Le soleil se couche aussi sur Lyon...

J'ai retrouvé sur mon disque dur cette photo. Elle doit bien dater de mes 20 ans, quand j'étais élève ingénieur à l'ECAM de Lyon.
J'ai bientôt 30 ans, dix ans de plus. Ingénieur depuis 7 ans. Et pendant mes années d'étude, je voyais ce paysage lyonnais tous les jours. Aujourd'hui, j'en vois d'autres.

Bizarre ce soir, fin de semaine. Les actualités, je n'ai pas suivi. Même locale. Les élections municipales se préparent, je m'en sens absent. Y a 10 ans, alors élève ingénieur, je nourissais d'immenses et iréalisables ambitions pour moi même. Aujourd'hui, je n'en ai plus qu'une seule : être heureux. Que mon nom "n'apparaissent dans les livres d'histoires" n'est plus qu'une image principale d'un de mes films préférés. Je ne serai jamais Jack Beauregard, et tant pis... Si je peux être heureux, cela sera largement suffisant.
Et là, principale ambition : passer un bon weekend. Cette fois ci.

Je suis tellement soupirant en ce moment que même mon titre est une immense supercherie : le soleil, quand il se couche, il passe derrière la colline de Fourvière, certainement pas derrière le crayon. D'ailleurs, le titre de la photo, scannée, est "matin". Donc bon... Mais pour le titre, cela ne l'aurait pas fait...

Coupe du monde de Rugby, c'est beau de voir un monde qui joue

J'aurais du prendre la route pour Montpellier, Stade de la Mosson. Deux places gagnées pour Afrique du Sud - USA ce soir. Au lieu de ça, je me suis préparé un thé écossais (au whisky) et je fais ma mi-temps entre le trés bon France Géorgie de tout à l'heure, et le crucial Irlande - Argentine de dans cinq minutes.
Et si je zappe un peu sur les chaines du cables, où Milan est tenu en échec par Catane, et où Sienne et Cagliari s'annihilent, je reste en pantoufles. Je n'irai pas à Montpellier ce soir.

Parce que pluie : il y a encore eu des innondations dans le Gard oriental cette nuit, et le coin de la Mosson, innondable comme son nom l'indique (la Mosson, il fallait le trouver...), ne m'attire pas quand le ciel est menaçant comme ça. Parce que mon dos me fait souffrir comme il y a quatre mois. Parce que mal à la tête, parce que coup de froid de mon amie. Parce que finalement tant pis, nous aurons d'autres occasions de voir un match de rugby sympa. Triste car l'occasion était belle. Mais Afrique du Sud - USA ne mérite pas 3 heures de route aller-retour pour se prendre pluie, vent, et continuer à faire souffrir ce dos de pas encore 30 ans qui me fait déjà des misères.

Pour autant, j'ai assisté y a deux semaines à USA - Tonga, à Montpellier. Un mercredi aprés-midi de RTT, sous un soleil estival, avec un collègue de bureau. Vive les RTT là où on travaille (merci la gauche... non j'déconne, quoique ^__^). Deux photos pour essayer de montrer un peu cette ambiance bon enfant, dans un stade sans grillages et sans insultes. La grossiéreté laissée aux portes de la ville, pour des orchestres camarguais qui jouaient des musiques de chez nous. La bière coulait à flot, sans risque de débordement d'avoir des supporters au QI de meringues salées beurrés comme des tartines... Et c'était chouette.

Aprés, nous pouvons toujours jouer les rabats-joies, et se dire "oh, ils nous emmerdent avec le rugby !". Mais que je voyais, dans ce stade et dans la capitale du Languedoc, les gens simplement heureux, qui n'avait pas envie de se prendre la tête, juste passer un bon moment, je me dis que ça vaut la peine. Mon amies des Bons Enfants de Marseille avait écrit un texte magnifique sur la vague all-black à Marseille, sur son merveilleux blog. Y avat tout dedans : de la couleur, une certaine joie dans les rues, populaire. Que demander d'autre ? Y a tellement de moments pour se prendre le chou que quand des gens sont simplemet et bêtement heureux, je trouve que ça vaut le coup.

Je retourne voir le match. Je regarderai le dernier, celui de ce soir, à la télé, au chaud. Aprés l'apéritif dominical. Je n'aurais pas l'orchestre derrière moi qui jouera des chansons à boire. Comme sur cet essai, dont je vous propose une "Falcon Video" faite sur place. Pour vous faire entendre un peu de la joie qu'on peut recevoir et ressentir dans un stade.

Comme disaient les chanteurs en 98', c'est beau de voir un monde qui joue. Quelque soit la forme du ballon ou le nombre de bonhommes sur le terrain.

Off Topic: Who Does MyHeritage Think You Look Like?

After coming across Web 2.0 - Your Inner Celebrity on Harry Hoover's blog, I had to try this out the Celebrity Collage from MyHeritage.com. Amusing, but how it's possible for anyone to simultaneously resemble Usher, Helen Hunt and Johnny Damon is beyond me. I have been told before that I look a bit like Glenn Frey, but never any of these people.



If you've got a few minutes to waste, try it out.

*****

Contact Tom Pick: tomATwebmarketcentralDOTcom

Ouest de François Vallejo

Ce roman est lourd, pesant et gluant comme la boue des marais vendéens qui s’accrochent au pied de Lambert le garde-chasse de la propriété des Perrières.Lourd et pesant comme le huis clos dans lequel évolue Lambert et son « maître » … un baron révolutionnaire, un baron qui rêve de la chute de Napoléon en poursuivant des belles dans les couloirs de son manoir, un baron qui plonge petit à petit

WMC Interviews: Sharat Sharan


This week, I had the opportunity to learn more about how Sharat Sharan, president and CEO of webcasting and rich media platform provider ON24, has built this company into a leader in online lead generation and communication. ON24 provides a hosted platform to help B2B marketers and other business professionals produce webcasts, podcasts and rich media presentations for prospects, customers, employees, analysts and investors.

ON24 is also the company behind Insight24.com, a hosting service for thought leadership rich media B2B webcasts, podcasts, videos and demos from leading B2B vendors.

WebMarketCentral (WMC): What did you do before ON24?

Sharat Sharan (SS): I was Group Vice President of Hearst New Media Group in New York. Before that, I was responsible for business development for Wireless Networks at AT&T.


WMC: How and when did you get started in this business?

SS: When I joined ON24, the company had a different business model. During the downturn, the business model was challenged. Since our original business enabled us to create a strong brand within the financial services and technology worlds, we leveraged that as we started to migrate the model in 2001.

That’s when we started focused on live webcasting events. Of course with a lot of hard work, execution and some luck, we were able to win more customers. We launched our first product in 2002 and now are the global leader in this category.


WMC: Who is your ideal or typical client?

SS: For us, webcasting is a horizontal application in which each company in the world has a need for it. With that said, we have several types of customers from enterprises to pharmaceutical, medical devices, publishing, life sciences and government. Each of these customers leverages our webcasting and rich media marketing solutions in several ways.

We focus on enterprise applications that companies are using for lead generation, product launches, internal communications and more. So our customers are the marketing departments of large companies, such as Cisco and IBM. Since many publishers use ON24 to power their webinars, publishing is another focus for us. These publishers are providing end-to-end lead generation webinars to technology customers. And then we have continuing professional education (CPE) customers in medical and audit categories. These customers use ON24 for CPE webcasts.


WMC: Who exactly do you view as your competition—and what sets you apart from them?

SS: ON24 is in a unique position as we provide a wide range of webcasting and rich media marketing solutions based on our close working relationships with our customers. Our customers turn to us for our outstanding professional services, our scalable and reliable technology platform and our ability to innovate in terms of how webcasting and rich media can be applied to enhance their marketing and lead generation agenda.

There may be companies that have components of these solutions, but from a comprehensive level, we believe that this truly sets us apart from everyone else.


WMC: How do you market and promote your business?

SS: Our goal is to constantly demonstrate the value that our webcasting and rich media marketing solutions provides to our customers. For us, we’ve been fortunate to have customers who recognize how our products and solutions benefit their corporate and marketing initiatives. Our customers have become advocates who either communicate the value internally to other departments and colleagues or who actively participate with us on customer case studies, testimonials and media references. Combined with our customer relations efforts, we are also very aggressive in our lead generation activities, of course using webcasting as part of our marketing mix, tradeshows and public relations efforts.


WMC: What's the biggest or most important marketing lesson you've learned since you started ON24?

CC: I think the most important thing, which is part of Marketing 101 or Product 101, is to be extremely close to your customers. In a category like ours, in which people were initially concerned about the complexities of audio and video but its now an important part of the future, we have to constantly hear from customers about the types of applications that they want. We want to know what they’re thinking about, as this is the only way that we can adapt our offerings to support them. For example 3-4 years ago, lead generation webinars didn’t exist. And now, nearly 50% of the webinars we host are for lead generation purposes.

New applications are evolving and as we stay close to our customers to understand their needs and to develop new applications that address these needs.


WMC: What inspired you to start Insight24.com?

SS: As I mentioned, we listen to our customers. We recognized that live webcasts are great for lead generation, with a majority of the audience attending during the live webcast and another 25-30% within the first week after the live webcast. We learned that many of customers would then have all of the archived webcasts but they were focused on the next campaign, so all of this content was sitting hidden on corporate websites or just not being used.

Secondly, when we started looking developing Insight24, a report came out highlighting how business and IT professionals preferred to receive their content. A vast majority indicated that they learned about solutions and companies through webcasts and podcasts.

We realized that by developing Insight24, we could provide two benefits—a resource for business and IT professionals to research solutions and compare vendors, while extending the shelf-life of rich media content for increased ROI.


WMC: Anything else you'd like to add?

SS: We are constantly looking at how we can better serve our customers and this was a great opportunity to share our thoughts. Thanks for the opportunity to speak with you and your readers Tom.

*****


Contact Tom Pick: tomATwebmarketcentralDOTcom

Un belge à Marseille : un de plus

Dans mon esprit, il y a deux belges qui sont intimement liés à Marseille. « Ma » ville de cœur.

Le premier des deux fut entraîneur du Marseille de mon enfance. Raymond Goethals, ce papy plus marseillais que bien des marseillais. Un accent et un humour adorablement sympathiques. En plus, il gagnait. Milan deux fois. Munich après Bari. J’étais un enfant. J’étais heureux. Grâce à lui. Grâce à mon papy belge. Son départ vers le paradis des gens gentils m’a touché. Triste.
Le deuxième belge est plus personnel. Ce n’est pas le peuple marseillais qu’il aura marqué. Un marseillais du Gard, une marseillaise de Marseille. Une amie. Je t’embrasse encore une fois mon ami… Un autre gens gentils. Un vrai. Ca me manque les gens gentils (surtout en ce moment…)

Finalement, Albert Emon est débarqué de la direction de l’équipe première de Marseille. Triste de voir que pendant que des personnes ayant trahis pour arriver (Furlan, Roussey) restent en place, une personne honnête et fidèle, respectueuse de valeurs qui me sont chères (quoique sans doute anachroniques) se voit débarqués. J’aimais beaucoup l’homme Albert Emon. Modestement, je le salue. J’espère qu’il restera à Marseille. Et dans les cœurs, et dans la structure olympienne.
Malheureusement, les résultats sont là. Décevant, catastrophique. Et plus que les résultats, le jeu est mauvais. Marseille n’a pas de lien, pas de liant. On tremble sur chaque coup de pied arrêté adverse. Cissé est tout seul en attaque. Contre Toulouse, même mené 2-0, Marseille n’attaque qu’à deux ou trois joueurs. Qui ne se trouvent pas. Niang et Nasri paraissent sans jus. Zenden et Ziane sortis tout droit d’un réfrigérateur. C’est très mauvais. Les joueurs ont une énorme responsabilité. Sans doute les recruteurs également. L’entraîneur enfin.
Je n’oublie pas l’an passé. Et finalement, je me dis que même la qualification pour la Ligue des Champions n’a pas effacé ma tristesse de la Coupe de France. Même si j’ai trouvé l’équipe de l’an passé sympathique. Une équipe de gens sympas qui m’avait plu. Des Pagis, Maoulida, Civelli, Cana, Cissé, Rodriguez, Carasso… Des marseillais pour la plupart, des amoureux de Marseille en tous cas, managé par des marseillais. C’était chouette. Malheureusement, on ne reste pas longtemps sur le siège de l’entraîneur.

C’est Eric Gerets qui viendra s’asseoir sur la banc olympien. Un belge. Un de plus. J’oublie volontairement De Wolf et Cavens qui n’ont pas laissé un immense souvenir. J’espère ne pas avoir à oublier celui là plus tard. Même s’il lui faudra un sacré boulot pour rejoindre mes deux autres belges marseillais dans mon cœur.
Cet entraîneur est un homme d’expérience. La belle Bruges (photo d’un week-end passé…), PSV, Kaiserlautern, Galatasaray, ceux sont des expériences notables. A voir si la réussite dans ces clubs là peut se retranscrire à Marseille… Je croise les doigts.

Je partais dans mes pensées belges. Bruges est une divine ville qui semble venir d’un autre temps, d’une autre époque. Quand je revois la carte du restaurant, écrite en flamand, je ne peux m’empêcher d’avoir mon cœur se serrer devant cette crise politique en Belgique. Ce pays qui possède une telle chaleur humaine, une telle gentillesse. Ma tristesse n’est pas feinte, elle est réelle…

Je m’éloigne un peu de la Belgique pour finir sur un point football. Ce début de championnat. Rapidement. Outre que je trouve le niveau très faible, et que je pense que les 600 millions donnés par Canal + ont été dilapidés en rien, j’ai eu quelques bonnes surprises. Sans revenir sur Marseille (qui est un de mes cauchemars actuels), Nancy m’a paru une équipe sympathique. Certes, un faible leader pour un faible championnat, mais équipe sympathique (malgré certains supporters aussi cons et détestables que chez les grands clubs, cf le blog de mon ami Fred). Des joueurs sympas. Sur la durée ? Je vois bien cette équipe dans les 6 premiers. D'autres me semblent plus solides.
Rennes, malgré deux cruelles défaites à domicile (Nancy justement, et Sochaux dernièrement), m’a séduit. Equipe sympa. Bordeaux m’a paru la plus solide. Blanc, ça fait tout. Bellion, ça fait pas mal. Wendel, Micoud, Diarra, Planus, Jussié, ça fait le reste. Monaco est pas mal aussi. Et puis Lyon… Décevant. Mais ça finira en haut, malgré le climat pervers contre les Lyonnais (pénible Aulas)...
Reste Marseille et Paris, notamment. Sochaux aussi, qui me déçoit beaucoup (surtout en Coupe d’Europe). C’est très décevant, mais tout a été écrit sur eux. Y a Toulouse enfin, eux c’est une honte. On ne vole pas une troisième place de championnat pour être honteusement ridicule contre Liverpool (quand on ne veut pas jouer, c’est sur qu’on ne gagne pas), et dernièrement en Coupe d’Europe. Je suis scandalisé par ce club.
Enfin je ne dis toujours rien sur StEtienne et Strasbourg. Tant que Roussey restera sur le banc de la première équipe, c’est non. Et la deuxième me fait supporter en ce moment Lens (en plus de Marseille bien sur). Parce que Jean-Pierre Papin, parce que amour et respect sans borne. Mais là c’est mon cœur qui parle, plus ma raison.

Mais en parlant Belgique, Marseille, ma raison aura elle vraiment été utilisée sur ce billet ? Je ne crois pas… Bon courage Eric. Salut amical et respectueux Albert. Et bisous aux deux belges du monde des gens gentils…

New on WMC: Guide to Web-Based B2B Lead Generation Programs


The web marketing plan development section on WebMarketCentral continues to expand with the recent addition of a Guide to Web-Based B2B Lead Generation Programs. An overview of online B2B lead generation tactics, this page provides an overview of the most common types of Internet advertising and online B2B lead generation programs, including:
  • Search engine marketing

  • Advertising on Internet ad networks

  • White paper syndication

  • Email marketing

  • Webcasts and podcasts

The goal of all of these B2B lead generation activities is to make it easy for your prospects to find you when they are looking for a solution to a problem that your product or service provides, then guide them through the process from information-gathering to purchase. Research shows that 75-80% of B2B buyers and influencers use the Internet to find information about vendors rather than responding to outbound efforts.

Web-based lead generation programs supplement and complement offline efforts such as trade shows, direct mail and telemarketing. Online marketing is a key component of every B2B marketing and PR plan, but is particularly valuable for products and services that:
  • Typically involve a single decision maker or small team;

  • Are tactical rather than strategic purchases; and

  • Are relatively inexpensive.

This new section expands on existing guides to SEO, blogging and interactive PR.

*****


Contact Tom Pick: tomATwebmarketcentralDOTcom

Entrons dans l'automne


Enfin l'été se termine. Le signe de la Balance que je suis aime l'automne, aime la chanson de Francis Cabrel, aime quand il fait gris, frais, brumeux.

C'est beau l'automne...

PS pour Skat : quand tu tapes sur Google "Dohko + Balance", pour mettre un lien à la con dans un message qui se veut je ne sais même pas quoi, c'est sur ton site, Aquarius Fantasy, qu'on tombe. Beau référencement ma chère :)
Le pire, c'est que ça me fait plaisir...

VOTEZ LIMOGES !!!

Allez, ca fait un bout de temps qu'on n'a pas voté non ?Alors, voilà la petite derniére ... le MONOPOLY, celebre jeu qu'on ne présente plus, prépare une version FRANCE ... et qui va choisir les villes à répartir sur le plateau ? Ben nous :)Il suffit d'aller sur le site de Monopoly et de voter pour LIMOGES !!!Bon OK OK OK, je suis complétement partiale, mais cela a au moins le mérite de se la

Google AdWords Average CTR and Best Practices


A previous post here covered average click-through rates for email newsletter advertising, email campaigns and website banner ads. As noted, DoubleClick provides fairly reliable data across those media.

It's surprisingly difficult, however, to get meaningful data on the average click-through rate (CTR) for Google AdWords ads. This discussion on Webmaster World reports various experiences: 0.6%-1.2%, 1%-2% and 3%-5%. PayPerPost puts the figure at 0.5-1.5%; and Hochman Consultants pegs the average at 0.7-1.5%. Across all of the sources I was able to find, the average fell into the range of 1.1-2.2%. That range includes both B2B and B2C ads (the latter tend to generate higher CTRs). On the B2B side, I'd place the average Google AdWords CTR in the range of 0.9-1.4%.

So—how can you optimize your Google AdWords CTR to beat those averages? Recently added to WebMarketCentral is a list of 14 Best Practices in Search Engine Marketing. These best practices include:
  • Use free online tools such as Google Suggest and Overture's Keyword Selector Tool to help select the most popular search terms relevant to your campaign.

  • Write compelling, carefully targeted ad copy.

  • Track, analyze, optimize and test everything: ad copy, landing pages, keyword bids and response incentives.

  • Design and implement effective lead follow-up programs; without proper follow up, you're wasting money.

  • Circle back and use search marketing data to improve your natural SEO by optimizing for the most valuable terms (combination of impressions and conversions). Natural search results are 3-4 times more likely to get clicked than paid ads, so it's critical for your website to show up well in both organic and paid search for key search terms.

See the entire list of SEM best practices here.

*****


Contact Tom Pick: tomATwebmarketcentralDOTcom

L'eau doit être froide dans les calanque...

Je me demande pourquoi je suis en train de penser à ça...

Je sors d'un pot de départ : une jeune ingénieur (2 ans d'expérience, la mignone) d'une entreprise sous traitante s'en va sur une autre mission. Elle part sur Aix. Vers là bas, vers les calanques de Marseille. Vers là finalement où j'ai passé mes deux premières années professionnelles...

Ce petit évènement, plus le vent frais sous le soleil de cet été indien gardois, me fait revenir en arrière. Y a 6 ans (déjà), je commençais ma carrière de modeste et petit ingénieur à Marseille. Je l'ai aimé cette ville. Ces calanques, ici de Luminy, à quelques pas d'un centre ville bouillonant de vie. Un début de carrière, que j'ai quitté en rentrant dans un monde adulte en venant à Pierrelatte.

Je pense que le campus de Luminy doit se remplir, et les soirées demeurent belles à Marseille. Qu'il est beau ce coin. il n'empeche, je ne suis plus étudiant, j'ai demain 7 ans d'expérience professionnelle (ou cotisation à la retraite), et là, dans l'immédiat, encore 10 dossiers à éplucher pour choisir les entreprises que je retiendrai. J'ai grandi. J'y retourne.

Green is beautiful

Quant on aime on partage ... Voici quelques mois déjà que j'ai découvert Green is beautiful ... "un collectif créé en 2005 regroupant des professionnels de la communication, des artistes, des journalistes et des scientifiques tournés vers le développement durable. le collectif évolue au carrefour de la communication éco-responsable, de l’esthétique verte ainsi que de l’éducation à la préservation

Le Mannekin-Piss est malade, lui aussi

Article dans Le Parisien-Aujourd'hui en France de samedi 15/09. Le Mannekin-Piss est malade. Le symbole de la Belgique est malade. Lui aussi... J'ai trouvé cet article du Parisien croustillant, et nos amis belges trés malins et fins sur ce coup là. Beau coup de projecteur sur une cause qui en vaut la peine.

Bien sur, le sourire mélancolique à la lecture de ce billet ne pouvait pas être sans arrières pensées. J'écrirai peut être plus tard sur ce que, modestement, je pense des "évènements" qui secoue la Belgique en ce moment. Cette vague qui ondule le plat pays plus que de raison, et lui fait perdre la tête. Sale blague en ce moment que ces présomptions ce cission entre flamands et wallons, avec Bruxelles en arbitre central et en objectif commun.

Bruxelles. Je garde ce souvenir de cette visite entre les fêtes de la fin d'année 2001. Les derniers jours du franc, qu'il soit belge ou français. Un hotel dont je ne saurais retrouver la trace, une pizzeria en centre ville, le Musée Royal avec Bosch et Bruegel qui auront cotoyé Masami Kurumada et tous ces amis estampillés "Saintseiya" qui me sont si chers. François, si tu lis ces lignes, tu dois te souvenir : il faisait froid en plus.

Et donc ce Mannekin-Piss, que notre bien aimé guide nous avait fait découvrir. Dans une petite rue, mal éclairée, derrière une église je crois me souvenir. Il faut vraiment savoir qu'elle est là, cette petite statue pas mise en valeur, mais pourtant symbole de la Belgique.
Une Belgique malade. Une Belgique que j'aime vraiment. Mais j'en parlerai un autre jour...

Book Review: The New Rules of Marketing and PR


There are two kinds of readers who won't like David Meerman Scott's The New Rules of Marketing & PR; fortunately for the author, both groups are small. The first is that small group of ahead-of-the-curve web marketers and PR professionals who have already figured out how to integrate online efforts between optimized news releases, blogs, social media sites, podcasts and all of the other content distribution and promotional tools now available online (though the ranks of this group will be swelled by the readers of David's book).

The second group is the diminishing number of old-school PR and marketing practitioners, those who still believe that press releases are only for the media, that you have to interrupt people with your marketing message to get their attention, and that campaigns aren't real unless they are on TV. This book explodes their old view of the world.

Scott performs two important services with this book, one tactical and one strategic. Tactically he pulls together a disparate set of new media tools into a coherent framework, while strategically, he presents one big idea.

On the tactical side, Scott presents a coherent framework for integrating all the tools of Web 2.0 into a unified marketing and PR program: blogs, podcasting, wikis, online discussion forums, social media, video, websites and search marketing. While many B2C and B2B marketers use at least a subset of these tools regularly, thinking about them in a unified manner can be challenging. An integrated approach maximizes the impact of online marketing and PR efforts, and Scott provides a useful thought framework for creating a coherent and productive action plan.

Strategically, Scott devotes much of the book to one key new rule of PR: it’s no longer just about media relations—writing press releases for journalists and hoping they’ll write about your product, service or company, but more about what I’ll call market relations (more about this in a future post)—writing news releases and using online distribution tools to reach your potential buyers directly.

Press releases are part of the old rules (though they still have their place): write about your company or its offerings, and distribute this information directly to journalists as well as through traditional services such as Marketwire, PR Newswire and Business Wire. News releases aren’t necessarily about you—they are about topics your prospects are interested in: new ideas, perspectives on what’s happening in the industry or helpful guidance on solving problems. These are distributed through online distribution services such as PRWeb and promoted through blog posts, podcasts and Web 2.0 social media.

One measure I have of a book’s utility is how many passages I highlight; I wore out a highlighter on this book. Here are a few key illustrative points and quotes:
  • PR practitioners under-utilize blog research. “How difficult can it be to read the blogs of reporters you’re trying to pitch? It teaches you precisely what interests them. And then you email them with something interesting that they are likely to write about rather than spamming them with unsolicited press releases.”

  • Taking your message directly to your prospects through thought-leadership news releases is a more productive approach to the media as well. “If you do a good job telling your story directly, the media will find out. And then they will write about you!”

  • A market relations strategy won’t produce results overnight, but the beneficial effect is cumulative over time as your prospects come to see your company as a source of insightful, interesting expert content and commentary.

  • Under the new rules, you are what you publish. “Anybody who wants to be a leader has to have news coming out...Businesses will live or die on original content…Get down to the essence of what (problems) your product solves and write good stories about that and publish them online.”

  • Marketing and PR have to be less about fluff and more about substance. “What links all of these techniques together is that organizations…behave like publishers, creating content that people are eager to consume. Organizations gain credibility and loyalty with buyers through content, and smart marketers now think and act like publishers in order to create and deliver content targeted directly at their audience.”

  • Thought leadership content is the ultimate marketing message. “Content brands an organization as a thought leader...Instead of just directly selling something, a great site, blog or podcast series tells the world that you are smart, that you understand the market very well, and that you would be a person or organization that would be valuable to do business with.”

There’s much more—about the power of blogs, the value of content aggregation, the challenge of viral marketing, the importance of online brand monitoring, how to utilize social media, why the “4 P’s” of marketing are nonsense, developing buyer personas and speaking their language, common PR terms to avoid, why you shouldn’t design your website’s media room just (or even primarily) for the media, and how to “pimp out” a blog.

The section on blogging is particularly useful, even for experienced bloggers. And as Scott points out, for many clued-in marketers and CEOs today, “It used to be that the moment of truth was when somebody went to the store to find your product. Now the moment of truth is a link to your site from a blog.” A well-written business blog can serve as a “storefront, shingle, office sign, newspaper ad and yellow-pages ad” all in one.

In short, this book rocks.

*****


Contact Tom Pick: tomATwebmarketcentralDOTcom

Absence de passion, soupir

Je crois que, décidément, j'ai atteint un point de saturation trés haut sur tout ce qui est politique... Ce soir, je viens d'écouter Hollande sur Canal + (que je trouve digne...), Bayrou sur ITélé, pour finalement terminer sur InfoSport écouter l'interview (affligeante) de Pape Diouf sur l'OM. Ce qui, de loin, est encore le sujet sur lequel j'aurais le plus envie de m'étendre...

Je me rends compte que je ne suis pas les conseils de bon bloggueur distillés par Eric sur son blog : écrire uniquement quand on a quelque chose à dire, et ne pas que parler de soit. Pourtant, là, j'ai rien à dire, je parle de moi, de mes soupirs, et j'ai envie de soupirer sur ma lassitude politique. L'amoureux que j'étais de la politique, ancien jeune militant, n'a pas acheté un Canard d'actualité depuis la fin Aout. Et quand je vais sur des sites qui parlent politique, je soupire, je n'ai même pas envie d'y poster. Le New DEL commence sa vie, je le suis, je le lis, je m'en lasse. Parce que pas envie de débattre, et débattre sur quoi ? L'amour pour Sarkozy chez les uns, la haine chez les autres... ? Je suis d'une catégorie un peu à part en ce moment, ceux qui s'en foutent...

J'aimerais, pourtant, avoir envie d'être enthousiaste. Comme certains copains qui ne tarissent pas d'éloge sur ce Président qui change tout, qui relancera l'économie, mettra ces "fénéants" au boulot, et parle vrai. Mouais. C'est bien. Encore faut il croire à tout ce qu'il dit, en ce moment je vois surtout un nombre incroyable de commissions, qui poussent comme les champignons dans les sous bois à coté de chez moi... Ca donnera peut être pas 3 % de croissance, mais ça permet de relancer quelques socialistes, c'est bien.
J'aimerais pouvoir, à la rigueur, m'opposer frontalement à Sarkozy. Ne pas tomber de ma chaise quand je vois Hollande et Besancenot à la même table. Avoir pour seule envie, seul but quand je me lève, de "résister", pour reprendre des termes (que je trouve affligeant) sur certains sites, ou dans certaines bouches. Mais voilà, je n'arrive toujours pas à trouver Sarkozy un "danger" terrifiant pour la France, l'Europe, les Droits de l'Homme, et toute la terre qui va autour. Même si ce dernier me sur-gonfle en ce moment, je n'arrive pas à penser que Royal aurait été mieux. Et je n'arrive pas, donc, à être dans un état de détestation et d'envie de destruction du pouvoir Sarkozyste.

En fait je n'arrive à rien. Je m'en fous, totalement. J'ai l'impression que la France n'ira pas mieux demain, mais je baisse les bras. On nous servait la rupture, j'ai l'impression que certaines maladies du chiraquisme sont encore plus violentes. La maladie des commissions plutot que les solutions et les actions pour résoudre les problèmes. Une nouveautée : on met un socialiste à sa tête. Et surtout un sentiment que l'essence, le pain, même le vin parait il, continuent à augmenter. Pas mon salaire en tous cas.

Mais même ça je m'en moque. Pas envie d'être positif ce soir. Finalement, peut être aller me coucher tôt encore. J'ai fini le premier Kellerman comme bouquin, je vais faire ce soir le premier Henning Mankell, un auteur de polar suédois. Ca fait réver, isn't it ? Au moins autant que la politique en ce moment pour moi, et le passionné que je suis en est navré.

Arsenal - Tottenham : championnat anglais, vraiment ?

J'adore le foot anglais. Et suis ravi que Canal ait récupéré les droits de ce championnat merveilleux.

Je regarde en ce moment (aprés avoir installé mon nouveau lecteur DVD enregistreur pendant Liverpool - Porthsmouth), un excellent Arsenal - Tottenham. Deux équipes mythiques du centre de Londres, dans un stade de White Hart Lane qui est un joyaux. J'avais vu un match là bas en 92', époque où on n'avait droit qu'à trois étrangers par équipes. C'était chouette, l'ambiance, le jeu, tout. J'adore.

Et là quand même une drole de sensation. Aucun anglais, même britannique, chez Arsenal. Ca joue, trés bien même. Avec des jeunes français (les mercenaires sans morale Diaby, Clichy et Flamini, Sagna, Gallas), les merveilleux Rosicky et Fabregas, Hleb, etc... Mais pas d'anglais. Pas de britanniques. Où sont les Wright, Adams et Parlour de quand j'étais jeune ? Où est Seaman ?

Tottenham, certes, la charnière est composée de Kaboul - Malbranque - Berbatov (une league 1 avec des français et du talent tiens), mais ça sent le britannique, ça sent la Guiness et le Royaume de la Reine, dans le jeu et dans les noms.

Je trouve dommage que les clubs de foot perdent leurs identités. Il reste encore des clubs comme Manchester United, Barcelone, Milan AC, qui gardent une identité locale. Marseille, avec des Carasso, des Nasri, des Rodriguez, Cissé et Givet, essaie de revenir aux sources d'une équipe couleur locale. Paris fait de même. Mais les clubs français, c'est qu'ils n'ont pas le choix. Et pendant ce temps, Chelsea, Arsenal, même le mythique Liverpool, n'alignent aucun "local" des iles de la Reine. C'est dommage.

Comme dirait le philosophe à lunette : "le football n'en sort pas grandi". Je trouve que c'est dommage... Par contre le match est super : j'y retourne (avant Marseille - Toulouse... qui a un cierge ?)

Commentaires du Blogger : petit soucis

Petite question à mes copains sur Blogger : je reçois généralement par mail les commentaires que vous avez la gentillesse de laisser (et qui me font toujours un grand plaisir). Mais depuis hier, je reçois un mail illisible : les phrases sont coupés, les accents remplacés par le "=E9" et autres sigles bizarres... C'est n'importe quoi.
Par contre, les commentaires sont bons sur le blog.

Simplement savoir si c'est moi (auquel cas... soupir) ou si le soucis est partagé. Merci d'avance :)

Essayer de se rappeler des bons souvenirs, des beaux endroits

Essayer de se remettre en tête des bons moments quand pas la forme. Des endroits qu'on a aimé, où on a été bien. J'aurais pu mettre Disneyland, c'était bien là bas. J'aurais pu mettre d'autres endroits. J'ai mis Marseille.

Parfois, le soir dans cet appartement, j'avais une grosse boule dans la gorge. Parce que professionnellement je n'étais pas à la hauteur, parce que sentimentalement l'histoire était minée, parce que pas de bonnes nouvelles, parce que j'allais partir. J'ai eu aussi des moments magnifiques. Octobre 2002, les matchs, les Bons Enfants, les salades italiennes.

J'aurais pu mettre une photo de Lyon. Mais je ne m'y sens plus chez moi. J'aurais pu mettre une photo de mon village d'enfance. Je me rends compte que j'y suis parti à 18 ans. Y suis je un jour revenu ? J'aurais pu parler de mon village actuel. Je croyais, mais je ne suis finalement qu'un étranger...

Enfin, la photo est belle. C'est l'essentiel.

MarketingSherpa Releases 2008 Search Marketing Benchmark Guide


MarketingSherpa recently published its Search Marketing Benchmark Guide for 2008, providing data on cost per click (CPC), conversion rates, SEO and other key online marketing metrics. The study is designed to help online marketers set PPC and SEO budgets, forecast results, test online marketing programs, and even (toughest of all)—explain search marketing plans to your client or CEO.

Among the key findings:
  • Search marketing continues to grow at an incredible pace, with spending up 39% globally in 2007.

  • A third of respondents anticipate double-digit spending increases on both SEO and Google PPC programs in 2008.

  • Marketers rate SEO second and search engine marketing (PPC) ads third in terms of ROI, behind only house-list email marketing. Online banner ads and print advertising receive the lowest grades for ROI. The return on PR spending is viewed as the most difficult to measure.

  • Thinking of bringing SEM and SEO in-house? Nearly a third of corporate respondents said that finding talented SEO specialists is "very difficult" (which is probably why KCA's business is expanding in this area).

  • Click fraud remains a significant problem, but is very difficult to measure (duh! Like you needed a research study to learn that.).

The complete study will set you back about $300, but this excerpt is free.

*****


Contact Tom Pick: tomATwebmarketcentralDOTcom

Je suis le buzz !!!!

Sans blague, je tourne les talons cinq minutes et hop ... lorsque je reviens j'apprends que je suis le buzz !!!!Billet amusant et auto promotionnel sans aucun doute de Nowhere Else qui m'a gentiment mise dans sa liste des 230 blogs qui font le buzz sur le web 2.0.Évidemment j'y retrouve avec grand plaisir quelques amis et blogs que je lie (lis ?!?) :http://outil-referencement.com/blog/

Podcast Promotion vs. Blog Promotion

While there are several similarities between blog and podcast promotion, as an audio medium, podcasts offer several addition avenues for distribution. So, podcasts are somewhat of a different animal when it comes to promotion.

Blogs use RSS feeds to get indexed by search engines, as well as promotion tools such as Technorati, TruthLaidBear, Pingoat, BeeTooBee (for marketing blogs) and social media sites like BlogMarks. RSS feeds can be distributed through numerous sites; Robin Good still has one of the best lists ever.

Podcasts also use RSS feeds for distribution and are indexed by search engines based on the surrounding content—podcast files are generally placed on blogs or web pages along with text describing the subject and participants in the podcast. However, podcasts can also get added distribution through services such as iTunes, ODEO, Yahoo Podcasts, Podcast.com, Podcast Alley and Podcast Pickle. Want to really go nuts? Check out podCast411's directory of roughly 150 podcast promotion sites.

To use any of those promotional services, you'll need to create an RSS feed of your podcast, which can be done easily through FeedBurner. FeedBurner also provides an excellent tutorial on how to produce, store and index your podcasts using popular blogging tools. PodcastingNews provides step-by-step instructions for creating a podcast+blog+feed using Blogger and Feedburner.

In short, there's a bit more involved not only in recording podcasts, but also storing and promoting them than there is with blogs—but the addition distribution tools for podcasts make them like a super blog entry that has more methods of promotion.

My thanks to uber-podcaster Paul Dunay for his wisdom and guidance on podcast promotion for this post.

*****


Contact Tom Pick: tomATwebmarketcentralDOTcom

Parlons vins un peu, le Coteau du Layon

Aujourd'hui, je confesse de la repompe. Et un nouveau libelé : "les plaisirs du Faucon", car il y a des choses que j'aime. Le vin en fait partie.
J'ai écrit hier soir une petite note sur mon blog de vin "
la cave du Faucon". Blog modeste qui me permet de m'exprimer un peu, avec des mots et des termes un peu profanes, de celui qui aime le vin sans être l'oenologue averti.
Et puis le vin, ça reste pour moi aussi des souvenirs. Souvenirs de bons moments passés avec des gens sympas, d'un lieu, d'un bon repas, d'un bon moment. Le vin est toujours lié à quelque chose. A la cave, à la région, au moment du glou-glou.
Juste un simple message pour parler de vin aujourd'hui... Et nous reparlerons politique, foot, un autre jour. Je ne soupirerai pas un 12 Septembre.

* Région :Val de Loire
* Appelation : Côteaux du Layon
* Couleur : Blanc
* Nom : Michel Robineau
* Mis en Bouteille : Le producteur
* Millésime : 2006


* Prix : Caveau via un copain qui passait par là, 5,5 €

* Date de glou-glou : Septembre 2007
* Occasion : Apéritif avec un connaisseur avant Italie France
* Avec : Des olives et des copains

Ca faisait un moment que je ne m'étais prété à cet exercice de rédaction de mes impressions d'un vin que j'ai aimé... Longtemps, un peu trop... Trop occupé sur mon "blog premium". Dommage. Pourtant ma cave, refaite dans ma nouvelle maison Roquemauroise, en plein Côtes du Rhone, va bien... Enfin...

Le jour de Paris StGermain - Marseille, mon ancien chef de projet, époque de mon ancienne boite, nous avait invité pour le match. Il redescendait de Bretagne. Il n'est pas redescendu les mains vides...
Epoque où je sillonais la France, parfois en sa compagnie, souvent tout seul. La France des Centrales Nucléaires. Cette époque m'a ammené dans la Vallée de Loire, Chinon, Saint Laurent des Eaux à coté de Chambord, Dampierre et Belleville entre Giennois et Sancerrois. Et dans chacun de ses endroits, des vins assez fabuleux. Menetou-Salon, cheverny, sancerre, giennois, les touraines, les pouilly, les célèbres mais délicieux bourgueils et vouvray. Et donc une découverte un peu excentré, mais découverte à l'époque "là bas" : le Coteau du Layon.

Ce vin est une merveille... C'est un moelleux qui n'écoeure pas. Un moelleux avec une touche sèche qui me sied à merveille. C'est pas du moelleux "mielleux". Et j'aime bien.

Je ne serai pas dire les aromes découverts en buvant ce vin. Non, je suis un piètre oenologue. Je ne suis d'ailleurs pas oenologue, juste quelqu'un qui aime le vin et à qui cela évoque des choses, des souvenirs. Ceux là sont des souvenirs professionnels : la France est un pays merveilleux avec des merveilles et des trésors. Le coteau du Layon est un de ces trésors : on trouve de ces vins modestes, sans prétention et sans un tarif qui fait pleurer les enfants, qui pourraient soutenir la comparaison avec le Roi Sauternes. Prendre un tel plaisir à 5,5 euros, cela serait presque indescent.

Le vin, c'est aussi un moment passé avec des gens qu'on aime. La dégustation s'est faite en compagnie d'un copain d'enfance fils de vigneron de Lirac et maintenant oenologue dans une maison de ChateauNeuf du Pape. Et on aime le vin, tous les vins.
Parce que le vin ne s'arrette pas uniquement aux limites de notre région, aussi belle soit elle. Nantes, c'est peut être aujourd'hui en D2, mais pas trés loin on trouve des magnifiques muscadets, et ce layon merveilleux. Pourquoi resterais je sois au nom ronflant du Sauterne pour accompagner mes desserts ou mon foie gras ? Pourquoi resterais uniquement fondementalistement attaché à mon Côtes du Rhône, à mon lirac, que je défendrai toujours, mais à qui je ne fais aucun infédilité en trempant mes lèvres dans d'autres nectars.

Les layons, les jurancons, sont des vins simples et moins "brillantissimes" de noms qu'un sauterne par exemple. Plus abordables aussi, fatalement. 5,5 euros, ce layon de Michel Robineau est une merveille. Encore un peu jeune (cépage 2006), on le sent en arrière gout, comme une petite pique pour me dire "je suis encore un enfant, laisse moi grandir"... Mais cette texture dans la bouche qui vous donne l'impression d'un baiser tendre et doux, fera que peut être le vieillissement sera difficile... Et que mon carton risque d'être mort trés tôt.
Pour une bonne raison, celle du plaisir.

En tous cas, je sais ce qui ira avec mon foie gras cette année au réveillon de Noel ou du Jour de l'An...

Salut mon ami

Un simple bonjour à un chouette ami. Un Phénix du Hainaut.

On pense à toi. A elle aussi. Mais aujourd'hui, surtout, c'est à toi que je pense. Aux bons moments passés. Toulon, Bruxelles, Paris.
Et à ta présence, votre présence à tous les deux, à des moments où ben je ne pensais un peu beaucoup qu'à moi...

Un simple salut amical, un verre de vin blanc à la main (vous ne faite pas de vin là bas, je vais pas te saluer une biere à la main quand même...)






La chanson que je mets n'a rien à voir avec SaintSeiya... (je le dis pour ceux qui sont venus ici aujourd'hui, pensant que j'allais parler politique ou rugby ou pinard... J'aurais pu parler Kwak ou bières trappistes de Belgique, les bières c'est comme le chocolat de toutes façons, mon préféré c'est la Belgique... enfin passons).
Je disais donc la chanson est la toute dernière de la série des Slayers. Slayers, un dessin animé japonais merveilleux : le dernier épisode, je l'ai vu en ce mois de Mai 2003' où Marseille redevenait une vraie ville du Sud ensolleillée.
Cette chanson semble être écrite pour toi : outre qu'elle clot un de tes animés favoris, son titre est "somewhere". Quelque part ailleurs...

Ceux sont les seules VHS que je garderai, la série des Slayers. Ca prend plus de places que des DVDs, mais ceux sont tes VHS, tes cassettes. En Pal en plus... Mais bon, je vais pas les jeter, tu me gronderai, et tu ne serai pas le seul. Et puis même non, je les garde. Un souvenir parmi tant d'autre, le Seiya de mon porte feuille est toujours là lui aussi... Salut mon ami, à bientot.

WMC Interviews: Jonathan Treiber


I recently had the chance to interview Jonathan Treiber, CEO and co-founder of loyalty rewards marketing provider OnCard Marketing and the man behind iBakeSale.com. iBakeSale is an innovative "painless fundraising" program that allows consumers to save money through cash-back rewards from popular merchants while supporting their favorite charities. The program has signed up hundreds of popular merchants such as Best Buy, Wal-Mart, 1-800-Flowers, Nordstrom, Lillian Vernon, Old Navy, GAP, PetCo and Linens-N-Things. Any charity can sign up and ask supporters to join.

iBakeSale is a great opportunity for shoppers to do well by doing good, and has been written up in numerous blogs including The Parent Bloggers Network, midwesternmommy.com, The Mummy Chronicles, The Karianna Spectrum and Phat Mommy, as well as Jonathan's own blog. Here's our conversation:

WebMarketCentral (WMC): What did you do before OnCard Marketing?

Jonathan Treiber (JT): I worked at Citigroup in New York City doing investment banking, finance and marketing.


WMC: How, when and why did you get started in this business?

JT: We started OnCard Marketing in June of 2006 with the intent to create a pay-per-sale advertising channel for paper media. We thought about making the advertising promotional in nature and engage consumers who would like to receive personalized offers at various retailers. We came from Citibank where we were familiar with the credit card rewards industry and thought it would be great if we could offer people more back on their existing card on top of what they were already getting. After some research, we decided to create our first rewards program where people could sign-up and shop at our advertisers to get deals. We would earn a fee on each purchase from the merchant.

We thought long and hard about what we could do that would be different from all the rewards programs out there and decided to incorporate our passion for non-profits into the business model. We talked with a few people who really liked the idea about using the cash-back rewards as fundraising dollars for local community organizations like churches, schools, little league teams etc. as well as larger charities. We realized nobody else was doing this and that it was a good twist/opportunity that could help us gain traction with consumers. We developed the application, lined up the merchants, and launched in May of 2007 with iBakeSale.com. It’s been growing ever since.


WMC: How would you describe the relationship between OnCard Marketing and iBakeSale.com?

JT: Great question, we get this one a lot. The best way to describe it is that they are two sides of the same coin. OnCard Marketing is our parent company which designed and developed the rewards technology and application for iBakeSale.com as well as other third party programs we are creating. OnCard develops the advertiser relationships and uses iBakeSale.com (which we own and operate) as a distribution channel for these offers directly to consumers. OnCard will leverage the other consumer programs we are building in the same way, as different distribution channels to get offers/ads to different consumers. We realized that we would need to build our first distribution channel (or rewards program) internally to prove to other parties that we could do it for them. Many parties were interested but didn’t want to commit because we were a start-up and hadn’t built a program before. So iBakeSale.com was created to accelerate partnership discussions and help us build credibility in our industry.


WMC: What type of consumer signs up for iBakeSale, or is all over the board?

JT: Really any type of consumer can sign-up. Since it’s not mandatory that members donate their savings, we have people who are just looking for shopping deals and want to keep their savings for themselves. On the other hand, a majority of our members are community moms and families who are looking to support various grass-roots causes and think that doing so by shopping is the coolest idea ever. These are the moms who are tired of bake sales and raffles and looking for something new to use for their multitude of fundraisers.

The biggest characteristic is that our members are people who are comfortable shopping online. Our members tend to be very vocal community members and many are staunch supporters of major charities. These folks are donating their savings to major charities, which gave us the idea to reach out to medium-sized charities as a fundraising option. Many charities are looking for additional funds and some have quickly adopted our program as one additional way to do so.


WMC: How have you attracted merchants to the iBakeSale program?

JT: This is a tricky question but a good one. We have used various ways to attract merchants. The biggest way was to use the various online affiliate networks to help us make contacts with various merchants. We had some pre-existing relationships with some who were interested but the majority of relationships stemmed from these affiliate networks. The thing many people don’t realize is that we had to sell and convince each retailer why they should work with us. It wasn’t so simple for us to join the network and get 300 merchants. There are often lengthy approval processes and various phone calls to explain our business and entice various merchants to work with us.

The biggest reason we were able to launch the program with 250 merchants was because we had such a good business concept. Many retailers who would not have worked with us as a straight rewards program were intrigued by the message we had around charity, community fundraising, and doing good by shopping. Many of these large merchants saw us as a way to gain a deeper presence on the local community level without having to do anything. Their marketing dollars were technically getting channeled through us (as a pass-through) to the communities we helped with iBakeSale.com. They saw it as a win-win and wanted to get onboard.


WMC: What sets you apart from other loyalty and rewards programs?

JT: Here are the key differentiators:
  • iBakeSale offers cash-back rewards with an average rebate of 8%, higher than most other programs

  • Our application allows users to donate a portion of their savings to any cause

  • Users can create their own fundraising groups—they don’t need to be a 501(C)3

  • Focused on grass-roots community organizations

  • Fundraising groups doing most of the promotion of the program

  • Monthly payouts to fundraising groups, unlike quarterly payouts from other programs

  • Targeted offers to each member based on purchase history and preferences—most other programs offer a large online mall with no customization


WMC: How do you market and promote your business?

JT: As mentioned in the previous part, the biggest way we promote our business is by empowering the fundraising groups we support with the tools and marketing materials they need to recruit supporters into their group. It is clear to them that the more people they get into their group, the more money they can hope to raise from the program. We’ve even built in an interface similar to Evite where members can send group invitations directly from our website.

Other ways we are promoting our business is via strategic partnerships and sponsorships. We recently did two deals that are proving out to be very successful. One with MyChurch, which is similar to Facebook but focused on Christian Faith issues. The second was with AmeriCheer, the largest cheerleading organization in the country, where we signed a deal to become their exclusive fundraising partner. Beyond partnerships, we have also done targeted online advertising and are using the success stories from our fundraising groups to generate media coverage via our public relations strategy. That has been tremendous at helping us build online buzz for our program, especially with the media.


WMC: What's the biggest or most important marketing lesson you've learned since you started OnCard Marketing?

JT: There are so many I honestly don’t know where to start. The most important lessons I’ve learned so far have been:
  • Understand who your customers are and which ways are best to reach them

  • It’s always easy to spend money on marketing—it’s spending wisely that’s the tough part

  • Follow-up with everybody—people are not always responsive at first, but a good marketer knows how to follow-up with varied messaging to elicit a response

  • The internet offers tremendous opportunity to build brand and reputation quickly—but only if you use the right tools for your business


WMC: Anything else you'd like to add?

JT: I think that does it. Thanks so much for giving me the opportunity to share my experiences with your readers. I really appreciate it.

*****


Contact Tom Pick: tomATwebmarketcentralDOTcom