c'est le grand amour. Villepin et Chirac se retrouvent toujours embourbés dans une affaire Clearstream qui est tout sauf l'incarnation au grand jour des grands amours à droite... Aujourd'hui, l'ancien premier ministre accuse l'actuel Président de la République, deux copains de partis... C'est beau.
Je trouve d'ailleurs assez fascinant les interventions de Lefevre et autres Devedjian stigmatisant la gauche pour ses divisions, oubliant qu'avant Mai 2007 il y eut une période depuis 2004 qui était pas mal coté "on se tire la bourre en chantant"...

Et si Mélanchon ou Pupunat quittent le PS, on en voit quitter l'UMP pour fonder leur parti. Nicolas Dupont Aignan qui crée le parti "Debout la République" par exemple...
Bon, un groupuscule supplémentaire, sans doute... Témoignage peut être aussi... Mais Nicolas Dupont-Aignan a mon respect, j'oserai dire mon amitié. Bien que je rejoindrai pas son parti, pour l'instant. Parce que je n'ai pas envie de redevenir "encartés"... Et Dupont-Aignan, comme Mélanchon, aura bien du mal à se sortir de ce problème d'un militantisme qui n'en est pas vraiment un...

Le militantisme de conviction existe t'il vraiment ? L'élu qui est élu et qui a envie de le rester a besoin de ce "gros parti", qui le protège, qui l'assure... Et d'une carte "alimentaire", plus de conviction. Militant alimentaire, parce que certaines cartes, à droite ou à gauche, servent à acheter une place dans une liste, ou simplement à acheter un boulot. Dans une mairie, un département, une région... Simplement. Et pour ces gens là, les convictions sont importantes bien sur, mais moins que la puissance d'un parti qui peut les aider. La crainte et les intérêts...
Et parce que les places sont plus importantes pour certains que ce en quoi l'on croit, Dupont -Aignan et Mélanchon auront du mal. Comme Bayrou maintenant que les élections municipales, celles qui rapportent le plus de places, sont passées..

Cynique et ironique. Mais triste aussi. Parce que ça me fait mal au ventre d'entendre hier Devedjian dire qu'il est depuis 1971 adhérent au "mouvement gaulliste". Je pense en effet que le Berlusconisme est très loin des valeurs gaullistes que je prétend apprécier. Et je pense que c'est plus le bord (je cherchais un mot pour définir, je n'ai trouvé que celui là...) qui correspond à l'UMP d'aujourd'hui. Et outre le fait que je pense que Devedjian et ses amis n'ont jamais été des gaullistes de conviction. Quoiqu'il ne soit pas scandaleux d'être des libéraux à l'américaine, c'est un socle de valeurs tout à fait respectable, mais pas tellement le mien...
Et je pense qu'aujourd'hui, le militant qui n'est militant pas uniquement pour ses convictions, mais aussi pour ses interets qui lui sont propres et personnels (comment lui en vouloir ?) ira, à droite, plus vers le libéralisme de pouvoir et de grands actionnaires (j'aurais pu dire "lobbies") représenté par l'UMP actuelle, que vers des valeurs humanistes basés sur le travail, le mérite, le respect, l'ordre aussi.

Enfin, ce n'était pas l'objet du billet du jour... Encore une fois, je m'évade... je m'égare. Et pourtant, j'aime le militantisme. J'en ai été, je le suis toujours un peu... j'aime le militantisme réel, celui qui vient du coeur. Moins le militantisme alimentaire, plus ou moins important. Mais il se comprend... Même s'il fait soupirer...

Enfin, là, je m'évade un peu... C'est mardi matin. C'est tôt. Et il fait froid... Dure journée qui m'attends. Donc on commence tôt.
Et demain, c'est Canard Enchainé. Donc youpi, la vie est belle...

En attendant le Canard de demain, soupir d'ancien militant...

Finalement, le Parti Socialiste est un blogophage... Sujet actuel maintes fois rebattus. On a l'impression d'avoir tout lu ailleurs, d'avoir tout dit chez soi. Et comme les artichauts à la crème de quand on était petit, on pense avoir tout fini dans l'assiette qu'une grande voix nous clame "il en reste encore !".
Le Parti Socialiste français serait il pour ma maison du Faucon l'artichaut à la crème de quand j'étais petit ?
En attendant le canard enchainé de ce mercredi qui sera à pleurer, deux images de celui d'après Reims, du mercredi 19 Novembre 2008. Qui résument à eux deux tellement mieux que pleins de messages blogs, toute cette séquence que l'on vient de vivre. Cette chasse anti Royal d'un coté (qui émeut certains, mais peut être Ségolène Royal y est elle pour quelque chose, dans cette haine qu'elle attise dans son propre camps... Rare qu'on déteste une personne respirant l'innocence...), et ce coté terrifiant d'un évènement inintéressant peut être, mais qui monopolise notre attention telle une drogue... C'est comme un épisode à la con de "Plus belle la vie". C'est nul, mais quand on a commencé l'épisode, il faut qu'on reste jusqu'à la fin. Il faut qu'on sache... (copyright quelqu'un que j'aime bien, mais qui a eu quelques soucis ces derniers temps...)
Et pendant ce temps à droite ? Oh ben c'est le grand amour. Villepin et Chirac se retrouvent toujours embourbés dans une affaire Clearstream qui est tout sauf l'incarnation au grand jour des grands amours à droite... Aujourd'hui, l'ancien premier ministre accuse l'actuel Président de la République, deux copains de partis... C'est beau.
Je trouve d'ailleurs assez fascinant les interventions de Lefevre et autres Devedjian stigmatisant la gauche pour ses divisions, oubliant qu'avant Mai 2007 il y eut une période depuis 2004 qui était pas mal coté "on se tire la bourre en chantant"...

Et si Mélanchon ou Pupunat quittent le PS, on en voit quitter l'UMP pour fonder leur parti. Nicolas Dupont Aignan qui crée le parti "Debout la République" par exemple...
Bon, un groupuscule supplémentaire, sans doute... Témoignage peut être aussi... Mais Nicolas Dupont-Aignan a mon respect, j'oserai dire mon amitié. Bien que je rejoindrai pas son parti, pour l'instant. Parce que je n'ai pas envie de redevenir "encartés"... Et Dupont-Aignan, comme Mélanchon, aura bien du mal à se sortir de ce problème d'un militantisme qui n'en est pas vraiment un...

Le militantisme de conviction existe t'il vraiment ? L'élu qui est élu et qui a envie de le rester a besoin de ce "gros parti", qui le protège, qui l'assure... Et d'une carte "alimentaire", plus de conviction. Militant alimentaire, parce que certaines cartes, à droite ou à gauche, servent à acheter une place dans une liste, ou simplement à acheter un boulot. Dans une mairie, un département, une région... Simplement. Et pour ces gens là, les convictions sont importantes bien sur, mais moins que la puissance d'un parti qui peut les aider. La crainte et les intérêts...
Et parce que les places sont plus importantes pour certains que ce en quoi l'on croit, Dupont -Aignan et Mélanchon auront du mal. Comme Bayrou maintenant que les élections municipales, celles qui rapportent le plus de places, sont passées..

Cynique et ironique. Mais triste aussi. Parce que ça me fait mal au ventre d'entendre hier Devedjian dire qu'il est depuis 1971 adhérent au "mouvement gaulliste". Je pense en effet que le Berlusconisme est très loin des valeurs gaullistes que je prétend apprécier. Et je pense que c'est plus le bord (je cherchais un mot pour définir, je n'ai trouvé que celui là...) qui correspond à l'UMP d'aujourd'hui. Et outre le fait que je pense que Devedjian et ses amis n'ont jamais été des gaullistes de conviction. Quoiqu'il ne soit pas scandaleux d'être des libéraux à l'américaine, c'est un socle de valeurs tout à fait respectable, mais pas tellement le mien...
Et je pense qu'aujourd'hui, le militant qui n'est militant pas uniquement pour ses convictions, mais aussi pour ses interets qui lui sont propres et personnels (comment lui en vouloir ?) ira, à droite, plus vers le libéralisme de pouvoir et de grands actionnaires (j'aurais pu dire "lobbies") représenté par l'UMP actuelle, que vers des valeurs humanistes basés sur le travail, le mérite, le respect, l'ordre aussi.

Enfin, ce n'était pas l'objet du billet du jour... Encore une fois, je m'évade... je m'égare. Et pourtant, j'aime le militantisme. J'en ai été, je le suis toujours un peu... j'aime le militantisme réel, celui qui vient du coeur. Moins le militantisme alimentaire, plus ou moins important. Mais il se comprend... Même s'il fait soupirer...

Enfin, là, je m'évade un peu... C'est mardi matin. C'est tôt. Et il fait froid... Dure journée qui m'attends. Donc on commence tôt.
Et demain, c'est Canard Enchainé. Donc youpi, la vie est belle...

Looking Back at 300: Top 10 Posts

On the occasion of the 300th post on the WebMarketCentral blog, and to see how things have changed since the first 100 posts, here are the 10 most popular posts of all time so far.

#10: The 8 Layers of a B2B Web Marketing Plan, October 8, 2008

The most recent post to make this list presents B2B marketing as a series of concentric layers, with SEO at the core then moving outward from highly measurable online direct response tactics to broader brand advertising.

#9: Best of 2007: Articles and Blog Posts on SEO (Part 1), January 28, 2008

Summaries of and links to a dozen outstanding articles on SEO from some of the top pros like Lee Odden, Jon Rognerud and Danny Sullivan. Also, I think, the first time on this blog I made the case that SEO is far from dead.

#8: Web 2.0 Social Tagging Sites, Part 7: The Best, June 26, 2007

"Based on two months of testing across a half-dozen B2B websites and blogs, these Web 2.0 social bookmarking sites produced the best results, in terms of driving direct traffic and having active, engaged discussion communities." Of mostly historical interest now, from the early days of social bookmarking, before Mixx, Sphinn, Propeller and Twitter took off.

#7: Web 2.0 Social Tagging Sites, Part 4: B2B Traffic Building, May 15, 2007

The first post where I showed, quantitatively, how social media can accelerate traffic growth for both blogs and commercial websites.

#6: Selecting an Advertising Agency, June 7, 2005

The second post ever written on this blog and the only post common to both this list and the top 10 after first 100 posts.

#5: Best of 2007: Website Design, February 4, 2008

Eleven outstanding articles on blog posts on website design tips, tactics and tools from experts like Stoney deGeyter, Ralph Wilson, Mark Jackson, Jay Lipe and Kalena Jordan.

#4: How to Write a Strategic Marketing Plan, December 6, 2007

My recommended outline for crafting a strategic marketing plan, from high-level business objectives and strategies through marketing and PR tactics and tools.

#3: The Social Media Email Signature, September 18, 2008

A look at how traditional email signatures have evolved into their Web 2.0 version, now incorporating elements such as LinkedIn profiles, blog links, Twitter pages, Facebook, StumbleUpon, even Second Life IDs. Includes notable examples from social media pros like Jon Rognerud, Viewzi evangelist Giovanni Gallucci, and Guy Kawasaki.

#2: Google AdWords Average CTR and Best Practices, September 20, 2007

Various estimates for average click-through rates (CT) from Google AdWords along with 14 best practices to make search engine marketing programs more successful.

#1: Email Campaign, Newsletter and Banner Ad Click-Through Rates (CTR), August 14, 2007

And the most popular post thus far on the WebMarketCentral blog covers...industry data to help set goals and benchmark the performance of email marketing, newslettor sponsorship and banner advertising programs.

That will do it for me this (short) week. Happy Thanksgiving!

*****


Contact Tom Pick: tomATwebmarketcentralDOTcom

Signe suspect

Bon, on a vu que le moral avait été petit ces derniers temps, difficile de se concentrer sur quelques chose plus de quelques minutes, la solution a été toute trouvé, en même temps que je regardais tourner le compteur de ma punto, je me suis donc muni d'un livre "qui ne fait pas mal à la tête", d'un transat, j'ai cherché le soleil et me suis laissée aller...Ben finalement, cela ne fonctionne pas

42, rencontre entre statistique socialiste et soupirs foréziens

42, cela aurait pu être le chiffre du week-end... Pour le plaisir, un petit peu de Geoffroy-Guichard, à la fin du match Saint Etienne - Rosenborg en coupe d'Europe. 3-0 pour les verts, ce fut la dernière match de Laurent Roussey à la tête des foréziens...

Cela aurait pu être le chiffre du weekend, 42... Mais voilà...
D'abord en football, les verts ont perdu contre Nice, sous une neige d'automne qui annonçait que le froid arrivait. Aujourd'hui, le thermomètre gardois ne dépasse pas les 7°C, et la cheminé fonctionnera pour le Marseille - Lille qui pourrait relancer un peu le championnat...

Et puis 42 voix d'avance, c'est statistiquement ridicule...
Revenons sur le vote au PS. Passons outre les déchirures à l'intérieur de ce parti. Tout cela devient ridicule, et profondément indécent. Dernière en date, Valls qui porte plainte contre un camarade. Le camarade du Nord n'est pas content, alors lui aussi porte plainte contre Valls. Et c'est ridicule, c'est attérant. Les urnes sont remplacés par les tribunaux, et la démocratie laisse sa place à la justice.
Triste, amis socialistes, la leçon de démocratie, de respect, de tolérance, donnée par quelques uns des vôtres... Très triste, et elle laissera des traces... Je pense toujours que le 21 Avril 2002, en fait, nous n'avons toujours rien vu...

Mais revenons à la statistique. Le résultat du vote est le suivant : 137 116 militants se sont déplacés pour voter. Cela fait un très faible nombre de militants (58%) pour un vote important pour leur parti... La question de mon billet n'est pas de savoir si le nombre des adhérents du PS est artificiellement haut (ah, certaines mairies qui apprécient avoir des employés municipaux encartés... soupir...), ou si les militants n'y croient plus, non...
Mais revenons sur les chiffres. 137 116 électeurs, et donc un résultat 67.413 voix pour Martine Aubry, et 67.371 pour Ségolène Royal... Le Front "anti Ségolène", c'est donc un delta de 42 voix... C'est faible.

Avons nous un taux d'incertitude sur le nombre de votants ? Déjà première question, bête. Parce que 42, par rapport à 137116, cela fait ridicule. 0,03 %... Avons nous une incertitude inférieure à 0,03 % sur le nombre d'électeurs ? En utilisant la règle "racine_carrée(137116)/137116", on trouverait une incertitude sur le nombre de votant de l'ordre de 0,25 %... (et pas 2,5%, merci Tom Round). Quand même dix fois plus... Et soit encore 370... On parle d'un écart de 42.
Les erreurs constatées en Moselle, à Blayes, à l'étranger même... valident le fait que statistiquement, il est très difficile de tirer des conclusions claires, fiables.

Après, Ségolène Royal a t'elle raison de se montrer "mauvaise perdante" ? Je pense que non, même si mathématiquement, le scrutin peut être "discuté". D'un point de vue statistique, plus que politique.

Tout cela me rappelle une phrase de Charles Pasqua (je crois).
"Chez les gaullistes, les élections peuvent être clean, mais par snobisme, machisme qui roule les mécaniques, ou tradition, on aime faire croire qu'il y un peu de magouille là dessous... Et chez les socialistes, c'est totalement l'inverse...".
Peut être pas faux...

Si on revient au football par contre, statistiquement, toutes les équipes qui prennent un but de plus que l'adversaire perdent le match. En championnat cela s'entend (oui, les buts à l'extérieur comptent doubles, c'est vrai)... Et St Etienne a la fâcheuse manie de prendre un but de plus que l'adversaire, depuis 7 matchs.
C'est inquiétant. Pour ceux qui aiment les verts, ça l'est. Si en plus ils sont sympathisants socialistes, autant boire beaucoup de primeur, c'est la période...

Je ne suis pas sympathisant socialiste, loin de là. J'aime bien Saint Etienne par contre : le peuple vert est un peu une famille un peu plus éloignée que le peuple marseillais dont je suis (et qui espère que ce soir...). Mais une famille que j'apprécie, et dont situation m'attriste.

Allez, un peu de baume au coeur pour mes amis verts. Une vidéo "Tribute to Tavlaridis", qui distribue son maillot à des supporters en joie. C'était la soirée du 6 Novembre 2008, dernière victoire stéphanoise. Un soir de vote des motions dans les sections socialistes françaises...
Tout se rejoint, toujours...

PS : Je ne suis pas les conseils du copain de ouèbe Eric Mainville, mais c'est tellement agréable d'écrire sur pleins de sujets à la fois, qui n'ont rien à voir ^____^

42, rencontre entre statistique socialiste et soupirs foréziens

42, cela aurait pu être le chiffre du week-end... Pour le plaisir, un petit peu de Geoffroy-Guichard, à la fin du match Saint Etienne - Rosenborg en coupe d'Europe. 3-0 pour les verts, ce fut la dernière match de Laurent Roussey à la tête des foréziens...

Cela aurait pu être le chiffre du weekend, 42... Mais voilà...
D'abord en football, les verts ont perdu contre Nice, sous une neige d'automne qui annonçait que le froid arrivait. Aujourd'hui, le thermomètre gardois ne dépasse pas les 7°C, et la cheminé fonctionnera pour le Marseille - Lille qui pourrait relancer un peu le championnat...

Et puis 42 voix d'avance, c'est statistiquement ridicule...
Revenons sur le vote au PS. Passons outre les déchirures à l'intérieur de ce parti. Tout cela devient ridicule, et profondément indécent. Dernière en date, Valls qui porte plainte contre un camarade. Le camarade du Nord n'est pas content, alors lui aussi porte plainte contre Valls. Et c'est ridicule, c'est attérant. Les urnes sont remplacés par les tribunaux, et la démocratie laisse sa place à la justice.
Triste, amis socialistes, la leçon de démocratie, de respect, de tolérance, donnée par quelques uns des vôtres... Très triste, et elle laissera des traces... Je pense toujours que le 21 Avril 2002, en fait, nous n'avons toujours rien vu...

Mais revenons à la statistique. Le résultat du vote est le suivant : 137 116 militants se sont déplacés pour voter. Cela fait un très faible nombre de militants (58%) pour un vote important pour leur parti... La question de mon billet n'est pas de savoir si le nombre des adhérents du PS est artificiellement haut (ah, certaines mairies qui apprécient avoir des employés municipaux encartés... soupir...), ou si les militants n'y croient plus, non...
Mais revenons sur les chiffres. 137 116 électeurs, et donc un résultat 67.413 voix pour Martine Aubry, et 67.371 pour Ségolène Royal... Le Front "anti Ségolène", c'est donc un delta de 42 voix... C'est faible.

Avons nous un taux d'incertitude sur le nombre de votants ? Déjà première question, bête. Parce que 42, par rapport à 137116, cela fait ridicule. 0,03 %... Avons nous une incertitude inférieure à 0,03 % sur le nombre d'électeurs ? En utilisant la règle "racine_carrée(137116)/137116", on trouverait une incertitude sur le nombre de votant de l'ordre de 0,25 %... (et pas 2,5%, merci Tom Round). Quand même dix fois plus... Et soit encore 370... On parle d'un écart de 42.
Les erreurs constatées en Moselle, à Blayes, à l'étranger même... valident le fait que statistiquement, il est très difficile de tirer des conclusions claires, fiables.

Après, Ségolène Royal a t'elle raison de se montrer "mauvaise perdante" ? Je pense que non, même si mathématiquement, le scrutin peut être "discuté". D'un point de vue statistique, plus que politique.

Tout cela me rappelle une phrase de Charles Pasqua (je crois).
"Chez les gaullistes, les élections peuvent être clean, mais par snobisme, machisme qui roule les mécaniques, ou tradition, on aime faire croire qu'il y un peu de magouille là dessous... Et chez les socialistes, c'est totalement l'inverse...".
Peut être pas faux...

Si on revient au football par contre, statistiquement, toutes les équipes qui prennent un but de plus que l'adversaire perdent le match. En championnat cela s'entend (oui, les buts à l'extérieur comptent doubles, c'est vrai)... Et St Etienne a la fâcheuse manie de prendre un but de plus que l'adversaire, depuis 7 matchs.
C'est inquiétant. Pour ceux qui aiment les verts, ça l'est. Si en plus ils sont sympathisants socialistes, autant boire beaucoup de primeur, c'est la période...

Je ne suis pas sympathisant socialiste, loin de là. J'aime bien Saint Etienne par contre : le peuple vert est un peu une famille un peu plus éloignée que le peuple marseillais dont je suis (et qui espère que ce soir...). Mais une famille que j'apprécie, et dont situation m'attriste.

Allez, un peu de baume au coeur pour mes amis verts. Une vidéo "Tribute to Tavlaridis", qui distribue son maillot à des supporters en joie. C'était la soirée du 6 Novembre 2008, dernière victoire stéphanoise. Un soir de vote des motions dans les sections socialistes françaises...
Tout se rejoint, toujours...

PS : Je ne suis pas les conseils du copain de ouèbe Eric Mainville, mais c'est tellement agréable d'écrire sur pleins de sujets à la fois, qui n'ont rien à voir ^____^

Mon blog a 4 ans ce jour...

Le 21 Novembre 2004, à Saint Quentin en Picardie, est né « le Mont du Faucon », mon blog.
Une amie avait commencé un blog, sous la plateforme Blogger. Cela m'a intéressé. Ainsi est né ce blog, dont le nom était tiré simplement de la terre où je suis né. Le premier billet a été écrit assez rapidement, et maladroitement, sur un PC qui n’était pas le mien.

Le premier billet, simplement copié – collé aujourd’hui. Et ainsi ma messagerie Wanadoo eut reçu, le 21 Novembre 2004, à 11h40, ce premier mail… Non reconnu à l’époque, il est indiqué [SPAM] dans l’objet…


« Depuis que tout le monde en parle... J'ai quelques amis, quelques autres connaissances, qui utilisent ce média pour écrire tout ce qui leur passe par la tête. C'est pas bête...

J'ai personnellement un projet depuis, ouh... Depuis bien longtemps. Faire mon propre site Internet. Avec une dominante : ma passion, bien modeste eu égard à mes connaissances qui le sont encore plus, pour le dessin animé et le manga "Saint Seiya". Et mon site Internet, en plus de parler de cette passion et de la manière dont je vois et je ressens cet animé, se voudrait un peu plus généraliste. Me permettant par là même de parler de mes autres passions. Le football, la politique, mon département, la communauté SaintSeiya dont j'ai l'honneur de faire parti, l'animation japonaise... Bref, de pas mal de choses.

Et comme toujours, ou du moins bien souvent, le trop tue le bien, trop de projets ont équivalu à pas de projets du tout. Et le résultat des courses et que ce site Internet est dans des cartons se situant bien loin dans ma remise. Bien loin, au confins d'un certains oubli...

J'ai une amie, une connaissance, qui utilise un blog. C'est pas mal, c'est simple et c'est un complément sympa pour son site. D'autres illustres personnages du web utilisent également ce média. Je pense à mon ami Arion, qui utilisait ce petit média avec (ou en parallèle) à son ancien site burningblood.

Finalement, en ce qui me concerne, je vais faire mon blog. Et puis je ferai mon site plus tard... Mon blog me servira à écrire des choses que je ressens sur pas mal de choses en ce moment, des choses que je ne peux pas trop écrire sur d'autres lieux, car ce n'est pas l'endroit. Il sera lu par deux ou trois personnes, et ça suffira. Et puis c'est trés bien.

Donc je vais essayer voir ce que je peux tirer de ce moyen d'expression. En parrallèle, ben je vais essayer de créer et de monter peu à peu mon site. Et puis peut être à l'orée de l'année 2008 ou 2009 mettrais je ce dernier en ligne.

En attendant, bon dimanche, et bonne journée. »



Relire ce premier billet me fait sourire. Des projets, que je n’aurais jamais mené à bien. Mais à quoi bon ? L’outil blog est largement suffisant pour mes activités. Et je n’ai pas envie de plus…

Le blog m’aura quelque peu changé la vie. Dans des sens positifs, avec pleins de gens nouveaux rencontrés. Les points plus noirs seraient que je passe plus de temps à blogguer, qu’à passer du temps à écrire à mes amis, aux gens que j’aime bien…

Dans ce premier écrit, je parle encore une fois de Saint Seiya. Une musique tirée de cet animé illustre ce billet...
Cet animé aura changé ma vie également, mes premiers contacts sur le web. Des rencontres merveilleuses, et d’autres qui furent plus douloureuses dans la durée. Et une des raisons pour lesquelles le Mont d’abord, la Maison ensuite, a été crée, était aussi pour exister. Auprès de certaines personnes... Même si je sais, j’imagine, que mes messages d'aujourd'hui sont maintenant inaudibles dans certains endroits… Des bouteilles jetées dans le Rhône, qui n'atteindront jamais la Saône…

Aujourd’hui, ce blog reste une page très personnelle. De soupir et questions que je me pose. Très personnel, égocentrique, donc sur beaucoup d’aspect inintéressant au plus grand nombre. Mais de ça, je confesse en avoir peu faire…
Et la politique, j’en parle, bien sur. Avec mes mots, ma sensibilité. En 2004, j’étais déjà écoeuré par une certaine manière de faire de la politique. Nous étions dans le creux de la période Chirac, et aujourd’hui je constate qu’elle me manque, cette période. Et j’avais déjà vis-à-vis du futur candidat Sarkozy des réserves, fortes, et je crois légitimes. La gauche ? Je ne connaissais pas encore l’étendue de la blogosphère politique, et Royal n’existait pas encore. Mais le coté donneurs de leçons de certains m’exaspérait déjà autant que l’incapacité du PS Hollandais de ne pouvoir se muer en opposition crédible, pertinente, efficace pour le pays.
Et donc à cette époque, politiquement toujours, une certaine attirance pour la démarche Bayrou. De l’eau a coulé sous les ponts depuis…

En 2004, je me débattais dans des méandres professionnels difficiles, jusqu’à mon départ deux ans plus tard. Entre temps, je retrouve celle qui fut la première dans mon cœur, je renais politiquement et localement par le biais d’une municipale remportée. Et 2008, ma vision et mes aspirations, personnelles, professionnelles, politiques, ont bien changé.
Et toujours une personne, la même, celle qui m’eut prêté son PC pour mon premier message et la création de mon blog, pas loin de moi. Heureusement qu’elle est là…

Demain ? Déjà peut être essaierais je de changer le fond de mon blog… Le « template », ça s’appelle comme ça je crois… Je n’ai plus l’aide de cette personne qui m’avait donné cette envie de blogguer. Elle m’avait beaucoup appris sur l’utilisation des règles et codes HTML. Bon, son absence me pèse pour d’autres raisons plus importantes que quelques lignes de codes…
Je verrai, si je suis capable de changer le fond de mon blog. Si je suis capable, et aussi si j'en ai envie... On verra bien…

Et puis le reste… J’aimerais, à l’instar d’Alayia et sa fiction "une deuxième chance", créer un blog pour une fiction tiré de l’univers SaintSeiya, que j’écrivais à l’époque. J’aimerais reprendre l’écriture d’Arion… Là encore, toujours l’absence d’une personne, la même, qui était un peu la raison d’être de cette fiction… Ma principale lectrice. Mais au délà d’une personne, le bonheur d’écrire « pas forcément utile », d’écrire une fiction tiré d’un univers qu’on aime et dans lequel on se sent à l’aise…
J’adore la manière dont ma copine Alayia met en perspective son histoire « une deuxième chance » (quel magnifique titre…), par le biais de son blog. En créer un qui s’appellerait « la Maison d’Arion » ? Pourquoi pas… On ne parlerait pas du PS ou de l’Olympique de Marseille sur ce dernier…

Enfin, j’ai vu qu’il me reste encore Près de 70% de place sur blogger… Je n’en aurais utilisé que le tiers en 4 ans, cela laisse donc espoir de continuer encore un moment…

Pour finir, un immense et sincère merci à ceux que j’ai rencontré depuis que j’ai commencé cette aventure du blog. Et qui passent parfois, ici, me faire un petit coucou, me critiquer ou me faire « mieux réfléchir ». Et les autres, bloggueurs, que j’ai pu découvrir grâce à cet outil du Web 2.0 nécessaire, indispensable. Je pense en particulier à Guy Birenbaum, dont l’aventure du DEL, le premier, aura été une phase capitale. Quelle belle campagne présidentielle nous aurons pu vivre, et quelles chouettes rencontres…
Et je pense à tous mes "copains de ouèbe", d'où qu'ils viennent et quelques soient leurs votes ou leurs sensibilités. Sans qui l'envie de faire ce blog existerait sans doute beaucoup moins... Merci à vous, sincèrement.

Demain, on reblogguera utile. Aujourd’hui, j’avais envie d’un peu me souvenir. Et tourner autour de mon nombril. On verra la suite plus tard…