Quick Update: Donut PR Guy Gets Hired

PR guru Greg Hoffman, who taped his resume to a box of Dunkin Donuts in order to get the attention of the hiring manager at Think Partnership, has landed the job. The news was actually broken earlier today by Shawn Collins at the Affiliate Tip Blog. I'm not sure if he got the job more as a result of the donuts ploy or his publicity blitz across the blogosphere, but either way—congrats, Greg.

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Ca fait chier d'écouter RTL le matin (2)

Comme il y a 7 mois, ça m'aura emmerdé d'écouter RTL ce matin en venant au boulot...

Bizarre et désagréable quand on a l'impression qu'une part de nous s'en va, qu'une part de notre patrimoine se décroche. Qu'une part de France, finalement, disparait. Désagréables sensations, et un peu triste aussi...

Mon -seul- soutien aux élections législatives

Je suis électeur dans la 3eme circonscription du Gard. Je suis un électeur (ancien militant et élu) marqué à droite, droite gaulliste. Pourtant, s’il n’y a qu’à une seule personne que j’aurais envie d’apporter un soutien aussi modeste que fort et sincère, c’est à elle.

Je ne voterai pas dans la circonscription solognote de Romorantin. Cette ville du centre de la France qui attends que la liaison autoroutière Vierzon – Tours soit totalement opérationnelle, rien ne me destinait à la connaître. Et pourtant.
Je ne voterai pas à Romorantin. Je ne voterai pas dans la 2eme circonscription du Loir & Cher. Pour autant, c’est avec force que je souhaite, de tout mon cœur, la victoire du candidat socialiste Jeanny Lorgeoux à cette élection. Ancien député de la circonscription sous Mitterrand-2 (1988), et actuel Maire de cette jolie capitale de la Sologne, dans laquelle j’ai quelques souvenirs, pas nombreux, mais qui me tiennent à cœur. Je ne connais pas son adversaire UMP, et peu me chaux à vrai dire. Non, je ne souhaite pas la victoire de beaucoup de socialiste, mais de celui là, à 100 %.

Pourquoi lui et pas un autre ? Ben parce que je le connais pardi ! Parce que je le connais et parce que, cerise sur le gateau, je l’apprécie. Ce soutien, modeste qui n’apportera sans doute pas grand-chose politiquement parlant. Mais il est sincère, et issu de ce qu’Internet peut provoquer de plus chouette. Des rencontres entre des gens qui, sans ce média, ne se seraient sans doute jamais rencontré.

Je connais très bien sa fille, la "grande". Je l’aime énormément, sincèrement. Une amie qui a été, à sa manière, très présente lors de choses qui m’ont personnellement marqué et touché. Une amie que j'adore, et dont j'ai la prétention d'imaginer qu'elle ne me déteste pas trop. Une amie, enfin, que j’ai rencontré grâce à la magie des « Chevaliers du Zodiaque ». Cf ce post écrit il y a quelques jours. Elle fait partie de la « première vague », de ces premières rencontres, Entre 2000 et 2001. Une première rencontre dans mes terres gardoises à la Toussaint 2001. Cela faisait un mois que j’avais commencé un travail dans une société à Marseille (j’y resterai 5 ans), et une ballade dans les collines autour de chez moi, dans ce village dont je venais d’être élu. Moi, le RPR, proche de Juppé, Pasqua et Seguin, elle l’enfant de Mitterrand, Fabius, voisine de Jack Lang ancien maire de Blois. Et une amitié qui, je crois, ne s’est jamais démentie depuis. Dont le départ est du aux Chevaliers du Zodiaque…

Et puis depuis, avec mon amie (ma compagne), nous avons eu l’occasion d’aller à Romorantin, dans cette ville un peu à l’écart de beaucoup d’endroit que je fréquente. Comment, sans les Chevaliers du Zodiaque, aurais je connu cette ville ? Les Centrales Nucléaires de SaintLaurent et Belleville restant assez éloignées, tout de même…

Je crois que cela a été au début du printemps 2005, suite à un repas où Jeanny nous avait sorti un Bordeaux divin (Haut Marbuzet, une merveille que seule la terre peut offrir aux mortels), que je me suis rendu compte que la politique n’était vraiment pas question que de manichéisme. J’avais déjà fait fi des appartenances d’appareils politiques, refusant toujours une adhésion à l’UMP. A la télé ce soir là, l’Equipe de France ne parvenait pas à se sortir du piège Suisse. Et nous parlions. J’écoutais le regard d’un candidat PS, donc pas de mon camp, sur pleins de sujet. L’appartenance à un parti, pourquoi être de droite ou de gauche, l’Europe, le rôle de l’Etat, la politique étrangère…Et j’ai trouvé en face de moi un « gaullien » comme je n’en ai pas rencontré beaucoup lors de mes ballades dans le « parti gaulliste ».
Après, pourquoi est il de gauche et moi de droite ? Pourquoi j’adore discuter politique avec sa fille et me rendre compte, après, que des feuilles de papier nous séparent ? Nos origines familiales ? Pourtant, j’avais 3 ans quand mes parents avaient voté François Mitterrand en 81, avec mon papy et une grande partie de ma famille communiste. Peut être aussi en avais je 7 de plus lorsqu’ils ont voté Chirac en 88’, parce que la déception était là. Lui a eu des parents ouvriers, pour qui la gauche représentait, à l'époque, quelque chose. Une éducation sans doute avec les mêmes valeurs de fraternité et d'humanisme je pense, mais un "geste politique", un "vote", une "signature", différente.
Et pourtant, tellement de points que je sens commun.

Enfin, un point que j’aime chez Jeanny Lorgeoux, et qui fait que je m’identifie plus à lui qu’à un « simple politique », est sa connaissance du monde de l’entreprise. Des responsabilités dans le privé, donc une connaissance de ce qu’est le salarié, de ce qu’il vit vraiment, de ce qu’il peut ressentir. Autrement que par le prisme de « rapport » de pseudo-expert qui n’ont vu des ouvriers et des cadres que dans des livres d’image ou des exposés de professeurs.
Jeanny connaît ce monde de l’entreprise, qui est celui qui produit des richesses, de l’emploi. Il le connaît vraiment. Infiniment plus qu’une Martine Aubry qui, sous Jospin, avait pondu des 35 heures sans réflexion ni discernement. Et je pense bien plus que notre bon Président et son leitmotiv de campagne, travailler plus pour...

Pour terminer, Jeanny aime le foot, son club marche bien en National (Romorantin c’est pas le FC Nantes ^__^ bon c’est pas Nîmes non plus). Non seulement il l’aime, mais en plus il le connaît drôlement. Jeanny aime le vin (et ça, ce n’est ni de gauche ni de droite). Les livres aussi (le complexe du Faucon devant des littéraires, faudra que je raconte ça aussi, un jour…). Et puis c’est un gars bien, c’est une famille adorable, c’est des gens supers.

Alors oui, est ce que le fait d’être « quelqu’un de bien » suffit pour être un bon député ? Je ne sais pas. Mais par contre, dans un système parfait, avec des députés représentants vraiment l’intérêt de leurs circonscriptions et de la France, et pas seulement l’intérêt de leur caserne politique, Jeanny Lorgeoux serait un grand député. Avec lequel, si je me trouvais un jour élu par hasard (…), je serai probablement souvent en accord. Pas la peine d’être sur le même bord pour avoir des points de convergence.
Donc est ce qu' "être un type bien" suffit ? Je sais pas si c'est suffisant, en tous cas c'est drolement, dramatiquement même, nécessaire.

Je ne sais pas quel est le poids d’un homme de droite du Gard pour un candidat de gauche en Sologne. Si ce n’est le simple salut que je lui fais, amical. Profondément amical.
Et je veux encore une fois démontrer que l’affection, voire plus, dépend d’autre chose que du vote que l’on fait dans un isoloir. Une partie de mes proches s’étaient détournés de moi lorsque mon nom était apparu sur la liste de soutien du candidat RPR aux élections cantonales de 1998’. Alors que mes meilleurs amis comptent des appartenances allant du parti communiste à la droite de la droite. Enfin, je ne perds finalement pas grand-chose à ne pas être apprécier de gens intolérants et sectaires. Je ne perds pas grand-chose.

Le combat sera difficile pour Jeanny, la vague bleue risque d’être violente. Mais il y aura bien quelques îlots. J’aimerai juste que ceux soient les quelques élus locaux qui ont fait de belles choses (Romorantin en est une, et son Maire n’y est pas pour rien…) qui gagnent la martingale. Pas forcément des parachutés ou des apparatchiks d’appareils…

Bon courage Jeanny.

PS : quelques photos de Romorantin et de la Sologne... C'est joli
PS2 : un autre soutien à un député socialiste qui prouve, par l’absurde, combien le PS est ridicule et malade. Soutien total au député Derosière, dont le rapport cher à la Grande Gueule Jacques Maillot est important. Merci au blog de Sylvain Attal, sans qui je n’aurais pas eu l’info, c’est fou les choses que l’on nous cache…
Ce député, qui a fait un très bon travail à l’Assemblée, n’a pas eu à nouveau l’investiture. Sous couvert de renouvellement, ce proche de DSK se fait mettre dehors. Pendant ce temps, les parachutés PS proche du pouvoir en place continuent à se pavaner, en Charente, en Seine Saint Denis et ailleurs… Le PS est vraiment malade.

Bétise politique du jour

Breve du Figaro.fr. Emprunt: Royal dénonce "l'improvisation".

Sur qu'en matière "d'improvisation", elle sait drolement de quoi elle parle et on doit sans doute pouvoir lui faire confiance ^__^ (enfin, perso, ça m'amuse toujours les hopitaux qui se moquent de la charité, ça me fait rire).

On mange bien chez Ikki

Photo prise à Nimes. On reconnait Nachi, Hyoga et le petit Basilik qui sortent heureux.

Oui, c'est con, mais ça m'amuse. Dessins toujours de la chouette Pallas, fanartiste favorite, en même temps qu'une amie précieuse.

Mes premiers amis du web s'y mettent (et message à Frankoiz)

Message à tous ceux qui pensent que le web, c'est l'enfermement, c'est un autisme profond qui fait qu'on se ferme aux autres. Je ne le crierai jamais assez que c'est une connerie sans nom de penser ça mais bon, chacun restera avec ses idées caricaturelement préconçues.

Pas ici une liste de lien de mes amis. J'ai pas mal d'amis que j'aime beaucoup, avec une réciproque souvent évidente, et je leurs en remercie. Je parlerai un autre jour de mes premiers amis, ceux des écoles primaires ou collèges, voire lycée, ou aprés, qui s'y sont mis. Je parlerai plus tard de ceux que j'ai rencontré via les blogs plus politiques, plus sérieux.
Non, ceux là proviennent en partie d'ici, ce site du newsgroup SaintSeiya, ma première expérience du web. Là où j'ai rencontré certes des gens qui maintenant me ferment leur porte, leur coeur, et tout le reste (mais c'est une parmis tant d'autre...), mais là surtout où j'ai rencontré des personnes superbes, que j'aime vraiment. Avec qui j'ai partagé des moments parfois géniaux, parfois que je ne souhaiterais pas à mon pire ennemi.
Mais toujours des moments qui font que je sais que j'ai dans mon numéro, ou dans mon adresse mail, quelques numéros, oh pas beaucoup, qui sont en touche directe. J'en ferai pas plus, mais rien que pour eux, pour elles, je ne remercierai jamais assez Masami Kurumada, mais aussi les suisses du CERN (de Genève, désolé) qui ont inventé Internet (non c'est pas les américains).

Les blogs de mes amis originaux donc.

Ca fait longtemps qu'il en a fait un. Mais son site, BurningBlood, était un des meilleurs, sinon le meilleurs, de SaintSeiya. Là, mon ami Arion a aussi fait son blog. A son image, à sa passion. Le premier qui l'a fait, donc premier de la liste.

La deuxième, aprés la "qu'est ce que tu dis'page" qui fut notre premier involontaire contact, via l'ancien hébergeur de la page, a fait aussi son blog. Ma Muse des Bons Enfants qui garde quelque part dans son placard une bouteille de whisky qui ne connaissent pas beaucoup d'autres lèvres que les miennes a changé de pseudo. Mais dans mon téléphone, dans mon Outlook, et dans mon truc couillon à gauche dans ma poitrine, je garde le même pseudo de 6 lettres.
N'empèche, son blog est une merveille. Je vois à merveille les images qu'elle veut nous montrer. Je connais la plupart de ces coins, ses coins. Elle et les autres, elle et nous. Je suis content qu'elle ait lancé l'aventure du blog, c'est super.

De Marseille à la Lorraine, on se ballade même chez SaintSeiya. Des maisons éloignés, une même passion. Sauf que là, on préfèrera Camus (pas l'écrivain) à Saga. Serpent Vagabond, parce que le serpent, même si j'en ai peur, c'est la pharmacie. Pharmacienne, tellement d'amie de mes études lyonnaise en sont, ca serait bien qu'elles s'y mettent au blog. Mais celui là me plait. Et je découvre qu'en plus l'amie des Verseaux sait écrire, mais qu'en plus elle écrit vraiment bien. Chui content comme tout de ces découvertes.

Différent et j'en parlerai plus tard. Mais là, c'est une connaissance familiale. Pas un blog, mais un candidat aux élections législatives à Romorantin. J'aurais l'occasion d'en parler dans un article à part, mais je ne peux pas ne pas en parler dans une page de lien sur mes amis de "SaintSeiya". Car la Sologne m'a aussi offert une amie que j'aime vraiment. Bon courage Jeanny, je ne souhaite pas la victoire des socialistes aux élections, mais y a une circonscription où je la souhaite vivement !

Et enfin, parce que c'est mon titre : Frankoiz (les images viennent de chez lui, elles sont belles, non ?), de mes amis de SaintSeiya de cette époque originelle, tu restes le premier. Athéna, Champs Elysée, Quick la Sorbonne entre deux tours de Municipale, et des chiens qui aboient dans des coins du Louvre sous la nuit. Il est bien ton site, un peu mou, mais bien. Vas y, lache toi mon ami, on t'attends (entend les cat's woman qui t'appellent).


Voilà, c'est eux que j'ai rencontré au début de tout. Merci Seiya.

Book Review: The Black Swan

Most business and marketing books are written for the broadest possible audience, have the tone of a motivational speaker, and offer specific, concrete guidance on topics such as drawing more web traffic, better organizing your time, or closing the big sale.

The Black Swan: The Impact of the Highly Improbable, by Nassim Nicholas Taleb, is none of those things. First, it's an intellectually challenging book, so it's not for everyone (particularly economists, social scientists and government planners, who would benefit from reading it, but take quite a beating from Mr. Taleb here). Second, the tone is engaging, but certainly not cheerleading, and ranges from dryly academic in spots (e.g. discursions on competing schools of philosophy) to positively engrossing (e.g. first-hand accounts of the Lebanese civil war). Finally, the author's advice, while highly practical, deals with nothing as mundane as B2B lead generation or podcasting, and will require considerable thought on the part of the reader to properly and constructively apply.

The "black swan" of the title comes from the fact that for centuries, scientists and pretty much everyone else believed that all swans were white. The first sighting of a black swan thus completely upset the established conventional wisdom. A "black swan" in the context of Taleb's book is a completely unexpected event that has a large impact. The terrorist attack of 9-11 was a black swan, as was the stock market crash of October 1987. Black swan events can be positive as well, such as the end of the cold war.

To give you some sense of the book, here are just three of the author's numerous intriguing observations and anecdotes:

1. Know when to apply the bell curve—and when not to. If you gather a thousand people in a stadium, and measure their weight (or height, or IQ, or any other natural measure), you can plot that on a bell curve, and be highly confident that one additional observation wouldn't have any significant effect on your statistics (i.e. you won't a human anywhere who is 900 feet tall and weighs 50,000 pounds).

The bell curve does not, however, apply in the man-made realm. Measure the financial net worth of those same thousand people, and then add a 1,001st personBill Gates. What does that do to the shape of the curve, and the average value? Human-world attributes don't follow the bell curve: stock market valuations, book sales by author, the income distribution for actors, singers and professional athletes, stock valuations within a specific industry, etc. Prediction errors are frequently caused by applying bell curve thinking to non-bell curve phenomena.

2. Predictions are always wrong. Before reading this book, I believed that economic forecasts were generally more reliable than weather forecasts (particularly living here in Minnesota, it's difficult to imagine anyone making a living being wrong more often than our weather forecasters). Yet weather patterns, despite their intrinsic variability, still follow physical laws. The entire "science" of economics rests on a faulty premisethat people will always act rationally to maximize value. That is, cloud formations and wind patterns have no free will, but people do. Throw in one large irrational economic act, or a hundred small ones, and economic forecasts become dreadfully wrong. Yet research also shows that while economic forecasts rarely cluster around the true values (e.g. next year's GDP growth rate or prime interest rate), predicted values do usually cluster around each other. Which is to say, economists seem to be more afraid of being significantly different from one another than they are of being significantly wrong.

As an example of this, Taleb writes about the experience of a large Las Vegas casino. The casino went to great length and expense to protect itself from gambling losses or unusual "lucky streaks." Yet these risks were both modest and quantifiable. The six largest financial losses in the casino's history had nothing to do, directly, with gambling at all. Among these were the loss of an irreplaceable performer to a tiger mauling; the kidnapping for ransom of the owner's daughter; and a large fine after it was discovered that a casino employee had inexplicably failed the winnings of high-rollers to the federal government for tax purposes.

3. Recognize the limitations of classroom knowledge in the real world, or, the importance of street smarts. An engineer and a real estate speculator were both posed the classic question, "If I am flipping a perfectly fair coin, and it comes up heads 99 times in a row, what are the odds of it coming up tails on the 100th flip?" The engineer answers: 50%. That's the correct answer, the one we all learned in school, right? The speculator, however, though he knows the "right" answer just as well as the engineer, pegs the odds at no more than 1%. Why? Because, given that heads have come up 99 times in a row, he questions the assertion that this is indeed a "fair coin." To use the tired but applicable phrase, he "thinks outside the box" by questioning the basic premise of the question. This relates to the weakness of economic forecasts which rely on the assumption of "human rationality" as well.

Three interesting facts from the book that you may or may not have known:

1. "The best predictor of the success of a movie is mild rain in large cities on the release date." Light rain makes outdoor activities unpleasant, but doesn't keep people from going out altogether. This increases the probability of a big opening weekend and subsequent buzz for the film.

2. Alexander Fleming accidentally discovered the antibacterial properties of penicillin when one of his old experiments became contaminated.

3. Charles Townes, inventor of the laser, was initially teased by colleagues about the irrelevance of his discovery.

And finally, three lessons from the book:

1. Be humble about your knowledge. Taleb writes about author Umberto Eco's "antilibrary," a collection of 30,000+ unread books. Eco keeps this library to remind himself of how much there is that he doesn't know, which helps him maintain humility. It's okay to say "I don't know" when that is indeed the right answer. It helps one avoid making (inevitably wrong) predictions.

2. Follow the 85/15 rule. Focus 85% of your endeavors (professional time, your stock portfolio, etc.) on low-risk ventures. These are investments with a high probability of yielding small returns, and extremely low probability of loss. They are unexciting, but keep you from starving in the dark.

Invest the other 15% in black swan-seeking, high-risk opportunities. These carry a low probability of a very high payout. While there is high risk of loss (but remember, this is only 15%and the investments should be spread out to avoid overexposure to any single opportunity), these are exciting and hold the potential to let you do far more than keep the lights on and food in the refrigerator.

3. Be skeptical and empirical. In other words, be like the real estate speculator. Question assumptions, dubious reasoning and even "facts." Believe what you can verify through observation and experimentation, mindful of the limits of your knowledge and aware of the possibility of black swans.

Taleb simply thinks at a higher level than many other writers. This book isn't for everyone—but if you are up to the intellectual challenge, reading The Black Swan: The Impact of the Highly Improbable will be highly rewarding.

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Other reviews of this book: Platformonics blog, BusinessWeek


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Joli test de personnalité

Découvert chez Mélissa : Mon bel ADN , trés joli, on choisit les réponses en images (attention, pratique de l'engliche nécessaire !).Je partage aujourd'hui mes résultats avec vous, mais surtout vous invite à le faire ... trés agréable, petit moment d'évasion et d'introspection garanti.Read my VisualDNA™ Get your own VisualDNA™

Travailler plus pour gagner plus ? Premiere contradiction

Aujourd'hui, mon site nucléaire est fermé : RTT obligatoire. Soit. Il n'empeche.

J'avais, le 14 Mai 2005, exprimé mon profond désaccord devant ce lundi de corvée, cher à Raffarin. Le lundi de Pentecote travaillé : on a merdé comme des fous durant la canicule 2004, et un ministre de la santée en polo qui dit "cool, tout va bien", ça a fait mauvais effet. Donc on supprime un jour férie. Con, fallait y penser.
Nicolas Sarkozy, par la voix de Xavier Bertrand, a dit "on ne touche à rien". D'accord.

Sauf que là, de fait, on "travaille plus". Entre 7 et 8 heures de plus. (Tout le monde, même la SNCF qui se fout de la gueule du monde en faisant rattraper à ses salariés 7 minutes par jours). Mais en travaillant plus, sommes nous payés "plus" ? Ben non, puisque tout l'argent va dans les caisses de notre Etat gourmand...
Et si, pour être cohérent, cette journée "travaillée en plus" était "payée en plus" ? Cohérence, simplement de la cohérence ?

Nimes, quatre images d'un weekend de fête

Un blog sert aussi à raconter sa vie. Mais suite à un weekend d'enterrement de vie de garçon d'un ami de promotion, un peu fatigué le Faucon. Weekend à la féria de Nimes. Je n'aurais pas mangé, à ma grande tristesse, de gardianne de taureau, mais j'aurais bu un peu de Sangria au son de Pena.

Quatre photos qui montrent quatre aspects de Nimes en ce weekend. La première, toute bête. Les jardins de la Fontaine restent tels quel, féria ou pas. Le soir, à proximité, des bodégas ne troublaient même pas le calme des canaux.

Et puis au milieu de la rue Victor Hugo, un endroit central de là où beaucoup de choses se passent, une Eglise. Entre la maison Carrée et les Arènes, que je n'ai pas pris en photo, on les voit ailleurs sur mon blog (ou ailleurs). Outre le palmier, deux évènements durant cette soirée.
C'est ici, sur un écran géant, que nous avons suivi l'épilogue de la Ligue 1. On se criait dans les oreilles "putain, Rennes est en Champion's League", avant que la cruautée imprévisible du sport les crucifie, 3 minutes aprés la fin du temps réglementaires. Pour s'entendre hurler "oh putain, c'est Toulouse en League des Champions !". Nimois, Toulousains, ne sommes pas nous un peu frères de Languedoc... Claude Nougaro, on t'embrasse.
Ici aussi que la soirée a pris fin pour nous, vers 1 heures du matin. L'arrivée d'une population qui venait chercher un coup de poingt, et une belle vague de gaz lacrymogène qui nous a donné envie de plier bagages, la soirée était belle, la nuit beaucoup moins. Avec ce sentiment triste qu'à Bayonne, tout est tellement plus bon enfant...


En se balladant dans le Vieux Nimes, une péna devant le théatre. J'ai aimé la photo.

Et là, avant que mon appareil montre ses limites de la vision nocturne, une Pena Rue Victor Hugo. On est un peu avant 20 heures, on boit une Sangria avec un ami qui 12 plus tôt était à Istanbul (le Monde est petit...). Et les parents sont encore dans les rues avec leurs enfants, et c'est sympa.


Un regret personnel de pseudo-photographe. Nimes est, pendant la féria, un petit village avec des petites places. Et sur la "placette", entre Hugo et Jaurés, c'était un village merveilleux où sur scène jouait des groupes gitans - pop. Les enfants, avec parents et grands parents, était là sur les bancs, dessous les platanes. Les adolesents fleurtaient, et nous buvions au Jerrican. Tout était tellement agréable.

Donc pourquoi est ce que Nimes devient complétement fou minuit passé ? Pourquoi le carosse devient citrouille. Pourquoi revient le 'sentiment d'insécurité', avec quelques échauffourrés que l'on voit ci et là ? C'était la première fois que je restais de nuit à la féria, je préfère les ambiances de fin d'aprésmidi. Mais là, je crois que je n'y reviendrai pas de sitôt. Parce que j'aime pas, parce que ça sent pas bon. Déjà pris dans la gueule un nuage de lacrymo (avec une jeune fille qui a fait un malaise devant moi, youpi belle ambiance), je veux pas être idiotement paranoaique, mais....
Donc la moralité est qu'à partir de minuit, faut trouver une bodéga si on veut faire la fête au bout de la nuit. Sauf deux choses. un groupe de 20 mecs, dont les trois quarts sont beurrés et ont le TShirt blanc bien aviné, ça rentre pas n'importe.

Et surtout, je ne suis pas fétard. J'aime une belle table, des copains. Mais aprés, quand ça danse jusqu'au bout de la nuit, c'est là que je m'éclipse. Je n'aime pas, je ne m'amuse plus, et même pire : j'ai sommeil. Donc dodo : salut Nimes, bonjour ma couette.

Anonymat du blogueur

Très intéressantes vos réactions nombreuses à la petite question que je posais de manière anodine à la fin de mon dernier article !Je vous remercie évidemment tous pour ces commentaires, et vais tenter de faire une petit synthèse de ces réponses, car finalement le sujet semble toucher bon nombre de bloggueurs et continue de m'interpeler !LES PLUS DE BLOGUER SECRET- pour pouvoir s'exprimer malgré

Le Gard Rhodanien vu d'en haut

Aujourd'hui, c'est photo à l'Elysée. Modestement, je poste une photo prise ce weekend.

Il faisait beau, et j'étais sur les hauteurs du joli village gardois de Rochefort-du-Gard. Il y en a hauteur une ancienne église qui s'appelle le Castellas. Que j'ai pu en faire des fêtes à l'époque dedans quand, jeune RPR que j'étais devenu, le Maire gaulliste de l'époque (un "baron" local, c'est nos éléphants à nous, les "barons", plus Borsalino que poète, mais ca faisait beau dans le paysage et ça manque un peu) avait l'habitude de grands aiolis et autres paellas, notamment à cet endroit.

Maintenant, j'ammène souvent des gens que j'aime bien là haut. On a une vue sur le Gard Rhodanien du Sud. Le village en face s'appelle Pujaut. Si j'avais un grand Angles, on verrait le début des Angles à droite, ça touche Villeneuve les Avignon. Et à gauche, mon village de Roquemaure.
Pour finir la petite histoire, cette vallée fut en 2002 un immense lac lors des innondations que nous avions vécu dans le Gard. Aramon n'est guère loin plus au sud (à droite sur la photo).

Et enfin, toujours le Ventoux. Mais je l'adore de toutes façons...

Tous les délits n'ont pas le même poids

(merci à Serval qui m'a lancé en moi cette colère suite à un mot sur son blog...)

Deux hommes à droite, deux hommes à gauche.

A droite, à l'UMP, un authentique homophobe qui a été jugé comme tel, le député du Nord Vaneste. Réaction du parti anciennement présidée par Nicolas Sarkozy ? On ne lui donne pas l'investiture UMP aux prochaines élections, ça lui apprendra à ce galapiat ! Sauf qu'on n'investi alors personne dans sa circonscription. Et le député Vanneste concourra avec l'investiture C.N.I (député de la majorité sortante quand même).
Toujours à droite, Nicolas Dupont-Aignan, député gaulliste de Yerres, ne valide pas des options de Sarkozy. Il veut faire entendre une voix gaulliste, qu'il pense absente de l'UMP actuelle. Lors des élections, en représaille, et parce que c'est pas bien ce qu'il a fait NDA, l'UMP investi un candidat qui sera face au député sortant Nicolas Dupont-Aignan.

A gauche maintenant. 2002, Frèche traite les harkis de sous homme. Silence. 2006, l'Equipe de France n'est pas représentative, trop colorée. Ahhh, là, colère du PS. Raciste une fois, mais pas deux. Punition suprème : on réunit pour dans deux mois la commission des conflits du bon président Mermaz. Et aprés, on exclu momentanément Frèche du PS. Tout en lui offrant la tribune quand Mme Royal vient en meeting à Montpellier, tout en le soutenant haut et fort à la Région Languedoc, avec force, conviction, pour ne pas dire zèle.
Mai 2007. Bernard Kouchner accepte d'être Ministre du monstre Sarkozy. Horreur terrible : il est exclu du PS sans passer ni par la case Mermaz, ni par la commission, ni rien. Avant, il "fallait faire la lumière", là non pas la peine. Dehors, carton rouge.

Conclusion ? Message envoyée à la jeunesse de ce pays par ces partis qui mettent haut en avant la lutte contre les discrimination, les racismes, et tout le toutim ? Et bien l'homophobie et le racisme sont deux maux bien moins graves que le fait de ne pas être d'accord avec le chef, la ligne tout en haut. Mon député voulait rétablir le délit de blasphème, en voilà une certaine forme dans les appareils de parti.
Moi ça me rajoute à mon mal de ventre causé par les anti-inflammatoires. Je dois être mauvais esprit, peut être...
Mise à jour 23/5/7 : finalement l'UMP n'investi personne contre NDA. Bonne nouvelle je trouve, pour un homme pour qui je confesse une certaine affection. Il n'empeche : cela n'enlève rien au fait que Vanneste doit être battu. GayLib, une association proche de l'UMP, eut fait la demande d'avoir l'investiture UMP pour cette circonscription Vannestienne. Sans réponse... Hypocrisie, j'écris ton nom.
Mais Georges Freche va toujours trés bien, et le PS de l'Hérault aussi, merci beaucoup pour eux.

WMC Interviews: Alan Douglas


Last week I caught up with Alan Douglas, president of Douglas Publications and the Briefings Publishing Group. Briefings offers newsletters, videos, reports and tip books to help professionals sharpen their workplace skills, improve productivity and become a more effective team player and leader. Their Corporate Writer Resource newsletter provides corporate communicators in PR and marketing with concise, practical advice about writing, editing, format, design and writing for the web.

Here's our (rather concise) conversation:

WebMarketCentral (WMC): What did you do before Briefings Publishing Group / Douglas Publications?

Alan Douglas (AD): An eclectic background with experience as a business executive, attorney and college professor.


WMC: How, when and why did you get started in this business?

AD: Business to business publications allow for both creative and financial rewards.


WMC: Who is your ideal or typical client?

AD: Someone who wants to be better, happier and appreciates “cool.”


WMC: What sets you apart from your competition?

AD: An interest in providing what is useful content, media and continuing education.


WMC: How do you market and promote your business?

AD: Personal sales, telemarketing, direct mail, email and affiliates.


WMC: What's the biggest or most important marketing lesson you've learned since you started Briefings Publishing Group / Douglas Publications?

AD: Judge people by their actions, not their words.


WMC: Anything else you'd like to add?

AD: Anything is better than junior high school.

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J'avais 500 messages, fatiguant... Réflexion Hollandaise

Et là, c'est le 51eme. Est ce pour ça que, depuis la fin des présidentielles, et quelque part depuis le début de mes idiots ennuis de santée dorsaux (et ventraux maintenant, les anti-inflammatoires ont des effets secondaires détestables) je ressens une certaine lassitude quant à l'écriture ? Sans doute pas, pas que ça disons.
Mais oui, j'arrive plus à écrire, à parler politique. J'arrive plus. Je regarde la télé, j'écoute la radios, je lis la presse et les blogs. Et bien évidemment j'ai des avis sur tout, ou plutôt surtout des avis, qui ne regardent et n'interressent finalement que moi. Et je n'arrive même pas à les pixelliser noir sur blanc sur la fenêtre blanche de mon Blogger.

Mais qu'aurais je à dire que personne n'a dit ou sussuré ? Jamais je n'irai dans cette surenchère qui consiste à fantasmer, ou à espérer, que Sarkozy soit égal à régression et répression. Avant, c'était danger et violence ce à quoi il était égal, finalement les sites nucléaires de France n'ont pas explosé, ce qui reste une bonne nouvelle.
Et dans ce même ordre d'idée, je n'ai pas envie de rajouter de l'huile dans le barbecue qui sert aujourd'hui à bruler François Hollande. L'homme politique de l'année 2004, cocu magnifique fin 2006, est aujourd'hui l'homme à abattre. Je ne l'apprécie pas plus que ça, et je pense que sa politique de "plus petit dénominateur commun" du PS a été coupable et hautement condamnable. Le PS s'est comporté le lendemain de 2002 comme l'élève qui a eu un avertissement de comportement au collège et un mot à faire signer par les parents. 2007 n'a été que la suite logique d'un 2002 qui n'a pas été intégré, digéré, assimilé, et assumé.

Pour autant, j'avais émis sur le DEL le sentiment que j'avais quant au lynchage de Hollande, lynchage qui me rendrait presque sympathique une personne que j'ai fortement combattu, et dont je déplore un cynisme qui me rendrait par moment JF Copé sympathique. Pour autant, comme Royal en Février, comme Sarkozy avant, ce lynchage me le rend humain et me donnerait presque envie de le défendre. Et de rappeler à ceux qui le trainent dans la boue qu'au Mans, à part Montebourg, qui s'est levé pour dire "c'est quoi ce bordel" ? Fabius a accepté d'être le numéro 2, StraussKahn de fermer sa gueule. Pourtant, le référendum est passé par là. Mais non...
Pour autant, j'avais émis aussi ce sentiment que si j'avais eu 20 ans de moins, peut être aurais je vu réellement, autrement que par des films de Patrick Rottman, la horde de chiens lachés sur Chirac au soir de 1988'. Les rénovateurs, Pasqua-Seguin, Balladur, tous pour lui faire la peau. Et au final, 12 ans d'Elysée derrière cela. Il a même survécu à la lynchée post 97'. Et même ce soir, Chirac est regretté, alors qu'il fut vomi encore pas plus tard qu'au soir de 2005', où partisans du oui et du non demandaient sa tête et ses trippes.
Je combattrai sans doute encore Hollande. Mais et si la Corrèze n'était pas leur seul point commun ? Un chemin de croix est important pour celui qui veut arriver en haut de la montagne. La période post Balladurienne et post élection européenne de 99' ont peut être été les périodes qui ont fait Sarkozy président, qui sait ?

Finalement, j'aurais écris politique. Que vaut mon écrit ? Sans doute peu de chose. Mais bon... Demain, je parlerai du Gard et de l'OM qui est vice champion de France. Mais quand même, j'aurais bien aimé une coupe à toucher, à carresser. Le concret, c'est beau aussi. Mon coté exigeant.
Demain, j'ai un scanner. Pas un Epson qui imprime, mais un pour mon dos. Je me languis de retourner courrir : Sarkozy dépasse les 90 minutes alors que j'en fais pas la moitié. J'ai à m'entrainer. Encore.

Greg Hoffman, PR Guru for Hire

I don't normally do this here, but PR expert Greg Hoffman of the Internet Marketing Gorilla blog is an extraordinarily talented PR guy seeking employment. I've been in his shoes and know how frustrating and painful that can be. Greg isn't letting his situation affect either his creativity or sense of humor, however: check out his post on "The old resume taped to a box of Dunkin Donuts trick."

Greg gave me some great feedback for an upcoming post I'm working on addressing interactive PR. He knows how to develop highly effective PR programs on a tight budget. Hopefully the company he's pursuing is smart enough to hire him. If not, someone else certainly will be.

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Desolee du silence radio ...

Eh oui, voilà quelques temps que je n'ai pas posté, ni visité vos sites et blogs, le paradoxe est que c'est parceque j'essaye de faire parler de moi sur le web (cf. mon post sur le référencement !!!Du coup, aujourd'hui, je me pose aussi au moins deux questions sur la blogosphère :1 - la fréquence de postage idéale, le contenu : je ne me sens nullement coupable de ne point écrire, mais devant vos

Souvenir de Fourvière

7 ans déjà. Mon école d'Ingénieur, l'ECAM, fétait son centenaire. Et nous, promotion 2000, sortions ingénieur. Un artiste avait peint alors l'école. J'ai retrouvé, tout à l'heure en défaisant mes cartons de poster (j'ai acheté des punaises et de la pate à fixer) cette litographie. J'en fais profiter les gens qui ne me déteste pas.


J'ai aimé Lyon. Vraiment. Certains diront que j'ai la nostalgie facile, mais je m'en fous. C'est moi. Et ça, c'est Fourvière sur Lyon, mon école de pendant 5 ans, d'où sont sortis tellement d'amis (deux encore se marient sur ses trois prochains mois), et tellement de souvenirs. Et où j'ai rencontré, quelque part, celle qui se soir m'offre ces cousins et son filleul à la maison, pour boire du Blayes et du Lirac. Youpi.

Les 21 sélectionnés sont...

La liste des 21 de Nicolas Sarkozy est donc sortie ce matin. Nous savions hier que le capitaine serait François Fillon, pour qui j’ai déjà donné mon à-priori positif (j’eus voté pour lui en 99’ pour la tête du RPR). Et puis y a les autres. Comme pour Raymond Domenech, vis-à-vis de qui j’ai exprimé ma réelle colère devant une liste honteuse, voici mes rapides (télégraphiques presques) commentaires. Pas poste par poste, j’ai une pelouse à tondre, mais les principaux.

François Fillon : je pense que c’est un bon. En tous cas, je l’apprécie. Beaucoup. Le fait qu’il ait été évincé par Chirac et n’ait pas fait parti de la purge Villepiniste me le rend sympathique.

Alain Juppé : si un jour je repars en politique, ça sera pour suivre un Juppé. Cela reste pour moi, avec Fabius, les deux seuls grands hommes d’Etat en France. Donc pour moi moins que Fillon, et moins que Sarkozy. Et voir Juppé en numéro 3 derrière les deux susnommés me fait un peu drôle.
En tous cas, même si je n’ai pas cautionné sa réélection à Bordeaux, et même si j’ai regretté son manque d’ouverture lors de sa présidence de l’UMP (mais par rapport à la présidence Sarkozy, c’était les Champs Elysée…), j’ai confiance en cet homme. Non, j’aime Juppé. Voilà.

Jean-Louis Borloo : les Valenciennois que je connais, venant de la gauche, l’aime. Bernard Tapie est un de ses proches amis. Et je préfère Schomberg à Chazal. Pareil, j’y fais confiance.

Bernard Kouchner : pas ma sensibilité. Un coté droitdelhommiste qui a pu me crisper. Et puis après ça, un grand bonhomme. Mais sans remettre en question ces grandes qualités (Médecins du Monde, Kosovo…) , 4 questions – remarques :
• Je pense à mes copains de droite très droite, qui se sentent un peu floués d’avoir des « vilains gauchistes » au gouvernement, quand bien même faire travailler les bons ensemble, je trouve ça logique… ;
• Kouchner eut une position très à l’opposé de la politique diplomatique française pendant la guerre de l’Irak. Certes, il a depuis reconnu son erreur d’analyse. Mais Kouchner, Sarkozy, sont aux antipodes de la Chiraquie. Quid de la politique étrangère ?
• Jouyet, secrétaire d’Etat aux affaires européennes, Kouchner, Sarkozy… L’Europe du très très oui est aux manettes. J’attends le débat sur la constitution européenne avec intérêt et méfiance ;
• La Reine Christine Ockrent est elle plus ou moins intouchable que mesdames Drucker et Schomberg ?
Sinon, Kouchner est aussi un ami de Tapie. Il ne fait vraiment pas son age (à 67 ans, quel bel homme !). Et tant pis pour les socialistes qui n’ont jamais cru en lui. Non, à priori favorable, mais je surveille.

Xavier Bertrand : mon amie habita pendant plus de deux ans dans la ville dont il est le premier adjoint, Saint Quentin. Là haut, il est aimé, respecté. Ministre du travail, il aura à négocier. A priori extrêmement favorable, je suis fier de bien connaître sa ville.

Rachida Dati : pendant que le PS reste avec leurs vieux éléphants, Sarkozy s’est entouré de jeunes talentueux et talentueuses. Dati en est : garde des Sceaux, c’est autre chose que ministre de l’intégration ! Immense bravo. J’attends la mignone Yadé aussi.

Valérie Pécresse : la plus jeune. Enarque, seul point faible. Mais jolie, percutante mais pas trop. On verra. Elle plaira aux élèves de l’enseignement supérieur en tous cas…

Eric Besson : que dire… Bon député d’une circonscription dont j’ai été salarié pendant 3 ans. Puis touchant quand Royal l’a humilité et méprisé. Pathétique enfin à Dijon et maintenant. Que dire sans être méchant… ? Je ne sais pas. Dommage, je le respectais, à défaut de l’aimer.

Roselyne Bachelot : politiquement, rien à dire. Humainement, je l’adore, elle est marrante. Maintenant, Lamour était un très bon, même si son intervention pendant l’affaire Barthez (été 2005) était nauséabonde.

Hervé Morin : j’aime beaucoup. A priori favorable. Même s’il aurait du rester fidèle à Bayrou.

Dominique Bussereau : le renouvellement avec un grand « R ». Je plaisante…

Martin Hirsch : un gars de gauche, mais pragmatique, qui veut réussir. J’aime beaucoup.

Voilà. Maintenant bonne chance les gars. Si j’étais député, je voterais la confiance. Tout en étant vigilant que ce gouvernement soit un bon gouvernement, ouvert, démocratique réellement et non en apparence. Chirac, en 2002, avait fait une politique autiste, que je ne pouvais plus défendre. Il faudra, pour que ce gouvernement réussisse, une vraie opposition. Une UDF (ou Modem) forte et responsable. Mais je fais confiance à Bayrou, si par hasard il a des députés "puissants" (ce dont je doute de plus en plus...), à un "PS2" (copyright copine de chez Asko), pour être une digne opposition.

Et puis au final, même si je ne suis pas d'accord avec la liste de Domenech, au final je dis "allez la France". Là, j'ai plus d'accointance, donc je le dis avec plus de facilité. Mais je le pense, vraiment.

4 Ways to Build B2B Customer Loyalty and Generate Referrals

As B2B buyers become increasingly immune to traditional marketing and more reliant on word-of-mouth vendor referrals, sellers need to become more sophisticated in building customer loyalty through relationship marketing, and converting this loyalty into referral business. Here are four tactics to enhance loyalty and positive word-of-mouth advertising from your best customers.

Low-Involvement B2B Products and Services

For low-cost products and services, or infrequently-purchased higher cost offerings, one frequently used method is offering discounts. While this tactic can be effective, bear in mind that repeat customers are often less price-sensitive than new ones (which is how cable and phone companies get away with offering super-cheap "switcher" offers while screwing their existing customers -- an exasperating practice for consumers, but apparently successful), so you may be leaving money on the table.

Another tactic is to use a third-party tool such as ReferNow.com, which enables companies to build structured programs for soliciting and rewarding referrals from current customers. It provides smaller companies with the tools to build an offering similar to big company customer rewards management systems (e.g. NWA WorldPerks, My Coke Rewards, MaxPerks, Borders Rewards). Janine Popick at hosted email marketing service Vertical Response has some interesting thoughts on reward cards and points programs as well.

High-Involvement B2B Products and Services

For higher-priced products and services, particularly those which involve long-term interaction between the vendor and the buyer (e.g. enterprise software suites, hosted software services, outsourced business services and commercial insurance), more sophisticated tactics are called for.

One intriguing concept is to build your own industry-specific Web 2.0 social tagging site, sort of company-sponsored version of Digg. BeeTooBee enables any company to go beyond offering white paper and podcast downloads to create "a thought leadership community" -- a hosted, private-labeled version of a social news platform that marketers can license to set up user-generated, vote-ranked, and aggregated thought leadership libraries under their brand. The platform includes contact tools such as click-to-chat, so vendors can reach out to prospects when they are ready for interaction. The thought-leadership community turns your employees, existing customers, and even prospects into marketers for your product or service. Interested? You can download the company's no-registration-required white paper here.

Finally, there is the old-fashioned way: build a solid product, back it up with excellent service, maintain relationships, reward your best customers with direct access to key product development people within your organization -- and then ask for referrals. If you are in a position to offer reciprocal referrals to your customers, that's even more powerful.

In the end, the most successful companies won't be those with the biggest promotional budgets, but rather those that have effectively built interactive networks of clients, both online and offline.

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12 ans qui s'en vont

Dans quelques heures, Jacques Chirac laissera sa place à Nicolas Sarkozy. Très bien, tout a été dit, rien de plus à rajouter de bien pertinent. Le jeu de la démocratie, un nouveau président élu. On l’aime, ou on ne l’aime pas, ou ni l’un ni l’autre. Mais le terrain a parlé.

Hier soir, j’ai écouté Jacques Chirac. Allocution simple, très simple. Courte, mais suffisante pour m’avoir, une nouvelle fois, plutôt ému. Les images de 95’ me revenaient. 17 ans j’avais. 29 ans j’ai aujourd’hui. Je rentre dans mes 30 ans. Cela veut dire que mes 20 ans sont à leurs crépuscules. Mes 20 ans sous Chirac. On dit que ceux sont les plus belles années. On dit ça…

J’ai connu mon premier véritable amour sous Mitterrand. Dans pas longtemps elle sera maman et je pense souvent tendrement à elle, mais elle ne fait pas parti de mes années Chirac. Non, mes années Chirac, ceux sont mes études lyonnaises. Que j’ai commencé en Mathsup, carte RPR en poche, dévorant la presse, les presses (Internet n’existait pas, un temps que les moins de 25 ans ne peuvent pas connaître), pour savoir ce qu’il se passait. Mes idoles d’alors ? Juppé, pour qui j’ai une estime identique. Pasqua, malgré d’avoir rejoint Balladur, Seguin, Alain Madelin.
C’est dans ma mezzanine au foyer de la Montée des Carmes (photo)qu’avec quelques compagnons de chambrée, nous avions une grande chance de ne pas faire l’armée.

Et puis avec une copine d’alors (j’en ai pas eu beaucoup), j’ai appris la branlée de 1997’. Villepin, du moins son nom, sortait de l’ombre. Ce fut les élections régionales. Lyon qui résiste aux voix du Front National. Le Languedoc qui, avant le douloureux Frêche, montre que décidément cette place de président de cette région est maudite. Puis les élections européennes. L’aventure RPF qui démarre. Et un Chirac, dont je portais tout jeune le TShirt, qui aura fini de me décevoir un soir de référendum pour détruire une république en la quinquénisant. Donnant finalement un outil pour faire d’un Sarkozy un super premier ministre président, mais à l’époque Sarkozy étant inaudible et inexistant, portant l’échec des européennes passées, nous n’en étions pas là.

Personnellement, je vis des élections cantonales et municipales avec un premier contrat en poche (petite PME Vauclusienne), et des responsabilités politiques dans mon département. Je suis élu dans mon village, ma candidate au canton d’à coté fait un joli score. Et je monte souvent à Paris. On prépare les présidentielles de l’année suivante. Pendant ce temps, je signe à Marseille (pas le club, mais un grand groupe avec qui je resterai 5 ans).

Je découvre sur le net une communauté des Chevaliers du Zodiaque dont je rencontre parmi mes plus chers amis d’aujourd’hui, et des gens fabuleux que j’aime vraiment. De Montreuil aux Bons Enfants en passant par la Lorraine ou la Sologne (cf Fanart), sans oublier l’Outre Quiévrain (coucou là haut). Je me prend même pour un écrivain, écrivant autant pour moi que pour d'autres...

2002 démarre avec l’Euro en poche. Un Euro qui m’aura permis de passer une merveilleuse fin d’année 2001 en Belgique, puis avec mes copains lyonnais. Amusant, début d’année 2002 avec une sciatique du niveau de douleur que celle que j’ai aujourd’hui.
Puis une campagne qui se prépare. Je suis à Rouen, puis en Alsace. Ou alors à coté de Genève, peut être pas, à posteriori, le meilleur moment des 12 ans. . Mon candidat ne part pas, ne part plus. On est certains à craindre un Jospin – LePen. Peut être l’histoire sera raconté dans le deuxième tome de ses mémoires (ça me donne un coup de vieux ça aussi). Ca sera l'inverse. Le 21 Avril.

82 %. Je l’apprends au téléphone avec la frontière suisse alors que je vais au bureau de vote principal, à Roquemaure. Voilà pour moi le principal loupé de ses 12 ans. Alors qu’aujourd’hui Nicolas Sarkozy veut ouvrir, à l’époque Jacques Chirac avait l’obligation d’ouvrir. Non, il sera resté, pendant 12 ans, prisonnier d’un clan, de son clan. Pendant ce temps, mon histoire continue elle aussi.
2002 la fin. Une histoire commune personnelle qui débute. StEtienne – Marseille ne seront plus jamais les mêmes matchs. Et les lacs du Pilat demeureront toujours plus beaux que le Lac Léman. Raffarin est un drôle de premier ministre, en même temps que mon surnom dans mon village. Et la fracture entre le faucon et son héraut de 95’ se fait plus pressante.

Sauf en 2003. Je suis à Bugey pendant que l’Amérique attaque l’Irak. D’autres rencontres du net à Lyon. Plus le newsgroup SaintSeiya, mais le forum de mon amie Lorraine. D’autres ami(e)s, qui de Lyon à Paris, me sont importants.
Et puis ma fin 2003. Je quitte, avec mal au ventre, Marseille, les Bons Enfants, un couple d’ami. Enfin, je les quitte, non, je ne pense pas (je n’espère pas) ne les avoir jamais quitté. Mais c'est l’Agence de ma société à Pierrelatte qui me kidnappe. Retour chez papa – maman. Des soirées difficiles qui font suites à des journées épuisantes. Des kilomètres en voiture, en avion. Bordeaux, Agen, Dieppe, Nogent/Seine, Gien, Orléans… Un ami important qui part. Une autre qui feint de revenir pour me refaire encore un petit peu mal. Mais la principale qui arrive du Nord pour rester avec moi.
Un référendum européen perdu par le président (gagné pour moi, la césure finale ?). Fin d’histoire avec ma société, fin d’histoire délicate ou la santé et le moral explose comme une défense marseillaise en finale de coupe de France. Et puis 2006 à Sérignan du Comtat qui est le moment d’un envol vers un merveilleux 2007 pour moi, avec le travail merveilleux que j’ai aujourd’hui, ma maison, et une vie personnelle que je souhaite à tous les gens que j’aime.

Et puis aujourd’hui. Des nouvelles rencontres sur Internet. Rien à voir avec les dessins animés japonais. La politique maintenant, les médias, les discussions, sur tout, sur rien. Sur aujourd’hui. Jacques Chirac qui part. Ma vie qui a avancé : j’ai 12 ans de plus, une maison, une femme, pas d’enfants ni de chien mais on verra plus, et presque 7 (8 ?) ans de cotisation de retraite. J’ai 30 ans. Ou presque.

Nicolas Sarkozy arrive à l’Elysée un jour où j’ai un bas du dos qui me fait vraiment souffrir. La nuit dans le lit, je ne parviens plus à bouger et là je refuse d’aller boire un café. Mon médecin m’a changé de traitement : on verra. Après le scanner mardi prochain. Mon beau-père quant à lui vient de sortir de l’hopital, pas en forme non plus. Je ne parle pas de mon équipe de foot ou de mon WiFi. Mais bizarrement, si la période est objectivement belle pour moi, le moment présent n’est pas agréable, plutôt douloureux.

Enfin, mes 30 ans commenceront sous un nouveau président. Enfance et adolescence sous Mitterrand, vingt ans et entrée dans la vraie vie sous Chirac. Sarkozy, année de quoi ? Envol réel du Faucon, ou le Faucon qui fera son nid tranquillement ? Enfin, aujourd’hui, j’ai envie d’être positif et optimiste. Je ferme une page. D’autres s’ouvrent. Drôle de période, celle du changement. Visiblement total. Mais plus qu'une simple passation de pouvoir, c'est un changement d'époque. Epoque collective. Epoque évidemment et logiquement personnelle.
A suivre…

Web 2.0 Social Tagging Sites, Part 4: B2B Traffic Building

Does Web 2.0 social tagging help drive B2B web traffic? There is a general sense that the answer is "yes" due to both direct referral and its impact on SEO, according to sources such as Profitimo, Anything Goes Marketing, WebProNews, Digital Telepathy and others (even Larry Chase recommended social tagging to improve SEO in a recent newsletter). However, there's been a shortage of quantifiable data. Blogger extraordinaire Paul Dunay is working on a survey of Web 2.0 lead generation tools, but the results haven't been released yet. So, I started an experiment last month to provide some metrics.

First, anecdotal evidence from two clients. Client #1 created a glossary of terms specific to its industry niche. The day the glossary web page was launched, I tagged it on 40 social bookmarking sites. There was no other promotion or announcement, and we all know that search engines don't pick up new pages immediately. The result? By the end of the first week, the glossary was the fourth-most-visited page on their site.

Client #2 was struggling to get top search engine rank in a crowded field (network monitoring). Three weeks after tagging a thought-leadership piece from the site on 40+ Web 2.0 sites, the company achieved first-page position on Google for a dozen key search terms (in the top three spots for half of those terms).

For the WebMarketCentral web marketing site, and this blog, SEO improvement was modest: little impact on Yahoo or MSN, and an average of an 11-spot improvement on Google. Why? It depends on the number of existing relevant external links to a site; the fewer the number of pre-existing external links, the greater the impact social tagging will have.

Still, the Web 2.0 social tagging experiment did show measurable, positive results on both blog and site traffic. As this chart shows, five-month trendline growth for WebMarketCentral.com was 19%; in the 30 days following social tagging, traffic increased by 33%. Search traffic was at the level expected, but direct links from Web 2.0 social tagging sites accounted for 40% of the greater-than-anticipated growth.

Blog traffic showed a similar increase, from an expected trendline increase of 8% to an actual increase of 21%. Additional search traffic accounted for 6% of unexpected growth, while direct links from social networking sites accounted for the entire remaining 94%.

Conclusion: Web 2.0 social tagging drives significant, quantifiable increases in B2B website and blog traffic through both direct links and improved search engine rank.

Previous articles in this series:
Web 2.0 Social Tagging Sites, Part 1: Alexa Rankings
Web 2.0 Social Tagging Sites, Part 2: The Worst
Web 2.0 Social Tagging Sites, Part 3: Special-Purpose Sites

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Terms: Web 2.0 tools, social bookmarking, B2B, SEO, Profitimo, Anything Goes Marketing, Larry Chase, WebProNews, Digital Telepathy, Paul Dunay

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Et pourtant il est blanc le chat

Ce petit mamifère qui ferait craquer mes amies marseillaises ou lorraines m'accueille tous les soirs quand je rentre du boulot. Il est allongé à quelques encablures de là où je gare ma Modus. Il se retourne, me voit sortir de la voiture, me salut d'un "miaaaou" dont j'ignore la signification. Puis se lève paisiblement, et s'en va dans les champs en face de ma maison.

Et la journée, parfois, je le vois. Hier, mon amie est allé le prendre en photo. Et tout à l'heure, alors que j'ouvre les volets suite à une pénible nuit, je le vois aussi. Il tourne la tête vers moi, esquisse une bruit, puis continue sa vie comme si je n'existais pas.

Pourtant ce chat est blanc. Un peu gris sur les bords, un peu sale sans doute, mais en aucun cas il est noir. Par conséquent, d'autres symboles expliquent ma journée de hier, assez pénible. Mauvaise.
Un mal de dos, d'abord pour rester sur mon nombril, qui va de mal en pi. Avec un plus des anti-inflamatoires qui sapent le ventre et m'ont fait passer la nuit à pleurer, à aller des toilettes à mon lit en passant par le canapé pour être assis.
Puis à coté de ça, le père de mon ami qui rentre à l'hopital à StEtienne. Aujourd'hui, parce que hier elle ne voulait pas me laisser toute seule et qu'elle est gentille, elle est montée faire un aller-retour Roquemaure - StEtienne. 2 heures de route, fois deux donc. Son père va mieux, mais c'est pas encore ça.
Je passe une connection WiFi que je n'arrive plus à configurer, une adresse IP à la con, et une holtine Wanadoo qui va probablement me faire passer à la concurence trés vite car j'en ai marre. Pour arriver à la finale de la Coupe de France, qui aura fait pleurer dans les chaumières du Sud. Je dis ça, que j'étais triste, en plus d'être malade. Je dis ça et je dis pas plus, j'ai pas envie de parler plus, d'analyser, ou de polémiquer. Je suis extrémement triste, pas en forme en plus. Et c'est pénible, j'aime pas.

Dans toute période, il y a des zones d'ombre où la roue est dans une position défavorable. Aprés un début de 2007 pharaonique pour moi, qu'il y ait une turbulence est logique, on ne peut pas qu'être heureux. Et ça aide à apprécier les chouettes moments, des moments plus difficiles.
Allez, je vais m'allonger. Ou pas. Enfin je vais essayer de me soulager ce dos. Et peut être retouver chatoutblanc. La prochaine fois, je parlerai des chiens qui viennent nous voir...