HADOPI bouh
Je suis totalement opposé au projet de loi HADOPI. Je ne suis pas le seul.
La blogosphère est majoritairement contre. L'ISOC (Internet Society France) trouve ce texte inadapté. SFR, Orange et Numéricable repoussent toute idée de suspension de l'abonnement, ce qui met un peu à mal HADOPI.
Et puis bon, personne n'est content, ça se voit, c'est bien...
Hier, me baladant sur mon flux RSS, je vois copine Brigetoun parler de se peindre tout en noir chez elle. Hein ? Puis je vois le gentil coquin Mtislav et la sérieuse Quitterie Delmas parler de faire le même chez eux. Black out contre Hapodi. Heing ?
Le Post m'a sauvé de mon ignorance passagère. Le web parle de faire son block-out contre la loi HADOPI, et le Post relaie l'appel au Black Out lancé par la Quadrature. Qui propose de jolies bannières contre cette loi inique, et appelle les sites et blogs défavorables à HADOPI à se peindre de noir. Le « HADOPI Black-Out » que ça s'appelle joliment.
Ma Maison toute de noire vêtue, en deuil ? Je ne cache pas que j'en aurais assez envie, tant ce projet de loi me fait frissonner pour de multiples raisons, et parce que je confesse n'avoir paspas très envie que le lobby de personnes aussi insincères qu'Olivènnes ou Nègre (non j'ai pas dit Lefebvre) sortent gagnants de cette histoire...
Mais bon, déjà il faudrait que je me ballade dans les templates de mon blog. Même si comme m'avait fait remarquer à l'époque copain Seb de CaRéagit, il serait peut être temps que je change mon fond de blog (qui vient des classiques de Blogger...), je ne sais pas si le faire rapidement en cinq minutes pour le peinturlurer de noir, c'est bien le top... Je ne sais pas...
Après, je vais lire les blogs d'autres copains copines. Hypos, bonne copine de ouèbe, indique dans ses billets d'à coté qu'elle va suivre Maitre Eolas plutôt. Et bof le black-out. Tiens bon, une copine aussi engagée qu'Hypos qui fait bof ? Je vais donc lire ce que dit Maitre Eolas, dont la parole est toujours pertinente à lire. Ben Eolas ne blackoutera pas non plus. Pour lui, en fait, Hadopi ne mérite pas la panique qu'on est en train de créer. C'est une erreur, oui, mais pas pire que les lois (ou projet) qui ont fleuri auparavant. Et qui n'ont pas mis le net français au niveau du net chinois...
Et donc pour lui, plutôt que de tagguer son blog de noir, le mieux est d'écouter, d'argumenter, « de faire du droit » comme il dit.
Rubin est très en colère contre HADOPI lui aussi. Et bien chez lui pas de noir non plus. Mais par contre de l'argumentation. Sur pourquoi cette loi est une connerie sans nom.
Finalement, assez proche tous les deux avec Rubin : on pense que les slogans dans la rue, c'est moins efficace (et légitime) qu'une bonne argumentation, et un combat d'idée. Ben la loi HADOPI ne fait pas exception à cette règle...
Bon, moi, je ferai quoi ? Bien envie de faire les deux en fait. Marquer le coup sur mon blog. Par cette banière de la quadrature ? Je ne sais pas... Et aussi relayer les bons argumentaires de mes amis de blogs, qui ne manqueront pas d'inonder la toile de bonnes idées.
Avec quand même une crainte : est ce qu'on ne se réveille pas un peu trop tard ? Le projet doit passer devant l'assemblée mi Mars. Et le réveil ne semble être fait que quinze jours avant. Je suis un peu pessimiste quand même, cela me rappelle l'histoire du lundi de Pentecote qui ne serait plus férié... Et qui a provoqué des tollés la veille de ce dit lundi de Pentecote.
Enfin, que cela ne nous empêche pas d'être vigilant. Et en colère. Sur ça, et sur pleins d'autres choses. C'est ça qui m'emmerde... Etre en colère, ou triste, ou désespéré, sur pleins de points... Soupir...
La blogosphère est majoritairement contre. L'ISOC (Internet Society France) trouve ce texte inadapté. SFR, Orange et Numéricable repoussent toute idée de suspension de l'abonnement, ce qui met un peu à mal HADOPI.
Et puis bon, personne n'est content, ça se voit, c'est bien...Hier, me baladant sur mon flux RSS, je vois copine Brigetoun parler de se peindre tout en noir chez elle. Hein ? Puis je vois le gentil coquin Mtislav et la sérieuse Quitterie Delmas parler de faire le même chez eux. Black out contre Hapodi. Heing ?
Le Post m'a sauvé de mon ignorance passagère. Le web parle de faire son block-out contre la loi HADOPI, et le Post relaie l'appel au Black Out lancé par la Quadrature. Qui propose de jolies bannières contre cette loi inique, et appelle les sites et blogs défavorables à HADOPI à se peindre de noir. Le « HADOPI Black-Out » que ça s'appelle joliment.
Ma Maison toute de noire vêtue, en deuil ? Je ne cache pas que j'en aurais assez envie, tant ce projet de loi me fait frissonner pour de multiples raisons, et parce que je confesse n'avoir paspas très envie que le lobby de personnes aussi insincères qu'Olivènnes ou Nègre (non j'ai pas dit Lefebvre) sortent gagnants de cette histoire...
Mais bon, déjà il faudrait que je me ballade dans les templates de mon blog. Même si comme m'avait fait remarquer à l'époque copain Seb de CaRéagit, il serait peut être temps que je change mon fond de blog (qui vient des classiques de Blogger...), je ne sais pas si le faire rapidement en cinq minutes pour le peinturlurer de noir, c'est bien le top... Je ne sais pas...
Après, je vais lire les blogs d'autres copains copines. Hypos, bonne copine de ouèbe, indique dans ses billets d'à coté qu'elle va suivre Maitre Eolas plutôt. Et bof le black-out. Tiens bon, une copine aussi engagée qu'Hypos qui fait bof ? Je vais donc lire ce que dit Maitre Eolas, dont la parole est toujours pertinente à lire. Ben Eolas ne blackoutera pas non plus. Pour lui, en fait, Hadopi ne mérite pas la panique qu'on est en train de créer. C'est une erreur, oui, mais pas pire que les lois (ou projet) qui ont fleuri auparavant. Et qui n'ont pas mis le net français au niveau du net chinois...Et donc pour lui, plutôt que de tagguer son blog de noir, le mieux est d'écouter, d'argumenter, « de faire du droit » comme il dit.
Rubin est très en colère contre HADOPI lui aussi. Et bien chez lui pas de noir non plus. Mais par contre de l'argumentation. Sur pourquoi cette loi est une connerie sans nom.
Finalement, assez proche tous les deux avec Rubin : on pense que les slogans dans la rue, c'est moins efficace (et légitime) qu'une bonne argumentation, et un combat d'idée. Ben la loi HADOPI ne fait pas exception à cette règle...
Bon, moi, je ferai quoi ? Bien envie de faire les deux en fait. Marquer le coup sur mon blog. Par cette banière de la quadrature ? Je ne sais pas... Et aussi relayer les bons argumentaires de mes amis de blogs, qui ne manqueront pas d'inonder la toile de bonnes idées.Avec quand même une crainte : est ce qu'on ne se réveille pas un peu trop tard ? Le projet doit passer devant l'assemblée mi Mars. Et le réveil ne semble être fait que quinze jours avant. Je suis un peu pessimiste quand même, cela me rappelle l'histoire du lundi de Pentecote qui ne serait plus férié... Et qui a provoqué des tollés la veille de ce dit lundi de Pentecote.
Enfin, que cela ne nous empêche pas d'être vigilant. Et en colère. Sur ça, et sur pleins d'autres choses. C'est ça qui m'emmerde... Etre en colère, ou triste, ou désespéré, sur pleins de points... Soupir...
HADOPI bouh
Je suis totalement opposé au projet de loi HADOPI. Je ne suis pas le seul.
La blogosphère est majoritairement contre. L'ISOC (Internet Society France) trouve ce texte inadapté. SFR, Orange et Numéricable repoussent toute idée de suspension de l'abonnement, ce qui met un peu à mal HADOPI.
Et puis bon, personne n'est content, ça se voit, c'est bien...
Hier, me baladant sur mon flux RSS, je vois copine Brigetoun parler de se peindre tout en noir chez elle. Hein ? Puis je vois le gentil coquin Mtislav et la sérieuse Quitterie Delmas parler de faire le même chez eux. Black out contre Hapodi. Heing ?
Le Post m'a sauvé de mon ignorance passagère. Le web parle de faire son block-out contre la loi HADOPI, et le Post relaie l'appel au Black Out lancé par la Quadrature. Qui propose de jolies bannières contre cette loi inique, et appelle les sites et blogs défavorables à HADOPI à se peindre de noir. Le « HADOPI Black-Out » que ça s'appelle joliment.
Ma Maison toute de noire vêtue, en deuil ? Je ne cache pas que j'en aurais assez envie, tant ce projet de loi me fait frissonner pour de multiples raisons, et parce que je confesse n'avoir paspas très envie que le lobby de personnes aussi insincères qu'Olivènnes ou Nègre (non j'ai pas dit Lefebvre) sortent gagnants de cette histoire...
Mais bon, déjà il faudrait que je me ballade dans les templates de mon blog. Même si comme m'avait fait remarquer à l'époque copain Seb de CaRéagit, il serait peut être temps que je change mon fond de blog (qui vient des classiques de Blogger...), je ne sais pas si le faire rapidement en cinq minutes pour le peinturlurer de noir, c'est bien le top... Je ne sais pas...
Après, je vais lire les blogs d'autres copains copines. Hypos, bonne copine de ouèbe, indique dans ses billets d'à coté qu'elle va suivre Maitre Eolas plutôt. Et bof le black-out. Tiens bon, une copine aussi engagée qu'Hypos qui fait bof ? Je vais donc lire ce que dit Maitre Eolas, dont la parole est toujours pertinente à lire. Ben Eolas ne blackoutera pas non plus. Pour lui, en fait, Hadopi ne mérite pas la panique qu'on est en train de créer. C'est une erreur, oui, mais pas pire que les lois (ou projet) qui ont fleuri auparavant. Et qui n'ont pas mis le net français au niveau du net chinois...
Et donc pour lui, plutôt que de tagguer son blog de noir, le mieux est d'écouter, d'argumenter, « de faire du droit » comme il dit.
Rubin est très en colère contre HADOPI lui aussi. Et bien chez lui pas de noir non plus. Mais par contre de l'argumentation. Sur pourquoi cette loi est une connerie sans nom.
Finalement, assez proche tous les deux avec Rubin : on pense que les slogans dans la rue, c'est moins efficace (et légitime) qu'une bonne argumentation, et un combat d'idée. Ben la loi HADOPI ne fait pas exception à cette règle...
Bon, moi, je ferai quoi ? Bien envie de faire les deux en fait. Marquer le coup sur mon blog. Par cette banière de la quadrature ? Je ne sais pas... Et aussi relayer les bons argumentaires de mes amis de blogs, qui ne manqueront pas d'inonder la toile de bonnes idées.
Avec quand même une crainte : est ce qu'on ne se réveille pas un peu trop tard ? Le projet doit passer devant l'assemblée mi Mars. Et le réveil ne semble être fait que quinze jours avant. Je suis un peu pessimiste quand même, cela me rappelle l'histoire du lundi de Pentecote qui ne serait plus férié... Et qui a provoqué des tollés la veille de ce dit lundi de Pentecote.
Enfin, que cela ne nous empêche pas d'être vigilant. Et en colère. Sur ça, et sur pleins d'autres choses. C'est ça qui m'emmerde... Etre en colère, ou triste, ou désespéré, sur pleins de points... Soupir...
La blogosphère est majoritairement contre. L'ISOC (Internet Society France) trouve ce texte inadapté. SFR, Orange et Numéricable repoussent toute idée de suspension de l'abonnement, ce qui met un peu à mal HADOPI.
Et puis bon, personne n'est content, ça se voit, c'est bien...Hier, me baladant sur mon flux RSS, je vois copine Brigetoun parler de se peindre tout en noir chez elle. Hein ? Puis je vois le gentil coquin Mtislav et la sérieuse Quitterie Delmas parler de faire le même chez eux. Black out contre Hapodi. Heing ?
Le Post m'a sauvé de mon ignorance passagère. Le web parle de faire son block-out contre la loi HADOPI, et le Post relaie l'appel au Black Out lancé par la Quadrature. Qui propose de jolies bannières contre cette loi inique, et appelle les sites et blogs défavorables à HADOPI à se peindre de noir. Le « HADOPI Black-Out » que ça s'appelle joliment.
Ma Maison toute de noire vêtue, en deuil ? Je ne cache pas que j'en aurais assez envie, tant ce projet de loi me fait frissonner pour de multiples raisons, et parce que je confesse n'avoir paspas très envie que le lobby de personnes aussi insincères qu'Olivènnes ou Nègre (non j'ai pas dit Lefebvre) sortent gagnants de cette histoire...
Mais bon, déjà il faudrait que je me ballade dans les templates de mon blog. Même si comme m'avait fait remarquer à l'époque copain Seb de CaRéagit, il serait peut être temps que je change mon fond de blog (qui vient des classiques de Blogger...), je ne sais pas si le faire rapidement en cinq minutes pour le peinturlurer de noir, c'est bien le top... Je ne sais pas...
Après, je vais lire les blogs d'autres copains copines. Hypos, bonne copine de ouèbe, indique dans ses billets d'à coté qu'elle va suivre Maitre Eolas plutôt. Et bof le black-out. Tiens bon, une copine aussi engagée qu'Hypos qui fait bof ? Je vais donc lire ce que dit Maitre Eolas, dont la parole est toujours pertinente à lire. Ben Eolas ne blackoutera pas non plus. Pour lui, en fait, Hadopi ne mérite pas la panique qu'on est en train de créer. C'est une erreur, oui, mais pas pire que les lois (ou projet) qui ont fleuri auparavant. Et qui n'ont pas mis le net français au niveau du net chinois...Et donc pour lui, plutôt que de tagguer son blog de noir, le mieux est d'écouter, d'argumenter, « de faire du droit » comme il dit.
Rubin est très en colère contre HADOPI lui aussi. Et bien chez lui pas de noir non plus. Mais par contre de l'argumentation. Sur pourquoi cette loi est une connerie sans nom.
Finalement, assez proche tous les deux avec Rubin : on pense que les slogans dans la rue, c'est moins efficace (et légitime) qu'une bonne argumentation, et un combat d'idée. Ben la loi HADOPI ne fait pas exception à cette règle...
Bon, moi, je ferai quoi ? Bien envie de faire les deux en fait. Marquer le coup sur mon blog. Par cette banière de la quadrature ? Je ne sais pas... Et aussi relayer les bons argumentaires de mes amis de blogs, qui ne manqueront pas d'inonder la toile de bonnes idées.Avec quand même une crainte : est ce qu'on ne se réveille pas un peu trop tard ? Le projet doit passer devant l'assemblée mi Mars. Et le réveil ne semble être fait que quinze jours avant. Je suis un peu pessimiste quand même, cela me rappelle l'histoire du lundi de Pentecote qui ne serait plus férié... Et qui a provoqué des tollés la veille de ce dit lundi de Pentecote.
Enfin, que cela ne nous empêche pas d'être vigilant. Et en colère. Sur ça, et sur pleins d'autres choses. C'est ça qui m'emmerde... Etre en colère, ou triste, ou désespéré, sur pleins de points... Soupir...
BMA-Minnesota to Explore the Use of Social Media within the B2B Marketing Arena
A panel of social media experts will discuss how business-to-business organizations can effectively use social media strategy to help achieve business goals
MINNEAPOLIS--(BUSINESS WIRE)--The Minnesota chapter of the Business Marketing Association (BMA-Minnesota) will host a panel discussion on how business-to-business (B2B) marketers can use social media to boost their performance metrics and support a customer-centric business model. The session will be held on March 11, 2009 at the Metropolitan Ballroom & Clubroom in St. Louis Park, Minn. from 8 a.m. to 9 a.m.
Featuring local social media experts, the session will provide an overview of social networking sites, search engine optimization and emerging new media to watch for as well as discuss what’s working, what’s not and what’s here to stay within the social media universe. Moderated by Beth Fischer, market research advisor from The TCI Group, panelists include:
- Mark Palony, marketing manager of SAP Solutions at SoftBrands
- Jared Roy, president of Risdall Integration Group
- Tom Pick, author of WebMarketCentral.com and marketing executive at KC Associates, LLC
“We’ve all heard about business-to-consumer companies joining Facebook, Twitter and blogs to generate consumer business and brand loyalty but there is little discussion about how the same strategies can be applied for B2B companies,” said Chris Schermer, president of BMA-Minnesota. “This panel will dispel the misperception that social media can’t be applied in the B2B arena by illustrating how tools like Twitter and blogs can be applied to monitor, communicate and engage audiences.”
Sponsored by Minnesota’s only professional organization dedicated exclusively to the needs of business-to-business marketing professionals, the event will be held at the Metropolitan located at 5418 Wayzata Blvd, Minneapolis.
The program will run from 8 a.m. to 9 a.m. with registration and continental breakfast beginning at 7:30 a.m. The cost of the event is $25 for BMA members and $40 for non-members. Attendees can register online at www.bmaminnesota.org through March 10. A limited number of walk-up registration is available.
About the Panelists
- Beth Fischer. Beth Fischer, PRC is Principal of The TCI Group. Over the past 30+ years, she has taken her 53 year “young” marketing research firm to new levels by partnering with her clients as a trusted advisor, helping them know more, get close and stay connected to their customers better than any of the competition in their marketplace. The TCI Group offers a total spectrum of quantitative and qualitative research methodologies, including methods that harness the power of technology. Currently Beth is on the University of St Thomas’s College of Business MBA Adjunct Faculty, a trainer for Optum, a United Healthcare Division, and serves on a number of boards for local non-profit organizations.
- Tom Pick. Tom helps clients—independently and through B2B technology marketing and PR firm KC Associates—increase visibility, credibility and business success through interactive marketing and PR activities. He has helped dozens of B2B clients improve their online business results through search engine optimization (SEO) and search engine marketing (SEM) programs. Tom has also created successful interactive marketing and PR programs including video, blogging, podcasting and social media optimization. His blog, WebMarketCentral.com, has won several accolades, including a MarketingSherpa Readers Choice award, and is among the top marketing blogs as ranked by Advertising Age. Get to know Tom at: http://twitter.com/tompick and http://www.linkedin.com/in/tompick
- Mark Palony. As a global marketing manager for SoftBrands, Mark is responsible for all aspects of marketing, communications and public relations for the SAP Solutions division of the global enterprise software provider. With approximately 5,000 customers in more than 60 countries, SoftBrands is a leader in providing software solutions to the manufacturing and hospitality industries. Mark manages all aspects of the social media strategy -- including the blog, Twitter, podcasts, videos and KPIs. Get to know Mark at: www.linkedin.com/in/markpalony, www.twitter.com/markpalony and www.fourthshiftedition.com/blog
- Jared Roy. Jared believes in the power of connecting brands with consumers in new and innovative ways. As President of Risdall Integration Group Jared focuses on leveraging the strengths of Risdall Marketing Group's divisions to develop solutions for clients that harness the power of integrated marketing. Jared’s focus is on managing the convergence of traditional and new media to effectively influence, inform and engage key audiences. On a daily basis, he develops integrated digital and social marketing campaign strategies to help achieve client objectives. Get to know Jared at: www.linkedin.com/in/jaredroy, www.twitter.com/laskaroy, www.friendfeed.com/laskaroy, and www.jaredroy.blogspot.com/
About Business Marketing Association
Business Marketing Association is the leading professional resource for business-to-business marketers and communicators. The organization develops and delivers services, information, skill enhancement, and networking opportunities that help its members grow, develop and succeed throughout their marketing careers. For more information on BMA-Minnesota, visit www.bmaminnesota.org.
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Social Media Isn't Only for Virtual Events
Note: this is a guest post from Cece Salomon-Lee, social media relations expert and author of the PR Meets Marketing blog. Cece has previously guest-posted here on best practices in PR and blogging outreach.
Virtual events have received a lot of attention recently as an effective way to communicate with your audiences without the costs associated with an in-person event. One argument against virtual events is that you would lose the intimacy that face-to-face interactions provide. Proponents state that social networking technology can help promote similar interactions in a virtual environment.
I recently wrote that virtual events aren't necessarily the answer to replacing physical events. The same goes for social media technology. In this case, social media isn't only for virtual events. For example, the TED and South by Southwest (SXSW) events are known for their innovative use of technology to engage audiences—both in person and online—with the events themselves.
Three factors for success
Before you start using social media technology, first consider why these conferences were successful to begin with. I believe these three factors contributed to their success:
So You're Ready for Social Media
If the above doesn't daunt you, then how do you begin incorporating social media into your event? Here are four ways to start incorporating social media for your next event:
Conclusions
Like any event, social media takes time and patience. There is no magic technology or technique for success. Rather it takes strategic planning, time-consuming execution and constant evaluation to find the right mix for your event. If you're willing to put in the time and effort, then your social media efforts will succeed.
The key thing to keep in mind is that social media is to help promote communications not only with you and your audience but also amongst the attendees as well.
About the Author
Cece Salomon-Lee is the author of PR Meets Marketing, which explores the intersection of public relations, social media and marketing. Her blog is ranked on the Ad Age 500 and other top ranked PR lists. If you're interested in learning how Cece can help your programs, she can be reached at cece.lee[@]gmail[dot]com.
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Virtual events have received a lot of attention recently as an effective way to communicate with your audiences without the costs associated with an in-person event. One argument against virtual events is that you would lose the intimacy that face-to-face interactions provide. Proponents state that social networking technology can help promote similar interactions in a virtual environment.I recently wrote that virtual events aren't necessarily the answer to replacing physical events. The same goes for social media technology. In this case, social media isn't only for virtual events. For example, the TED and South by Southwest (SXSW) events are known for their innovative use of technology to engage audiences—both in person and online—with the events themselves.
Three factors for success
Before you start using social media technology, first consider why these conferences were successful to begin with. I believe these three factors contributed to their success:
- Know Your Audience: These organizers know their audiences are invested in the content and success of the events. They also know that their audiences are early adopters of technology to receive, consume and communicate information to each other. If your audience prefers pen and paper to a keyboard and computer screen, then social media technology may not be appropriate for your event.
- Use Technology to Enhance the Experience, Not Replace it: SXSW is where Twitter gained its prominence as a way for people to stay in touch with what was happening throughout the whole venue. This past year, SXSW allowed people to vote on the panels they wanted to hear at the conference. This increased the level of participation and ownership that audiences had with the content and speakers, as well as forced speakers to plan months before their actual presentation date. With TED, they started posting videos of the presentations online to share the knowledge with individuals unable to attend. And they did it for FREE. This doesn't cannibalize on their paid registrations. Rather it enhances the experience for those attending the conference.
- Build a Community: Conferences tend to be unsatisfying one night stands. You get excited to go to the event, you see everything in three days, but you never hear from the organizer until they're ready to promote the event again. The difference with TED and SXSW is that they created a sense of community over time. While not every conference will be an instant community, I do believe that the "traditional" ways of marketing and driving attendance to an event have changed.
So You're Ready for Social Media
If the above doesn't daunt you, then how do you begin incorporating social media into your event? Here are four ways to start incorporating social media for your next event:
- Promote engagement before the event: Look at how technology, such as microblogging, blogs or group pages, can increase your engagement with audiences, as well as connect people with one another. As I mentioned above, SXSW solicited input on speakers and panel topics as part of the call for papers process.
- Provide a channel for communications during the event: Conferences are ceasing to be one-way presentations to audiences. Rather, there are back channel conversations happening throughout an event. Look at how you can tap into these conversations to help enhance live presentations or to promote discussion with your attendees. For example, use Twitter to solicit feedback and questions from the audience during a live panel discussion.
- Consider different avenues for distributing your content: Conference proceedings are typically provided to only paid attendees. Consider how to leverage the different ways to distribute your content—photos, video and audio—not only to paid attendees but key audiences who become interested in your event due to the "buzz" online. For example, post presenter slides on Slideshare.net in advance of the event. Attendees can provide feedback or questions which can further enhance how the speaker presents at the conference. The preso also serves as a promotional vehicle to drive registrants to your event.
- Continue the conversations after the event has concluded: This may be the most difficult part of social networking. If your event is targeting an audience that doesn't have an existing community or your event is unique enough, then you may be able to create a community. The tendency is to create a proprietary platform for your community, but your audience may dictate using an existing platform, such as MySpace or Facebook.
Conclusions
Like any event, social media takes time and patience. There is no magic technology or technique for success. Rather it takes strategic planning, time-consuming execution and constant evaluation to find the right mix for your event. If you're willing to put in the time and effort, then your social media efforts will succeed.
The key thing to keep in mind is that social media is to help promote communications not only with you and your audience but also amongst the attendees as well.
About the Author
Cece Salomon-Lee is the author of PR Meets Marketing, which explores the intersection of public relations, social media and marketing. Her blog is ranked on the Ad Age 500 and other top ranked PR lists. If you're interested in learning how Cece can help your programs, she can be reached at cece.lee[@]gmail[dot]com.
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En attendant 2014... (retour sur le projet Balladur des collectivités territoriales)
Déjà un premier truc qui m'amuse. Moderniser la vie politique locale. Et faire réaliser cette modernisation par Edouard Balladur... Modernisation, Balladur... Malgré tout le réel respect que j'ai pour l'ancien premier ministre, l'association de ces deux mots cache un truc qui m'échappe. Enfin bon...Voilà donc les principaux points du comité Balladur sur l'organisation territoriale de la France dévoilés. Une petite image, tirée du Figaro, qui explique assez bien les projets. Applicable à 2014 tout ça, on a le temps de voir.
Déjà les réactions ne se font pas attendre. Majoritairement, une impression de méfiance globale contre ces propositions. Ca me rappelle presque le rapport Atali, avec une violence moindre. Mais quand même : généralement, les réactions ne sont pas positives. Les mauvais esprits pourraient aussi y voir les élus locaux, barons et autres, qui ne veulent pas se laisser déposséder de leurs jouets...
J'ai amicalement moqué mon copain bloggueur Nicolas ce matin, en le traitant de "conservateurs". Lui aussi est contre ce projet, parce qu'il "n'apporte rien". Donc comme il n'apporte rien, pourquoi tout bouleverser ?
Je suis obligé de constater que sur le fond, je suis totalement d'accord avec lui. Je le paraphrase, mais le changement pour le changement, ça sert à quoi ? En ajoutant le fait que la taille des régions n'est sans doute pas la raison principale du peu d'attrait de certaines d'entre elle.
Cette impression du changement, parce qu'il faut changer et faire quelque chose, c'est un peu une constante dans l'attitude de Nicolas Sarkozy. Il bouge toujours. Toujours bouger, car si on ne bouge pas, on meurt. Enfin, des fois, ne pas bouger évite de faire des conneries. Balancer l'idée de réduire le congé maternel, ou de supprimer la TP et de la remplacer par la taxe carbone, peut être cela aurait pu mériter un peu réflexion avant de balancer de pareils pavés.
Le mouvement perpétuel n'apporte pas que du positif. Un peu de calme, pour tout le monde, ça apaiserait une ambiance lourde. Et "la réforme" à tout va, à tous prix, désolé, mais ce n'est pas un programme. Et en tous cas pas une bonne politique.
Je ne prône pas par là le conservatisme. Mais entre l'ordre imparfait et le désordre volontaire et perpétuel. Je préfère le premier. En ajoutant le fait qu'une réforme qui apporte plus d'inconvénients que d'avantages, et qui fait que la situation demain, pour tout un chacun, sera plus mauvaise que celle de hier, ce n'est pas en soit une bonne réforme.
Et on peut dire ça en acquiesçant sur le constat que la société française, sclérosée en pleins de points, mérite d'être bougée et réformée. Mais là encore plus que le fond, c'est la méthode qui peut être contestée : pas n'importe comment. Pas à n'importe quel prix.
Je reviens sur le comité Balladur. Ma région n'est pas impactée. Mon village du Gard Rhodanien restera dans le Languedoc Roussillon tout en étant provençalement tourné vers Avignon. Montfaucon est attiré par Orange, Roquemaure par Avignon. Et administrativement, c'est Montpellier ou Nimes qui nous dirige. On est plus proche d'Arles et de Marseille que de Perpignan ou Narbonne. Mais c'est comme ça. On est Languedocien.
Personnellement, j'en suis ravi. Je me sens Languedocien. Mais je me sens aussi profondément Provençal. Et la proximité de l'Ardèche (Rhône Alpes, troisième région, un carrefour je vous dis) me donnerait presque des sentiments ardéchois ou cévenols.
D'ailleurs, où est le Gard ? En Provence ? C'est camarguais ou cévenol ? Languedocien ? Ben c'est un peu tout. Roquemaure est provençal. Beaucaire camarguais. Y a la mer. Y a le Vigan. Ales est presque lozérien. Pont Saint Esprit quasi ardéchois. J'oublie pleins d'autres coins, qui font que le Gard n'est finalement pas bien différent de pleins d'autres départements limitrophes. A cheval entre plusieurs cultures.
Alors les limites administratives ? Franchement...
Enfin, le mille-feuille des collectivités territoriales... Depuis que je m'intéresse à la politique, j'entends parler du mille-feuille des collectivités territoriales. Et depuis ont été crée les communauté de communes ou d'agglomérations...
Faut il supprimer des régions pour alléger ce gloutonneux gâteau ? Si cela passe par une disparition des historiques et hautement légitimes Picardie et Auvergne, la réponse est non. Faut il supprimer des départements ? Quelque part, je pense qu'il faut que le citoyen garde un échelon humain entre la commune et la région, lointaine. Faire s'éloigner du citoyen les organes de décision, c'est prendre le risque de généraliser le "syndrome de Bruxelles". Une entité où tout se décide, mais loin du peuple et sans lui... Un nid à populisme...
J'aurais un avis sur la question. Assez choquant pour certains. Même pour moi, attaché à mon village d'enfance... Mais je pense que supprimer, ou plutôt fusionner certains villages, pourrait être une première piste. Certaines communes de 300, 400 habitants, avec structures administratives propres, pourraient être fusionnés à d'autres communes. Sans perdre leur identité propre.Cela a été fait à l'échelle de grandes villes. Romorantin-Lanthenay dirigée par un maire ami (bien que socialiste, comme quoi), Cherbourg-Octeville. Et puis dans le passé, combien de villages se sont crées autour de deux clochers ? Ma belle famille est originaire de Saint Hilaire Cusson La Valmitte. Village de 261 habitants. Qui rassemble trois hamaux (saurez vous les retrouver ?).
Les exemples de regroupements de hameaux, y en a pleins...
Alors pourquoi, lorsque deux villages de 1200 habitants sont côtes à côtes, avec des familles composées d'enfants des deux communes, ne pourraient elles pas fusionner ? Ca fera des élus de moins ? Ca fera des guerres de clochers ? Peut être. Ca ne durera pas bien longtemps, ou alors en devenant guerre de quartier comme il y en a tellement.Mais si ces regroupements sont fait avec intelligence et concertation, et avec respect de l'histoire de chacun, cela peut permettre un meilleurs équilibre des territoires. Et peut être une meilleure gestion des communes, dotées ainsi de plus de moyens. Et pour les administrés, peut être garantie de meilleurs services...
Une idée simple, comme ça. Je ne crois pas que le comité Balladur ait réflechi à ça. Mais le village, c'est petit pour eux... Non, eux ils voient le grand Paris, pas le grand Pont Saint Esprit ou le grand Aramon... Tellement plus humains, ces "grands villages".
Mais pour conclure, je recopie la conclusion de copain Nicolas : arrêtons de modifier les constitutions ou les institutions pour le principe. Pour la simple volonté de "faire des réformes".
En attendant 2014... (retour sur le projet Balladur des collectivités territoriales)
Déjà un premier truc qui m'amuse. Moderniser la vie politique locale. Et faire réaliser cette modernisation par Edouard Balladur... Modernisation, Balladur... Malgré tout le réel respect que j'ai pour l'ancien premier ministre, l'association de ces deux mots cache un truc qui m'échappe. Enfin bon...Voilà donc les principaux points du comité Balladur sur l'organisation territoriale de la France dévoilés. Une petite image, tirée du Figaro, qui explique assez bien les projets. Applicable à 2014 tout ça, on a le temps de voir.
Déjà les réactions ne se font pas attendre. Majoritairement, une impression de méfiance globale contre ces propositions. Ca me rappelle presque le rapport Atali, avec une violence moindre. Mais quand même : généralement, les réactions ne sont pas positives. Les mauvais esprits pourraient aussi y voir les élus locaux, barons et autres, qui ne veulent pas se laisser déposséder de leurs jouets...
J'ai amicalement moqué mon copain bloggueur Nicolas ce matin, en le traitant de "conservateurs". Lui aussi est contre ce projet, parce qu'il "n'apporte rien". Donc comme il n'apporte rien, pourquoi tout bouleverser ?
Je suis obligé de constater que sur le fond, je suis totalement d'accord avec lui. Je le paraphrase, mais le changement pour le changement, ça sert à quoi ? En ajoutant le fait que la taille des régions n'est sans doute pas la raison principale du peu d'attrait de certaines d'entre elle.
Cette impression du changement, parce qu'il faut changer et faire quelque chose, c'est un peu une constante dans l'attitude de Nicolas Sarkozy. Il bouge toujours. Toujours bouger, car si on ne bouge pas, on meurt. Enfin, des fois, ne pas bouger évite de faire des conneries. Balancer l'idée de réduire le congé maternel, ou de supprimer la TP et de la remplacer par la taxe carbone, peut être cela aurait pu mériter un peu réflexion avant de balancer de pareils pavés.
Le mouvement perpétuel n'apporte pas que du positif. Un peu de calme, pour tout le monde, ça apaiserait une ambiance lourde. Et "la réforme" à tout va, à tous prix, désolé, mais ce n'est pas un programme. Et en tous cas pas une bonne politique.
Je ne prône pas par là le conservatisme. Mais entre l'ordre imparfait et le désordre volontaire et perpétuel. Je préfère le premier. En ajoutant le fait qu'une réforme qui apporte plus d'inconvénients que d'avantages, et qui fait que la situation demain, pour tout un chacun, sera plus mauvaise que celle de hier, ce n'est pas en soit une bonne réforme.
Et on peut dire ça en acquiesçant sur le constat que la société française, sclérosée en pleins de points, mérite d'être bougée et réformée. Mais là encore plus que le fond, c'est la méthode qui peut être contestée : pas n'importe comment. Pas à n'importe quel prix.
Je reviens sur le comité Balladur. Ma région n'est pas impactée. Mon village du Gard Rhodanien restera dans le Languedoc Roussillon tout en étant provençalement tourné vers Avignon. Montfaucon est attiré par Orange, Roquemaure par Avignon. Et administrativement, c'est Montpellier ou Nimes qui nous dirige. On est plus proche d'Arles et de Marseille que de Perpignan ou Narbonne. Mais c'est comme ça. On est Languedocien.
Personnellement, j'en suis ravi. Je me sens Languedocien. Mais je me sens aussi profondément Provençal. Et la proximité de l'Ardèche (Rhône Alpes, troisième région, un carrefour je vous dis) me donnerait presque des sentiments ardéchois ou cévenols.
D'ailleurs, où est le Gard ? En Provence ? C'est camarguais ou cévenol ? Languedocien ? Ben c'est un peu tout. Roquemaure est provençal. Beaucaire camarguais. Y a la mer. Y a le Vigan. Ales est presque lozérien. Pont Saint Esprit quasi ardéchois. J'oublie pleins d'autres coins, qui font que le Gard n'est finalement pas bien différent de pleins d'autres départements limitrophes. A cheval entre plusieurs cultures.
Alors les limites administratives ? Franchement...
Enfin, le mille-feuille des collectivités territoriales... Depuis que je m'intéresse à la politique, j'entends parler du mille-feuille des collectivités territoriales. Et depuis ont été crée les communauté de communes ou d'agglomérations...
Faut il supprimer des régions pour alléger ce gloutonneux gâteau ? Si cela passe par une disparition des historiques et hautement légitimes Picardie et Auvergne, la réponse est non. Faut il supprimer des départements ? Quelque part, je pense qu'il faut que le citoyen garde un échelon humain entre la commune et la région, lointaine. Faire s'éloigner du citoyen les organes de décision, c'est prendre le risque de généraliser le "syndrome de Bruxelles". Une entité où tout se décide, mais loin du peuple et sans lui... Un nid à populisme...
J'aurais un avis sur la question. Assez choquant pour certains. Même pour moi, attaché à mon village d'enfance... Mais je pense que supprimer, ou plutôt fusionner certains villages, pourrait être une première piste. Certaines communes de 300, 400 habitants, avec structures administratives propres, pourraient être fusionnés à d'autres communes. Sans perdre leur identité propre.Cela a été fait à l'échelle de grandes villes. Romorantin-Lanthenay dirigée par un maire ami (bien que socialiste, comme quoi), Cherbourg-Octeville. Et puis dans le passé, combien de villages se sont crées autour de deux clochers ? Ma belle famille est originaire de Saint Hilaire Cusson La Valmitte. Village de 261 habitants. Qui rassemble trois hamaux (saurez vous les retrouver ?).
Les exemples de regroupements de hameaux, y en a pleins...
Alors pourquoi, lorsque deux villages de 1200 habitants sont côtes à côtes, avec des familles composées d'enfants des deux communes, ne pourraient elles pas fusionner ? Ca fera des élus de moins ? Ca fera des guerres de clochers ? Peut être. Ca ne durera pas bien longtemps, ou alors en devenant guerre de quartier comme il y en a tellement.Mais si ces regroupements sont fait avec intelligence et concertation, et avec respect de l'histoire de chacun, cela peut permettre un meilleurs équilibre des territoires. Et peut être une meilleure gestion des communes, dotées ainsi de plus de moyens. Et pour les administrés, peut être garantie de meilleurs services...
Une idée simple, comme ça. Je ne crois pas que le comité Balladur ait réflechi à ça. Mais le village, c'est petit pour eux... Non, eux ils voient le grand Paris, pas le grand Pont Saint Esprit ou le grand Aramon... Tellement plus humains, ces "grands villages".
Mais pour conclure, je recopie la conclusion de copain Nicolas : arrêtons de modifier les constitutions ou les institutions pour le principe. Pour la simple volonté de "faire des réformes".
Ca ne finira jamais... Quelques comportements politiques qui me font soupirer...
Certaines choses ne finiront jamais...
Par exemple, Ségolène Royal sera toujours Ségolène Royal. Aucune honte ni scrupule. En Guadeloupe, aujourd'hui, elle clame sa fierté "les négociations ont repris depuis que je suis arrivé sur l'ile". Elle ne dit pas "grâce à elle". Lisons le entre les lignes. Est ce le même humour qui la fait se rendre inspiratrice de la campagne d'Obama ?
Ne douter de rien. Rendre le mandat de Martine Aubry invivable en accaparant la lumière sur sa personne, pourquoi pas. Aujourd'hui, on lit partout que ça y est, les socialistes sont rassemblés. Pourquoi pas...
Pendant ce temps, une ne change pas. Ne douter de rien. Récupération politique politicienne, déclaration sur tout et rien, quitte à se déjuger ou à se contredire. Parlez de moi en bien ou en mal, mais parlez de moi. On y est en plein dedans.
Ca ne finira jamais non plus, les nominations du Prince. Aujourd'hui, Nicolas Sarkozy place ci et là tous ses amis et proches. Dernier en date, l'inconnu le plus célèbre du moment François Pérol nommé à la tête de la nouvelle banque fusionné. L'opposition se déchaine. L'inénarrable Lefebvre aussi. Il répond à son frère siamois Benoit Hamon. Et une polémique qui nait, se déchaine aussi fort que le mistral aujourd'hui. Ca amuse, ça occupe.
Evidemment que c'est scandaleux. Même si sur ce coup là, la compétence de l'homme ne peut être nullement remise en cause, ces nominations "du Prince" sont insupportables. Mais y a un mais...
J'avais lu, et entendu, ces dernières semaines, des réactions à gauche qui m'ont... Affligé n'est même pas le bon terme. En réaction donc : "vivement qu'on revienne au pouvoir pour placer qui on veut". Puisque de toutes manières Sarkozy le fait aujourd'hui, on le refera demain, comme l'a fait hier Mitterrand, Chirac, Jospin. Ah ?
C'est comme le cumul des mandats : Voynet et Montebourg sont contre (sans s) et le clament haut et fort. Sauf qu'à la première occasion, on laisse tomber VIeme République et autres beaux principes. On cumule conseil général et palais Bourbon d'un coté, mairie et Sénat de l'autre (avec en prime le parachutage, miam miam). Et la raison de ce reniement spectaculaire, qui ne semble pas forcément émouvoir les supporters de ces deux talentueux personnages ? "Ben tout le monde fait ça, donc nous aussi". Pan sur le bec, ben oui c'est con.
Ca risque donc de ne pas finir tout de suite...
Je ne parle pas des parachutages. On lit ici et là que le provencal Rhône Alpin de la Somme Vincent Peillon risque d'être tête de liste de la liste socialiste dans la grande Région Sud-Est aux européennes... Sans faire un commentaire désagréable sur ce scrutin scandaleusement modifié sous Chirac - Raffarin (qui fait qu'on ne parle plus d'Europe dans ce scrutin imbitable et politisé de la plus laide des manières), suprise (assez contenue à vrai dire, on attend où va atterir Benoit Hamon) devant ce genre de parachutage. Et là encore, droite et gauche (même centre) font largement jeu égal.
Enfin, il faut bien un poste pour le brave soldat Peillon (garçon tout de même très talentueux).
Enfin, le parachutage, là non plus, cela ne semble émouvoir personne. Lang et Guigou se font élire sans problème dans les législatives "loin de chez eux" qui leur permet de fuir Blois et Avignon qui ne les voulaient plus. Il faut bien continuer à exister. Bon, Lyon a renvoyé Perben et Millon dans leurs départements respectifs. Heureusement que les lyonnais...
Ca ne finira jamais hurle le chanteur. On peut quand même soupirer ?
Par exemple, Ségolène Royal sera toujours Ségolène Royal. Aucune honte ni scrupule. En Guadeloupe, aujourd'hui, elle clame sa fierté "les négociations ont repris depuis que je suis arrivé sur l'ile". Elle ne dit pas "grâce à elle". Lisons le entre les lignes. Est ce le même humour qui la fait se rendre inspiratrice de la campagne d'Obama ?Ne douter de rien. Rendre le mandat de Martine Aubry invivable en accaparant la lumière sur sa personne, pourquoi pas. Aujourd'hui, on lit partout que ça y est, les socialistes sont rassemblés. Pourquoi pas...
Pendant ce temps, une ne change pas. Ne douter de rien. Récupération politique politicienne, déclaration sur tout et rien, quitte à se déjuger ou à se contredire. Parlez de moi en bien ou en mal, mais parlez de moi. On y est en plein dedans.
Ca ne finira jamais non plus, les nominations du Prince. Aujourd'hui, Nicolas Sarkozy place ci et là tous ses amis et proches. Dernier en date, l'inconnu le plus célèbre du moment François Pérol nommé à la tête de la nouvelle banque fusionné. L'opposition se déchaine. L'inénarrable Lefebvre aussi. Il répond à son frère siamois Benoit Hamon. Et une polémique qui nait, se déchaine aussi fort que le mistral aujourd'hui. Ca amuse, ça occupe.
Evidemment que c'est scandaleux. Même si sur ce coup là, la compétence de l'homme ne peut être nullement remise en cause, ces nominations "du Prince" sont insupportables. Mais y a un mais...
J'avais lu, et entendu, ces dernières semaines, des réactions à gauche qui m'ont... Affligé n'est même pas le bon terme. En réaction donc : "vivement qu'on revienne au pouvoir pour placer qui on veut". Puisque de toutes manières Sarkozy le fait aujourd'hui, on le refera demain, comme l'a fait hier Mitterrand, Chirac, Jospin. Ah ?
C'est comme le cumul des mandats : Voynet et Montebourg sont contre (sans s) et le clament haut et fort. Sauf qu'à la première occasion, on laisse tomber VIeme République et autres beaux principes. On cumule conseil général et palais Bourbon d'un coté, mairie et Sénat de l'autre (avec en prime le parachutage, miam miam). Et la raison de ce reniement spectaculaire, qui ne semble pas forcément émouvoir les supporters de ces deux talentueux personnages ? "Ben tout le monde fait ça, donc nous aussi". Pan sur le bec, ben oui c'est con.
Ca risque donc de ne pas finir tout de suite...
Je ne parle pas des parachutages. On lit ici et là que le provencal Rhône Alpin de la Somme Vincent Peillon risque d'être tête de liste de la liste socialiste dans la grande Région Sud-Est aux européennes... Sans faire un commentaire désagréable sur ce scrutin scandaleusement modifié sous Chirac - Raffarin (qui fait qu'on ne parle plus d'Europe dans ce scrutin imbitable et politisé de la plus laide des manières), suprise (assez contenue à vrai dire, on attend où va atterir Benoit Hamon) devant ce genre de parachutage. Et là encore, droite et gauche (même centre) font largement jeu égal.Enfin, il faut bien un poste pour le brave soldat Peillon (garçon tout de même très talentueux).
Enfin, le parachutage, là non plus, cela ne semble émouvoir personne. Lang et Guigou se font élire sans problème dans les législatives "loin de chez eux" qui leur permet de fuir Blois et Avignon qui ne les voulaient plus. Il faut bien continuer à exister. Bon, Lyon a renvoyé Perben et Millon dans leurs départements respectifs. Heureusement que les lyonnais...
Ca ne finira jamais hurle le chanteur. On peut quand même soupirer ?
Ca ne finira jamais... Quelques comportements politiques qui me font soupirer...
Certaines choses ne finiront jamais...
Par exemple, Ségolène Royal sera toujours Ségolène Royal. Aucune honte ni scrupule. En Guadeloupe, aujourd'hui, elle clame sa fierté "les négociations ont repris depuis que je suis arrivé sur l'ile". Elle ne dit pas "grâce à elle". Lisons le entre les lignes. Est ce le même humour qui la fait se rendre inspiratrice de la campagne d'Obama ?
Ne douter de rien. Rendre le mandat de Martine Aubry invivable en accaparant la lumière sur sa personne, pourquoi pas. Aujourd'hui, on lit partout que ça y est, les socialistes sont rassemblés. Pourquoi pas...
Pendant ce temps, une ne change pas. Ne douter de rien. Récupération politique politicienne, déclaration sur tout et rien, quitte à se déjuger ou à se contredire. Parlez de moi en bien ou en mal, mais parlez de moi. On y est en plein dedans.
Ca ne finira jamais non plus, les nominations du Prince. Aujourd'hui, Nicolas Sarkozy place ci et là tous ses amis et proches. Dernier en date, l'inconnu le plus célèbre du moment François Pérol nommé à la tête de la nouvelle banque fusionné. L'opposition se déchaine. L'inénarrable Lefebvre aussi. Il répond à son frère siamois Benoit Hamon. Et une polémique qui nait, se déchaine aussi fort que le mistral aujourd'hui. Ca amuse, ça occupe.
Evidemment que c'est scandaleux. Même si sur ce coup là, la compétence de l'homme ne peut être nullement remise en cause, ces nominations "du Prince" sont insupportables. Mais y a un mais...
J'avais lu, et entendu, ces dernières semaines, des réactions à gauche qui m'ont... Affligé n'est même pas le bon terme. En réaction donc : "vivement qu'on revienne au pouvoir pour placer qui on veut". Puisque de toutes manières Sarkozy le fait aujourd'hui, on le refera demain, comme l'a fait hier Mitterrand, Chirac, Jospin. Ah ?
C'est comme le cumul des mandats : Voynet et Montebourg sont contre (sans s) et le clament haut et fort. Sauf qu'à la première occasion, on laisse tomber VIeme République et autres beaux principes. On cumule conseil général et palais Bourbon d'un coté, mairie et Sénat de l'autre (avec en prime le parachutage, miam miam). Et la raison de ce reniement spectaculaire, qui ne semble pas forcément émouvoir les supporters de ces deux talentueux personnages ? "Ben tout le monde fait ça, donc nous aussi". Pan sur le bec, ben oui c'est con.
Ca risque donc de ne pas finir tout de suite...
Je ne parle pas des parachutages. On lit ici et là que le provencal Rhône Alpin de la Somme Vincent Peillon risque d'être tête de liste de la liste socialiste dans la grande Région Sud-Est aux européennes... Sans faire un commentaire désagréable sur ce scrutin scandaleusement modifié sous Chirac - Raffarin (qui fait qu'on ne parle plus d'Europe dans ce scrutin imbitable et politisé de la plus laide des manières), suprise (assez contenue à vrai dire, on attend où va atterir Benoit Hamon) devant ce genre de parachutage. Et là encore, droite et gauche (même centre) font largement jeu égal.
Enfin, il faut bien un poste pour le brave soldat Peillon (garçon tout de même très talentueux).
Enfin, le parachutage, là non plus, cela ne semble émouvoir personne. Lang et Guigou se font élire sans problème dans les législatives "loin de chez eux" qui leur permet de fuir Blois et Avignon qui ne les voulaient plus. Il faut bien continuer à exister. Bon, Lyon a renvoyé Perben et Millon dans leurs départements respectifs. Heureusement que les lyonnais...
Ca ne finira jamais hurle le chanteur. On peut quand même soupirer ?
Par exemple, Ségolène Royal sera toujours Ségolène Royal. Aucune honte ni scrupule. En Guadeloupe, aujourd'hui, elle clame sa fierté "les négociations ont repris depuis que je suis arrivé sur l'ile". Elle ne dit pas "grâce à elle". Lisons le entre les lignes. Est ce le même humour qui la fait se rendre inspiratrice de la campagne d'Obama ?Ne douter de rien. Rendre le mandat de Martine Aubry invivable en accaparant la lumière sur sa personne, pourquoi pas. Aujourd'hui, on lit partout que ça y est, les socialistes sont rassemblés. Pourquoi pas...
Pendant ce temps, une ne change pas. Ne douter de rien. Récupération politique politicienne, déclaration sur tout et rien, quitte à se déjuger ou à se contredire. Parlez de moi en bien ou en mal, mais parlez de moi. On y est en plein dedans.
Ca ne finira jamais non plus, les nominations du Prince. Aujourd'hui, Nicolas Sarkozy place ci et là tous ses amis et proches. Dernier en date, l'inconnu le plus célèbre du moment François Pérol nommé à la tête de la nouvelle banque fusionné. L'opposition se déchaine. L'inénarrable Lefebvre aussi. Il répond à son frère siamois Benoit Hamon. Et une polémique qui nait, se déchaine aussi fort que le mistral aujourd'hui. Ca amuse, ça occupe.
Evidemment que c'est scandaleux. Même si sur ce coup là, la compétence de l'homme ne peut être nullement remise en cause, ces nominations "du Prince" sont insupportables. Mais y a un mais...
J'avais lu, et entendu, ces dernières semaines, des réactions à gauche qui m'ont... Affligé n'est même pas le bon terme. En réaction donc : "vivement qu'on revienne au pouvoir pour placer qui on veut". Puisque de toutes manières Sarkozy le fait aujourd'hui, on le refera demain, comme l'a fait hier Mitterrand, Chirac, Jospin. Ah ?
C'est comme le cumul des mandats : Voynet et Montebourg sont contre (sans s) et le clament haut et fort. Sauf qu'à la première occasion, on laisse tomber VIeme République et autres beaux principes. On cumule conseil général et palais Bourbon d'un coté, mairie et Sénat de l'autre (avec en prime le parachutage, miam miam). Et la raison de ce reniement spectaculaire, qui ne semble pas forcément émouvoir les supporters de ces deux talentueux personnages ? "Ben tout le monde fait ça, donc nous aussi". Pan sur le bec, ben oui c'est con.
Ca risque donc de ne pas finir tout de suite...
Je ne parle pas des parachutages. On lit ici et là que le provencal Rhône Alpin de la Somme Vincent Peillon risque d'être tête de liste de la liste socialiste dans la grande Région Sud-Est aux européennes... Sans faire un commentaire désagréable sur ce scrutin scandaleusement modifié sous Chirac - Raffarin (qui fait qu'on ne parle plus d'Europe dans ce scrutin imbitable et politisé de la plus laide des manières), suprise (assez contenue à vrai dire, on attend où va atterir Benoit Hamon) devant ce genre de parachutage. Et là encore, droite et gauche (même centre) font largement jeu égal.Enfin, il faut bien un poste pour le brave soldat Peillon (garçon tout de même très talentueux).
Enfin, le parachutage, là non plus, cela ne semble émouvoir personne. Lang et Guigou se font élire sans problème dans les législatives "loin de chez eux" qui leur permet de fuir Blois et Avignon qui ne les voulaient plus. Il faut bien continuer à exister. Bon, Lyon a renvoyé Perben et Millon dans leurs départements respectifs. Heureusement que les lyonnais...
Ca ne finira jamais hurle le chanteur. On peut quand même soupirer ?
Fullmetal alchemist 2 & Evangelion au cinéma... je parlerai politique demain
Ce soir, pas envie de parler politique. La réforme prévue des régions ? Pour 2014 (donc prochain mandat). Et vu les réticences de beaucoup de voir moins de places à distribuer, pas gagné cette affaire...
Non, ce qui m'interressait ce jour, c'était trouvé sur le magnifique site AnimeFr. Une mine pour les passionnés comme moi.
La semaine dernière, ils donnaient le Teaser du film "Evangelion 1.0 - You are (not) Alone". Au cinéma la semaine prochaine, le 4 Mars. Je ne vais jamais au cinéma, là je vais y aller !
Et encore mieux. La deuxieme bande annonce de FullMetal Alchemist 2.
Donc aujourd'hui, envie d'être un peu otaku sur les bords. En plus, j'ai passé une soirée à préparer un budget (une CLECT pour ceux qui connaissent...) en mangeant des pâtes et en buvant du Saint Chinian avec mon docteur. C'était chouette. Mais bon... Crevé.
Donc dodo. En pensant que l'animation japonaise nous promet encore de belles choses... (et dire que bientôt Saint Seiya Lost Canvas... Miam...)
Non, ce qui m'interressait ce jour, c'était trouvé sur le magnifique site AnimeFr. Une mine pour les passionnés comme moi.
La semaine dernière, ils donnaient le Teaser du film "Evangelion 1.0 - You are (not) Alone". Au cinéma la semaine prochaine, le 4 Mars. Je ne vais jamais au cinéma, là je vais y aller !
Et encore mieux. La deuxieme bande annonce de FullMetal Alchemist 2.
Donc aujourd'hui, envie d'être un peu otaku sur les bords. En plus, j'ai passé une soirée à préparer un budget (une CLECT pour ceux qui connaissent...) en mangeant des pâtes et en buvant du Saint Chinian avec mon docteur. C'était chouette. Mais bon... Crevé.
Donc dodo. En pensant que l'animation japonaise nous promet encore de belles choses... (et dire que bientôt Saint Seiya Lost Canvas... Miam...)
Fullmetal alchemist 2 & Evangelion au cinéma... je parlerai politique demain
Ce soir, pas envie de parler politique. La réforme prévue des régions ? Pour 2014 (donc prochain mandat). Et vu les réticences de beaucoup de voir moins de places à distribuer, pas gagné cette affaire...
Non, ce qui m'interressait ce jour, c'était trouvé sur le magnifique site AnimeFr. Une mine pour les passionnés comme moi.
La semaine dernière, ils donnaient le Teaser du film "Evangelion 1.0 - You are (not) Alone". Au cinéma la semaine prochaine, le 4 Mars. Je ne vais jamais au cinéma, là je vais y aller !
Et encore mieux. La deuxieme bande annonce de FullMetal Alchemist 2.
Donc aujourd'hui, envie d'être un peu otaku sur les bords. En plus, j'ai passé une soirée à préparer un budget (une CLECT pour ceux qui connaissent...) en mangeant des pâtes et en buvant du Saint Chinian avec mon docteur. C'était chouette. Mais bon... Crevé.
Donc dodo. En pensant que l'animation japonaise nous promet encore de belles choses... (et dire que bientôt Saint Seiya Lost Canvas... Miam...)
Non, ce qui m'interressait ce jour, c'était trouvé sur le magnifique site AnimeFr. Une mine pour les passionnés comme moi.
La semaine dernière, ils donnaient le Teaser du film "Evangelion 1.0 - You are (not) Alone". Au cinéma la semaine prochaine, le 4 Mars. Je ne vais jamais au cinéma, là je vais y aller !
Et encore mieux. La deuxieme bande annonce de FullMetal Alchemist 2.
Donc aujourd'hui, envie d'être un peu otaku sur les bords. En plus, j'ai passé une soirée à préparer un budget (une CLECT pour ceux qui connaissent...) en mangeant des pâtes et en buvant du Saint Chinian avec mon docteur. C'était chouette. Mais bon... Crevé.
Donc dodo. En pensant que l'animation japonaise nous promet encore de belles choses... (et dire que bientôt Saint Seiya Lost Canvas... Miam...)
Bétise du lundi matin : Laurel et Hardy
Les bêtises reçues le lundi matin dans la boite mail. Merci Falconette.
Pour la blogguing utile, on peut attendre un jour de plus s'il vous plait ?
Bétise du lundi matin : Laurel et Hardy
Les bêtises reçues le lundi matin dans la boite mail. Merci Falconette.
Pour la blogguing utile, on peut attendre un jour de plus s'il vous plait ?
Gravity (Wolf Rain), accompagné de réflexions d'un dimanche sur le blog...
Je n'ai pas envie de parler politique aujourd'hui...
C'est vrai... Lire qu'Olivier Besancenot va en Guadeloupe pour "apprendre comment foutre un bordel identique en métropole" m'effraie. A Néo-Laguiller qui clame vouloir combattre la "dictature capitaliste", je lui répondrai que je la préfère encore largement à la dictature que prône les jumeaux LCR - LO...
Et puis voir l'indécence perpetuelle d'une Ségolène Royal qui récupère la mort d'un guadeloupéen... Non, trop pour moi, pas envie de parler politique aujourd'hui...Et puis de toutes manières, je suis crevé aujourd'hui... J'écris un message blog, je me demande pourquoi. Depuis le début de l'année, mis à part la période où j'étais en stage, je carbure presque à un billet par jour. C'est beaucoup. C'est trop : pendant que je bloggue, je n'écris pas aux gens que j'aime. C'est trop...
J'ai utilisé, depuis peu, le compteur sitemeter que j'avais installé sur mon blog, "à l'époque"... A l'époque où j'espérais des choses que je n'espère plus. J'ai été surpris de voir une moyenne entre 120 et 180 visites par jours, suivant les billets... Quand Wikio me met sur une bonne place dans leurs billets du jours, ça grimpe. Sinon, ça stagne. Quand Civelli montre son cul, par contre, ça explose les compteurs...
Je me suis demandé hier si je n'écrivais pas pour écrire... Parce que le mois dernier, je me suis surpris à regarder tous les jours le nombre de visites quotidiennes que j'avais, et que je voulais voir les billets qui marchent, ceux qui ne marchent pas. Bref, commencer à faire du "blog industriel", à "bloggueur efficace" comme disent certains bloggueurs zinfluents.
Je n'aime pas ça. Je n'ai pas envie de stresser à chaque début de mois pour savoir où Wikio va me mettre. Je n'ai pas envie de cette course à la connection, qui a dénaturé totalement certains blogs où je prenais plaisir à aller avant. Et certains bloggueurs aussi, forcément.
Pourtant, quand on voit des number one qui restent simples et qui font du blog comme moi j'ai envie d'en faire, ça rassure. Ca rassure, mais quand même...Alors aujourd'hui, j'ai simplement envie de mettre en avant une chanson que j'aime beaucoup, que m'a repassé WinAmp ce matin. Gravity est le titre du générique de fin de l'extraordinaire dessin animé Wolf Rain. Si je met une photo de Blayes en illustration de cet article, c'est que je regardais ce dessin animé alors que j'étais en déplacement à la Centrale de là bas. Une intervention délicate, mais je m'en suis bien tiré...
Cette chanson est d'une douceur adorable quand il fait froid. A la fin de l'épisode, souvent dur (ce dessin animé est rude), emmitouflé dans les couvertures, il est agréable de s'endormir au son de ce chant.
La chanteuse, Maaya Sakamoto, n'en est pas à son coup d'essai. On la retouve dans pleins d'animé qui m'ont musicalement marqué. Hack Sign, Tsubasa Chronicle, Gundam Seed (tiens, du Yuki Kajiura), et dernièrement le magnifique Macross Frontier...
Alors oui, parler de Blayes et de chanson japonaise, ça fait moins d'audience que de parler de Nicolas Sarkozy. Mais moi, je préfère...
J'avais envie de pondre un billet de vin. Sur ma cave, et ici aussi. Ben la prochaine fois. Là, je vais dormir... Envie de rien, sinon de télé et de dodo devant la cheminé aujourd'hui.
On verra si demain plus de pèche... Parce que là...
Gravity (Wolf Rain), accompagné de réflexions d'un dimanche sur le blog...
Je n'ai pas envie de parler politique aujourd'hui...
C'est vrai... Lire qu'Olivier Besancenot va en Guadeloupe pour "apprendre comment foutre un bordel identique en métropole" m'effraie. A Néo-Laguiller qui clame vouloir combattre la "dictature capitaliste", je lui répondrai que je la préfère encore largement à la dictature que prône les jumeaux LCR - LO...
Et puis voir l'indécence perpetuelle d'une Ségolène Royal qui récupère la mort d'un guadeloupéen... Non, trop pour moi, pas envie de parler politique aujourd'hui...Et puis de toutes manières, je suis crevé aujourd'hui... J'écris un message blog, je me demande pourquoi. Depuis le début de l'année, mis à part la période où j'étais en stage, je carbure presque à un billet par jour. C'est beaucoup. C'est trop : pendant que je bloggue, je n'écris pas aux gens que j'aime. C'est trop...
J'ai utilisé, depuis peu, le compteur sitemeter que j'avais installé sur mon blog, "à l'époque"... A l'époque où j'espérais des choses que je n'espère plus. J'ai été surpris de voir une moyenne entre 120 et 180 visites par jours, suivant les billets... Quand Wikio me met sur une bonne place dans leurs billets du jours, ça grimpe. Sinon, ça stagne. Quand Civelli montre son cul, par contre, ça explose les compteurs...
Je me suis demandé hier si je n'écrivais pas pour écrire... Parce que le mois dernier, je me suis surpris à regarder tous les jours le nombre de visites quotidiennes que j'avais, et que je voulais voir les billets qui marchent, ceux qui ne marchent pas. Bref, commencer à faire du "blog industriel", à "bloggueur efficace" comme disent certains bloggueurs zinfluents.
Je n'aime pas ça. Je n'ai pas envie de stresser à chaque début de mois pour savoir où Wikio va me mettre. Je n'ai pas envie de cette course à la connection, qui a dénaturé totalement certains blogs où je prenais plaisir à aller avant. Et certains bloggueurs aussi, forcément.
Pourtant, quand on voit des number one qui restent simples et qui font du blog comme moi j'ai envie d'en faire, ça rassure. Ca rassure, mais quand même...Alors aujourd'hui, j'ai simplement envie de mettre en avant une chanson que j'aime beaucoup, que m'a repassé WinAmp ce matin. Gravity est le titre du générique de fin de l'extraordinaire dessin animé Wolf Rain. Si je met une photo de Blayes en illustration de cet article, c'est que je regardais ce dessin animé alors que j'étais en déplacement à la Centrale de là bas. Une intervention délicate, mais je m'en suis bien tiré...
Cette chanson est d'une douceur adorable quand il fait froid. A la fin de l'épisode, souvent dur (ce dessin animé est rude), emmitouflé dans les couvertures, il est agréable de s'endormir au son de ce chant.
La chanteuse, Maaya Sakamoto, n'en est pas à son coup d'essai. On la retouve dans pleins d'animé qui m'ont musicalement marqué. Hack Sign, Tsubasa Chronicle, Gundam Seed (tiens, du Yuki Kajiura), et dernièrement le magnifique Macross Frontier...
Alors oui, parler de Blayes et de chanson japonaise, ça fait moins d'audience que de parler de Nicolas Sarkozy. Mais moi, je préfère...
J'avais envie de pondre un billet de vin. Sur ma cave, et ici aussi. Ben la prochaine fois. Là, je vais dormir... Envie de rien, sinon de télé et de dodo devant la cheminé aujourd'hui.
On verra si demain plus de pèche... Parce que là...
