Salaire du Président : augmentation indecente ?

Il est difficile de ne pas céder à des tentations "populistes" lorsqu'on entend que l'assamblée vote une augmentation de 140 % du salaire du président de la République, sans parler du budget élyséen. Difficile... C'est idiot, mais ça reste difficile.
Personnellement, j'ai du mal à éviter...

Sur le fond, je ne suis pas forcément choqué que le Président de la République ait un salaire conséquent. Il ne me semblait pas que Mitterand ou Chirac, par le passé, se soient trouvé dans le besoin et se plaignaient de leurs pouvoirs d'achat, mais soit...
Je milite depuis longtemps pour un vrai statut de l'élu. Pour que le Maire d'une commune modeste ait un vrai salaire. Ce qui permettrait de ne pas voir uniquement des professions libérales, des fonctionnaires, ou des salariés, occuper le poste de Maire. Donc que le poste de président de la République soit "correctement" rémunéré, cela ne me choque pas.
Ce qui me choque, ce n'est pas le salaire. C'est l'augmentation de salaire. Et la forme...

Cela tombe mal. Actuellement, la tendance est à l'alignement 'vers le bas'. La tendance est à la rigueur. Cela ne me choque pas : le pays est exangue, les finances publique à sec. Tout le monde fait des efforts. Pour sauver la planète, pour sauver la sécurité sociale, on demande des efforts, légitimes et que je veux bien comprendre, à tout le monde.
Or, que voit on ? On demande aux fonctionnaires de voir leurs régimes de retraite alignées sur le plus défavorable, et le Président de la République devrait voir son salaire aligné sur celui du premier ministre, ce qui est un des arguments pour justifier cette hausse ? Le message de la majorité, pour laquelle j'ai voté, lorsqu'il va falloir demander au plus grand nombre des efforts, sera brouillée... Difficile d'aligner une majorité de gens vers le bas, et quelques uns qui n'étaient pas les plus à plaindre et qui en plus sont rémunérés via l'argent public (on parlait de dette publique), vers le haut.

Cela tombe mal quand le prix du gasoil dépasse les 1,15 euros, alors qu'il était au dessous de 80 centimes il y a à peine 3 ans. Cela tombe mal quand arrivent des avis d'impots locaux qui ont conséquement augmenté depuis l'an passé. Cela tombe mal quand on demande au citoyen de sauver la planète via des écotaxes et autres taxes carbones, quand on demande à ce même citoyen de sauver la sécu via les franchises médicales.

En bref, cela tombe mal quand on a fait campagne sur le pouvoir d'achat, et que l'hiver arrivant ce dernier se trouve mal en point, parce que taxes supplémentaites, parce que hausse des produits de base, parce que pas de hausse de salaire générale...

Enfin, sur la forme toujours, grand bravo à l'Assemblée Nationale. Une majorité qui se couche, tel le chien que je rève d'avoir, et dont je me demande s'il serait aussi obéissant qu'un député UMP de base.
Je ne parle pas de l'opposition. On entend la gauche hurler et faire du bruit comme les élèves à la cantine quand un verre tombe par terre. Et puis lors du moment du vote solennel, ils sont absents... Lire les dépeches apprend cette nouvelle qui me rend la gauche de mon pays aussi crédible qu'une sélection de Raymond Domenech. Cela me semble assez grave...

Au final, cette nouvelle plus la minipolémique la semaine passé sur le finance du Nouveau Centre me fait craindre une chose. La gauche n'a aucune crédibilité : à part crier, elle ne propose rien. Et lorsqu'il faut voter contre, elle est aux abonnés absents. L'UMP quant à elle me semble toujours plus crédible que ce triste PS dont je souhaite, en tant que citoyen, une renaissance rapide qui se fait attendre depuis 2002. Mais la politique actuelle du pouvoir en place me parait contestable et discutable.

J'avais dit sur ce blog et ailleurs, au soir du 7 Mai, que je n'étais pas triste de l'élection de Sarkozy. J'ai voté pour lui au deuxième tour. Pas un chèque en blanc, juste le vote d'un citoyen qui le pensait plus crédible et moins dangereux que son adversaire du soir (qui est où au fait ?). Mais qui demeurait libre de son vote, de ses opinions, de ses coups de coeur, et comme ce soir de ces craintes, voire colères.
La campagne de Sarkoy s'est faite, en majeure partie, sur la défense du pouvoir d'achat. Cela lui a valu beaucoup de suffrages venant d'un électorat de gauche qui n'avait aucune confiance en un tandem Hollande - Royal qui jouait une coupable comédie. J'avais dit ici que si Sarkozy trahissait cet électorat, et les 53% qui avaient voté pour lui, la déception serait à la hauteur de la colère qui s'abattrait dans les urnes.
Je pense aujourd'hui que les extrèmes prennent un plaisir à lire les journaux le matin. Et je pense que les LePen et les Besancenot, peut être pas aux municipales (trop tot), feront trés mal dans les urnes.
Parce que Nicolas Sarkozy est en train, peu de temps aprés son élection, d'oublier à qui il la devait. Parce que la gauche reste dans une posture purement négative et caricaturale d'opposition stérile et frontale.

J'espère sincérement me tromper... Ou alors j'espère que la majorité actuelle, qui possède en son rang des gens censés et intelligents, remettront vite le gouvernement sur des rails plus républicains. Et que les personnes responsables et adultes du PS feront de même dans leur opposition.
Sinon, l'accident de train risque de faire des victimes, en premier lieu notre République.

PS : Quelques blogs qui parlent du sujet, avec des arguments ou des positions parfois en adéquation avec les miennes, parfois différentes. Pierre Catalan, le Boulognais du Québec, ou le trés bon blog dont j'ai parlé ici de Lomig, Expression Libre. Duex positions opposés, mais complémentaires. Il y a pleins d'autres blogs qui doivent parler de ce sujet, mais bon...
PS bis : non, la photo n'a rien à voir avec le sujet. Mais la campagne Auvergnate est tellement belle : nous sommes là au dessus du Puy en Velay, et je trouve les paysages magnifiques...

Salaire du Président : augmentation indecente ?

Il est difficile de ne pas céder à des tentations "populistes" lorsqu'on entend que l'assamblée vote une augmentation de 140 % du salaire du président de la République, sans parler du budget élyséen. Difficile... C'est idiot, mais ça reste difficile.
Personnellement, j'ai du mal à éviter...

Sur le fond, je ne suis pas forcément choqué que le Président de la République ait un salaire conséquent. Il ne me semblait pas que Mitterand ou Chirac, par le passé, se soient trouvé dans le besoin et se plaignaient de leurs pouvoirs d'achat, mais soit...
Je milite depuis longtemps pour un vrai statut de l'élu. Pour que le Maire d'une commune modeste ait un vrai salaire. Ce qui permettrait de ne pas voir uniquement des professions libérales, des fonctionnaires, ou des salariés, occuper le poste de Maire. Donc que le poste de président de la République soit "correctement" rémunéré, cela ne me choque pas.
Ce qui me choque, ce n'est pas le salaire. C'est l'augmentation de salaire. Et la forme...

Cela tombe mal. Actuellement, la tendance est à l'alignement 'vers le bas'. La tendance est à la rigueur. Cela ne me choque pas : le pays est exangue, les finances publique à sec. Tout le monde fait des efforts. Pour sauver la planète, pour sauver la sécurité sociale, on demande des efforts, légitimes et que je veux bien comprendre, à tout le monde.
Or, que voit on ? On demande aux fonctionnaires de voir leurs régimes de retraite alignées sur le plus défavorable, et le Président de la République devrait voir son salaire aligné sur celui du premier ministre, ce qui est un des arguments pour justifier cette hausse ? Le message de la majorité, pour laquelle j'ai voté, lorsqu'il va falloir demander au plus grand nombre des efforts, sera brouillée... Difficile d'aligner une majorité de gens vers le bas, et quelques uns qui n'étaient pas les plus à plaindre et qui en plus sont rémunérés via l'argent public (on parlait de dette publique), vers le haut.

Cela tombe mal quand le prix du gasoil dépasse les 1,15 euros, alors qu'il était au dessous de 80 centimes il y a à peine 3 ans. Cela tombe mal quand arrivent des avis d'impots locaux qui ont conséquement augmenté depuis l'an passé. Cela tombe mal quand on demande au citoyen de sauver la planète via des écotaxes et autres taxes carbones, quand on demande à ce même citoyen de sauver la sécu via les franchises médicales.

En bref, cela tombe mal quand on a fait campagne sur le pouvoir d'achat, et que l'hiver arrivant ce dernier se trouve mal en point, parce que taxes supplémentaites, parce que hausse des produits de base, parce que pas de hausse de salaire générale...

Enfin, sur la forme toujours, grand bravo à l'Assemblée Nationale. Une majorité qui se couche, tel le chien que je rève d'avoir, et dont je me demande s'il serait aussi obéissant qu'un député UMP de base.
Je ne parle pas de l'opposition. On entend la gauche hurler et faire du bruit comme les élèves à la cantine quand un verre tombe par terre. Et puis lors du moment du vote solennel, ils sont absents... Lire les dépeches apprend cette nouvelle qui me rend la gauche de mon pays aussi crédible qu'une sélection de Raymond Domenech. Cela me semble assez grave...

Au final, cette nouvelle plus la minipolémique la semaine passé sur le finance du Nouveau Centre me fait craindre une chose. La gauche n'a aucune crédibilité : à part crier, elle ne propose rien. Et lorsqu'il faut voter contre, elle est aux abonnés absents. L'UMP quant à elle me semble toujours plus crédible que ce triste PS dont je souhaite, en tant que citoyen, une renaissance rapide qui se fait attendre depuis 2002. Mais la politique actuelle du pouvoir en place me parait contestable et discutable.

J'avais dit sur ce blog et ailleurs, au soir du 7 Mai, que je n'étais pas triste de l'élection de Sarkozy. J'ai voté pour lui au deuxième tour. Pas un chèque en blanc, juste le vote d'un citoyen qui le pensait plus crédible et moins dangereux que son adversaire du soir (qui est où au fait ?). Mais qui demeurait libre de son vote, de ses opinions, de ses coups de coeur, et comme ce soir de ces craintes, voire colères.
La campagne de Sarkoy s'est faite, en majeure partie, sur la défense du pouvoir d'achat. Cela lui a valu beaucoup de suffrages venant d'un électorat de gauche qui n'avait aucune confiance en un tandem Hollande - Royal qui jouait une coupable comédie. J'avais dit ici que si Sarkozy trahissait cet électorat, et les 53% qui avaient voté pour lui, la déception serait à la hauteur de la colère qui s'abattrait dans les urnes.
Je pense aujourd'hui que les extrèmes prennent un plaisir à lire les journaux le matin. Et je pense que les LePen et les Besancenot, peut être pas aux municipales (trop tot), feront trés mal dans les urnes.
Parce que Nicolas Sarkozy est en train, peu de temps aprés son élection, d'oublier à qui il la devait. Parce que la gauche reste dans une posture purement négative et caricaturale d'opposition stérile et frontale.

J'espère sincérement me tromper... Ou alors j'espère que la majorité actuelle, qui possède en son rang des gens censés et intelligents, remettront vite le gouvernement sur des rails plus républicains. Et que les personnes responsables et adultes du PS feront de même dans leur opposition.
Sinon, l'accident de train risque de faire des victimes, en premier lieu notre République.

PS : Quelques blogs qui parlent du sujet, avec des arguments ou des positions parfois en adéquation avec les miennes, parfois différentes. Pierre Catalan, le Boulognais du Québec, ou le trés bon blog dont j'ai parlé ici de Lomig, Expression Libre. Duex positions opposés, mais complémentaires. Il y a pleins d'autres blogs qui doivent parler de ce sujet, mais bon...
PS bis : non, la photo n'a rien à voir avec le sujet. Mais la campagne Auvergnate est tellement belle : nous sommes là au dessus du Puy en Velay, et je trouve les paysages magnifiques...

Football des campagnes

Valprivas - Chapelle d'Aurec. Le score final est de 7 à 2 pour les locaux.


Plus important que le score et le match lui même, c'est cet instant. Le vrai football des campagnes. Un stade avec les montagnes du Velay en fond de scène. Des gars qui reprendront le travail, leur travail, le lendemain.
Et autour du terrain, des enfants qui joue sur la touche avec un ballon et des blousons. Des femmes, des parents, des vieux, anciens footballeurs, collègues, qui viennent voir. Des chiens aussi. Un teckel, et un gros poilu. Et au fond, des vaches ruminent, impassibles, insensibles aux vivas de la foule, et au bruit du cuir et du sifflet.

Je ne peux pas ne pas parler de Sochaux - Marseille samedi soir... Mais j'en ai presque honte, tant je passe du foot rural à celui rutillant d'une Ligue 1 qui n'en finit pas de décevoir, de me décevoir. Je passe sur le match de mon équipe, qui rate un pénalty et encaisse deux "csc". Malchance, maladresse, nullité absolue, je ne sais pas. Triste, abattu, oui, ça je le suis.
Je ne parle pas non plus, quand les responsables de Valprivas s'occupent de la buvette, de cette minable guère des gangs au sein de l'OM. Qui sont ces ElGlaoui et De Labrosse qui veulent le firmament de la célébrité ? Qui sont ils, sinon ceux qui peuvent, si "on" les laisse faire, tuer l'OM pour leur seules gloires ?

Ce soir, Marseille Metz en Coupe de la Ligue. Dimanche prochain, où jouera Valprivas ? Je ne sais pas. Peut être je m'en moquerais, et pourtant, c'est là bas, le vrai football...

Football des campagnes

Valprivas - Chapelle d'Aurec. Le score final est de 7 à 2 pour les locaux.


Plus important que le score et le match lui même, c'est cet instant. Le vrai football des campagnes. Un stade avec les montagnes du Velay en fond de scène. Des gars qui reprendront le travail, leur travail, le lendemain.
Et autour du terrain, des enfants qui joue sur la touche avec un ballon et des blousons. Des femmes, des parents, des vieux, anciens footballeurs, collègues, qui viennent voir. Des chiens aussi. Un teckel, et un gros poilu. Et au fond, des vaches ruminent, impassibles, insensibles aux vivas de la foule, et au bruit du cuir et du sifflet.

Je ne peux pas ne pas parler de Sochaux - Marseille samedi soir... Mais j'en ai presque honte, tant je passe du foot rural à celui rutillant d'une Ligue 1 qui n'en finit pas de décevoir, de me décevoir. Je passe sur le match de mon équipe, qui rate un pénalty et encaisse deux "csc". Malchance, maladresse, nullité absolue, je ne sais pas. Triste, abattu, oui, ça je le suis.
Je ne parle pas non plus, quand les responsables de Valprivas s'occupent de la buvette, de cette minable guère des gangs au sein de l'OM. Qui sont ces ElGlaoui et De Labrosse qui veulent le firmament de la célébrité ? Qui sont ils, sinon ceux qui peuvent, si "on" les laisse faire, tuer l'OM pour leur seules gloires ?

Ce soir, Marseille Metz en Coupe de la Ligue. Dimanche prochain, où jouera Valprivas ? Je ne sais pas. Peut être je m'en moquerais, et pourtant, c'est là bas, le vrai football...

Seven More Essential SEO Tools


Optimizing your website for organic search is a matter of doing the right things, and doing those things right. Utilize SEO best practices, and use free online tools to track and improve your results. Here are a handful of tools that can help analyze and improve your efforts on both counts.

First, you need to know how well you site ranks today across your list of key search phrases on the most popular search engines. Two tools that automate this process are:

Search Engine Rankings from Mike's Marketing Tools

Search Engine Keyword Position from SEO Tools

To optimize your rankings, your most important keywords should have a density in the range of 3-5%. To check keyword density, use this tool:

Keyword Cloud from SEO Tools

Page content is the single most important determinant of your search engine rank, but crafting proper meta tags is also critical. Meta tags aren't difficult to write for anyone with a basic knowledge of HTML, but you use an automated tool to create them such as:

Meta Tag Generator from AnyBrowser.com

To check and optimize your meta tags for length and relevance, try this tool:

Meta Tag Analyzer from Widexl

All of the tools above assist with internal SEO, but external efforts—generating relevant external links to your site—is crucial as well. This tool tells you how many external links to your website have been detected by each of the major search engines:

Link Popularity Tool from SEO Tools

Finally, my favorite overarching, tie-it-all-together in one SEO analysis tool:

SEO Analysis Tool from SEO Workers

These seven tools will go a long way toward maximizing your SEO efforts. Looking for more? Knock yourself out trying the 51 SEM tools outlined in Essential Tools for the Search Engine Marketer from MediaPost. Though focused on tools to assist with online advertising campaigns, some of the tools on this list are also quite helpful with SEO efforts.

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Contact Tom Pick: tomATwebmarketcentralDOTcom

Automne, entre deux saisons

L'automne reste une saison étonnante... Aujourd'hui, la photo d'en haut à droite. Toujours mon coin préféré pour courrir. Les jardins de l'ile, à Roquemaure. Grand soleil. Soleil froid, sans nuage. Avec autour de moi les couleurs de l'automne avancée. Ces vignes qui ont été vendangés il y a peu, au début de la coupe du monde de rugby... ou fin de l'été, selon son référentiel temporel.

Aujourd'hui d'ailleurs, c'était agréable de courrir sous ce ciel sans vent. Trés agréable, même si j'aime aussi à me promener sous le ciel d'hier.
Et celle dessous à gauche, c'est hier soir. Le ciel, tel Yorito, le héros du trés beau dessin animé "Sola", j'ai pris en photo le ciel. C'est con, mais je trouvais l'image jolie. L'olivier provencal contraste un peu avec le ciel trés sombre.

La suite ? Pour moi, c'est demain départ à Saint Hilaire Cusson la Valmitte, la maison d'enfance de Falconette. Le haut Forez, à la limite entre Loire, Haute Loire et Puy de Dome. La cheminé est une obligation, dans ce village de 300 ames (et autant de vache).
Cet été, nous avions fait du vélo. Les images de dessous sont des prises de vue dans les chemins. C'était déjà trés vert en Aout. Aujourd'hui, les couleurs doivent être magnifiques : je me languis d'essayer le Lumix TZ3 que j'ai entre les mains... Peut être pas à vélo : les chemins doivent être trés glissant...

(Intermède pour Lomig, auteur du magnifique blog "Expression libre" : le TZ3 est plus difficile d'accés que mon ancien Kodak Easyshare. Notamment pour l'acquisition automatique des images par Windows. Je suis un peu déçu de ne pouvoir tirer le plein parti de l'utilitaire Windows qui est performant : cet appareil photo est reconnu comme une cléf USB, dommage.
Sinon, bien qu'il soit plus lourd, et plus compliqué, j'adore l'utiliser... Je trouve qu'il prend des beaux clichés, et les photos de nuit sont vraiment pas mal du tout... Viens ici, tu verras ce que ça donnes ^__^)

Intermède passé, revenons à nos vaches du Forez, départ demain donc. Et ce soir ? Pas de Sochaux - Marseille, à mon grand désarroi. Triste de louper un match de mon équipe préférée. Non, un repas avec ma maman politique, qui m'a bien remonté le moral y 3 semaines... J'en avais besoin. Et des anciens compagnons, amis maintenant, mais plus vu depuis longtemps. Y aura de l'émotion dans l'évocation d'anciennes cantonales ou le référendum de 2000 sur le quinquennat (je me souviens de mes arguments du non, heureux d'avoir eu raison à l'époque...).
Oh, je sais qu'il y a aura des moments difficiles pour moi. Les élections locales de Mars 2008 seront inévitablement évoqués. Ainsi que mon role. Celui que j'aimerais avoir, et celui que différentes personnes aimeraient me donner... Encore faudrait il qu'elles s'accordent entre elles pour avoir la même vision de moi... Et puis me demander un petit peu mon avis aussi. Que je donnerai. Mais pas ce soir : j'ai envie de passer une bonne soirée...

Peut etre je blogguerai demain. J'avais envie d'écrire sur les franchises de santée... Oh, je maitrise mal le sujet. Mais pareillement à ma colère suite à cette blague du Grenelle de l'Environnement, il me semble, une fois de plus, que les deux items "raison" et "bon sens" (nom de la liste municipale avec laquelle je fus élu...) sont deux mamelles sur lesquelles ils seraient bon parfois de venir se ressourcer... Et j'ai l'impression que cette énième réforme du système de financement de la sécurité sociale en manque énormément, de raison et de bon sens...

Enfin, j'en parlerai demain. Ou au retour de mes vacances. Là, je vais manger.

PS : La musique est une chanson que j'ai eu au moment de la dernière montée cette aprésmidi... Une chanson tirée du dessin animé Blood+, qui reste un des meilleurs de ma fin 2006. Le genre de musique qui, quand tu as un coup de mou, te refait partir la machine trés vite, trés bien... C'est bien de courrir en musique.

Automne, entre deux saisons

L'automne reste une saison étonnante... Aujourd'hui, la photo d'en haut à droite. Toujours mon coin préféré pour courrir. Les jardins de l'ile, à Roquemaure. Grand soleil. Soleil froid, sans nuage. Avec autour de moi les couleurs de l'automne avancée. Ces vignes qui ont été vendangés il y a peu, au début de la coupe du monde de rugby... ou fin de l'été, selon son référentiel temporel.

Aujourd'hui d'ailleurs, c'était agréable de courrir sous ce ciel sans vent. Trés agréable, même si j'aime aussi à me promener sous le ciel d'hier.
Et celle dessous à gauche, c'est hier soir. Le ciel, tel Yorito, le héros du trés beau dessin animé "Sola", j'ai pris en photo le ciel. C'est con, mais je trouvais l'image jolie. L'olivier provencal contraste un peu avec le ciel trés sombre.

La suite ? Pour moi, c'est demain départ à Saint Hilaire Cusson la Valmitte, la maison d'enfance de Falconette. Le haut Forez, à la limite entre Loire, Haute Loire et Puy de Dome. La cheminé est une obligation, dans ce village de 300 ames (et autant de vache).
Cet été, nous avions fait du vélo. Les images de dessous sont des prises de vue dans les chemins. C'était déjà trés vert en Aout. Aujourd'hui, les couleurs doivent être magnifiques : je me languis d'essayer le Lumix TZ3 que j'ai entre les mains... Peut être pas à vélo : les chemins doivent être trés glissant...

(Intermède pour Lomig, auteur du magnifique blog "Expression libre" : le TZ3 est plus difficile d'accés que mon ancien Kodak Easyshare. Notamment pour l'acquisition automatique des images par Windows. Je suis un peu déçu de ne pouvoir tirer le plein parti de l'utilitaire Windows qui est performant : cet appareil photo est reconnu comme une cléf USB, dommage.
Sinon, bien qu'il soit plus lourd, et plus compliqué, j'adore l'utiliser... Je trouve qu'il prend des beaux clichés, et les photos de nuit sont vraiment pas mal du tout... Viens ici, tu verras ce que ça donnes ^__^)

Intermède passé, revenons à nos vaches du Forez, départ demain donc. Et ce soir ? Pas de Sochaux - Marseille, à mon grand désarroi. Triste de louper un match de mon équipe préférée. Non, un repas avec ma maman politique, qui m'a bien remonté le moral y 3 semaines... J'en avais besoin. Et des anciens compagnons, amis maintenant, mais plus vu depuis longtemps. Y aura de l'émotion dans l'évocation d'anciennes cantonales ou le référendum de 2000 sur le quinquennat (je me souviens de mes arguments du non, heureux d'avoir eu raison à l'époque...).
Oh, je sais qu'il y a aura des moments difficiles pour moi. Les élections locales de Mars 2008 seront inévitablement évoqués. Ainsi que mon role. Celui que j'aimerais avoir, et celui que différentes personnes aimeraient me donner... Encore faudrait il qu'elles s'accordent entre elles pour avoir la même vision de moi... Et puis me demander un petit peu mon avis aussi. Que je donnerai. Mais pas ce soir : j'ai envie de passer une bonne soirée...

Peut etre je blogguerai demain. J'avais envie d'écrire sur les franchises de santée... Oh, je maitrise mal le sujet. Mais pareillement à ma colère suite à cette blague du Grenelle de l'Environnement, il me semble, une fois de plus, que les deux items "raison" et "bon sens" (nom de la liste municipale avec laquelle je fus élu...) sont deux mamelles sur lesquelles ils seraient bon parfois de venir se ressourcer... Et j'ai l'impression que cette énième réforme du système de financement de la sécurité sociale en manque énormément, de raison et de bon sens...

Enfin, j'en parlerai demain. Ou au retour de mes vacances. Là, je vais manger.

PS : La musique est une chanson que j'ai eu au moment de la dernière montée cette aprésmidi... Une chanson tirée du dessin animé Blood+, qui reste un des meilleurs de ma fin 2006. Le genre de musique qui, quand tu as un coup de mou, te refait partir la machine trés vite, trés bien... C'est bien de courrir en musique.

What is the True State of Search Marketing?


On Wednesday this week, MarketingSherpa hosted a presentation on Search Marketing Trends and Tactics (that's the link to the PDF; the audio is here). The same day, Bill Gadless at the B2B Web Strategy Blog wrote a post on The True State of B2B Search Engine Marketing. Combining information from the two paints an interesting picture of the current search marketing landscape.

Bill notes the gap between high interest in search marketing and the low actual adoption. In his words, "everyone’s intrigued; but very few are yet investing much of their budget with the help of a professional SEO firm." He concludes by writing, "The lack of attention SEO and PPC are receiving from B2B marketers is troubling."

Research from MarketingSherpa, on the other hand, demonstrates that the businesses who are investing these areas are seeing substantial ROI and increasing their spending. Overall, roughly 40% of web marketers plan double-digit increases in search marketing with Google next year; about a quarter plan similar spending increases on other PPC programs; and 40% also plan to increase dollars devoted to organic search optimization.

In addition, MarketingSherpa reports that SEO and PPC campaigns are rated as providing the second- and third-highest ROI of marketing tactics, trailing only house list email marketing. These tactics beat PR, direct mail, offline advertising and online banners. Their study also reveals that repeated landing page testing and optimization drives the greatest improvement on ROI for SEM campaigns.

So why the gap between the heavy spenders and non- (or very light) spenders? My own experience indicates that one answer is "bad experience." Time and again I've seen well-intentioned but inexperienced marketers throw money at PPC campaigns only to:

- Bid a single default amount across all keywords;
- Write and run a single ad;
- Point all clicks to their home page;
- And then wonder why their ROI is terrible (or not even measurable).

I don't mean to be too harsh here as none of us knew how to optimize SEM campaigns when the web was young. But over time, those who have focused on web marketing have learned the importance of bid optimization, ad and landing page testing, and other SEM best practices that drive high ROI from search marketing programs.

A second reason may be another research finding from MarketingSherpa: more than half of respondents said that it was somewhat or very difficult to hire in-house SEO and SEM expertise.

But whether done internally or externally, companies need to either transition from the "interest" stage in SEO and SEM to the execution phase—or continue spending scare marketing dollars on lower-ROI tactics.

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Grenelle environnement : une juste cause permet elle n'importe quoi ?

En Septembre 2003, le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin augmente le gasoil de 3 centimes d’euros le litre. Après avoir mis un terme à la TIPP flottante, cette bouée d’oxygène pour le portefeuille du pékin moyen, Raffarin décida d’augmenter le gasoil « pour raisons écologiques ». Toutes les recettes supplémentaires devaient permettre de développer de ferroutage et les véhicules propres.
Octobre 2007, à quoi ont servi ces 3 centimes d’euros le litre supplémentaires ? Des véhicules propres ? A part la Prius de Toyota, au prix bien peu écologique pour le porte-monnaie, très peu. Ne parlons pas du ferroutage. Mais voilà, les taxes eurent augmenté à l’époque. Et comme c’était pour la bonne cause écologique, chut ne disons rien : protéger la planète demande privations et sacrifices…

Le Grenelle de l’Environnement accouche donc de cette idée révolutionnaire : faire payer, une fois de plus, l’automobiliste. L'enemi désigné de la planète. Notamment via une vignette écologique, et la taxe carbone chère aux Nicolas Hulot et Sarkozy (augmentant le carburant de 10 centimes le litre). Des éco-taxes dont personne ne devra se plaindre : politiquement incorrect malheureux ! Toi, automobiliste moyen, français moyen, tu paieras pour sauver la planète ! Les transporteurs et autres professionnels de la route continueront à payer l’essence moins chère, les entreprises continueront de se voir exonérer de taxes sur les carburants, mais nous, toi, moi, nous, non. C’est nous qui allons sauver la planète… (aux armes citoyens comme dit la chanson…)
Le pompom de la pomponette, c'est que, d’après les informations ce matin, ces éco-taxes financeront des "baisses de charges pour les entreprises"… Encore une fois, c’est toi et moi, couillons moyens, qui sommes les pollueurs à abattre et qui devont sauver le monde par notre porte-monnaie...

J’en ai marre que ces « bons sentiments » permettent d’aller, une nouvelle fois, ponctionner le français moyen. Le ferroutage, qui peut s’y opposer dans l’idée ? Ca coûte 3 centimes de plus par litre au gars qui va bosser… 5 ans après néanmoins, on peut se demander l’efficacité d’une telle mesure, mais ce serait presque politiquement incorrect. Là, on nous demande un nouvel effort, pour « sauver la planète »… Qui oserait être contre, sous peine d’être taxé d’égoïste ?

Allons plus loin dans mon raisonnement, dans ma colère du jour. La canicule fait un carnage sanitaire en 2003. Parce que les pouvoirs publics étaient absents et totalement dépassé. Résultat ? Pour « la solidarité entre les générations », vous, salariés, travaillerez un jour de plus gratuitement. Pour vos aînés. C’est beau comme du Brassens… Dans le même genre d’idée, le cancer et Alzheimer sont des fléaux. Mais peut on quand même contester cette idée de franchise sur les dépenses de santé qui, une nouvelle fois, frappera le français moyen ? Même si est mis en avant une cause oh combien légitime, et qui personnellement me tient à cœur ?

Une cause qui mettra tout le monde d’accord, et derrière des mesures franchement contestables, je n’aime pas cette politique. Trop de mort sur les routes ne valident pas, à mon sens, cette frénésie policière quand les gens rentrent du travail sur des "zones pièges". La défense des droits d’auteur et de la création n’autorise pas ces nouvelles taxes sur les supports numériques, mettant les prix en France largement au dessus des moyennes européennes. Et la sauvegarde de la planète n’implique pas forcément cette culpabilisation du quidam moyen par cette demande nouvelle de sacrifice.
Surtout que pendant que la vignette sera mise en place en France, les voitures étrangères continueront de polluer. La Prius ne verra pas son prix baisser. Et les entreprises américaines et chinoises continueront de fumer.
Mais le français moyen aura fait sa pénitence : le monde est sauvé. Pour combien de temps ?

PS : j’aime bien la photo de mon ancienne voiture… Ma ZX d’époque, acheté en 98’, pendant la coupe du Monde. J’en ai fait et connu, des choses avec elle… Dans l’ensemble, des belles choses. Dans le coffre, le chargeur CD qui ne jouait pas encore du Kajiura… Et à coté, l’ancienne voiture de mon papy, qui mourra un jour d’hiver 2003’ sur le parking de l’usine à mon papa… Quand le Rhône déborde, il ne fait pas dans le sentiment. J’ai eu un peu de peine quand même…

Grenelle environnement : une juste cause permet elle n'importe quoi ?

En Septembre 2003, le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin augmente le gasoil de 3 centimes d’euros le litre. Après avoir mis un terme à la TIPP flottante, cette bouée d’oxygène pour le portefeuille du pékin moyen, Raffarin décida d’augmenter le gasoil « pour raisons écologiques ». Toutes les recettes supplémentaires devaient permettre de développer de ferroutage et les véhicules propres.
Octobre 2007, à quoi ont servi ces 3 centimes d’euros le litre supplémentaires ? Des véhicules propres ? A part la Prius de Toyota, au prix bien peu écologique pour le porte-monnaie, très peu. Ne parlons pas du ferroutage. Mais voilà, les taxes eurent augmenté à l’époque. Et comme c’était pour la bonne cause écologique, chut ne disons rien : protéger la planète demande privations et sacrifices…

Le Grenelle de l’Environnement accouche donc de cette idée révolutionnaire : faire payer, une fois de plus, l’automobiliste. L'enemi désigné de la planète. Notamment via une vignette écologique, et la taxe carbone chère aux Nicolas Hulot et Sarkozy (augmentant le carburant de 10 centimes le litre). Des éco-taxes dont personne ne devra se plaindre : politiquement incorrect malheureux ! Toi, automobiliste moyen, français moyen, tu paieras pour sauver la planète ! Les transporteurs et autres professionnels de la route continueront à payer l’essence moins chère, les entreprises continueront de se voir exonérer de taxes sur les carburants, mais nous, toi, moi, nous, non. C’est nous qui allons sauver la planète… (aux armes citoyens comme dit la chanson…)
Le pompom de la pomponette, c'est que, d’après les informations ce matin, ces éco-taxes financeront des "baisses de charges pour les entreprises"… Encore une fois, c’est toi et moi, couillons moyens, qui sommes les pollueurs à abattre et qui devont sauver le monde par notre porte-monnaie...

J’en ai marre que ces « bons sentiments » permettent d’aller, une nouvelle fois, ponctionner le français moyen. Le ferroutage, qui peut s’y opposer dans l’idée ? Ca coûte 3 centimes de plus par litre au gars qui va bosser… 5 ans après néanmoins, on peut se demander l’efficacité d’une telle mesure, mais ce serait presque politiquement incorrect. Là, on nous demande un nouvel effort, pour « sauver la planète »… Qui oserait être contre, sous peine d’être taxé d’égoïste ?

Allons plus loin dans mon raisonnement, dans ma colère du jour. La canicule fait un carnage sanitaire en 2003. Parce que les pouvoirs publics étaient absents et totalement dépassé. Résultat ? Pour « la solidarité entre les générations », vous, salariés, travaillerez un jour de plus gratuitement. Pour vos aînés. C’est beau comme du Brassens… Dans le même genre d’idée, le cancer et Alzheimer sont des fléaux. Mais peut on quand même contester cette idée de franchise sur les dépenses de santé qui, une nouvelle fois, frappera le français moyen ? Même si est mis en avant une cause oh combien légitime, et qui personnellement me tient à cœur ?

Une cause qui mettra tout le monde d’accord, et derrière des mesures franchement contestables, je n’aime pas cette politique. Trop de mort sur les routes ne valident pas, à mon sens, cette frénésie policière quand les gens rentrent du travail sur des "zones pièges". La défense des droits d’auteur et de la création n’autorise pas ces nouvelles taxes sur les supports numériques, mettant les prix en France largement au dessus des moyennes européennes. Et la sauvegarde de la planète n’implique pas forcément cette culpabilisation du quidam moyen par cette demande nouvelle de sacrifice.
Surtout que pendant que la vignette sera mise en place en France, les voitures étrangères continueront de polluer. La Prius ne verra pas son prix baisser. Et les entreprises américaines et chinoises continueront de fumer.
Mais le français moyen aura fait sa pénitence : le monde est sauvé. Pour combien de temps ?

PS : j’aime bien la photo de mon ancienne voiture… Ma ZX d’époque, acheté en 98’, pendant la coupe du Monde. J’en ai fait et connu, des choses avec elle… Dans l’ensemble, des belles choses. Dans le coffre, le chargeur CD qui ne jouait pas encore du Kajiura… Et à coté, l’ancienne voiture de mon papy, qui mourra un jour d’hiver 2003’ sur le parking de l’usine à mon papa… Quand le Rhône déborde, il ne fait pas dans le sentiment. J’ai eu un peu de peine quand même…

Première photo, devant la cheminée

Je parlerai demain du Grenelle de l'Environnement... (sérieux, des choses m'ont bien échauffé...). Mais ce soir, première photo prise avec mon nouvel appareil photo.
Pour l'instant, je trouve le Panasonic TZ3 moins ergonomique que le Kodak... Mais aprés 5 ans avec une marque, il faut un temps d'adaptation : normal.

Photo de votre cher serviteur devant sa cheminée, un verre de Lirac (Domaine Beaumont) à la main. Et France Football de la semaine dernière. Oui, c'est une pose que j'ai prise : mon salon n'est pas comme ça. Et oui, demain j'irai dehors jouer avec l'appareil photo, mais ce soir il pleuvait.
La pluie qui donnait plus de force au plaisir de boire du vin devant la cheminée...

(maintenant, comment avoir une connection PC optimale ? on verra demain...)

Première photo, devant la cheminée

Je parlerai demain du Grenelle de l'Environnement... (sérieux, des choses m'ont bien échauffé...). Mais ce soir, première photo prise avec mon nouvel appareil photo.
Pour l'instant, je trouve le Panasonic TZ3 moins ergonomique que le Kodak... Mais aprés 5 ans avec une marque, il faut un temps d'adaptation : normal.

Photo de votre cher serviteur devant sa cheminée, un verre de Lirac (Domaine Beaumont) à la main. Et France Football de la semaine dernière. Oui, c'est une pose que j'ai prise : mon salon n'est pas comme ça. Et oui, demain j'irai dehors jouer avec l'appareil photo, mais ce soir il pleuvait.
La pluie qui donnait plus de force au plaisir de boire du vin devant la cheminée...

(maintenant, comment avoir une connection PC optimale ? on verra demain...)

Dernière course de la saison le soir , à Roquemaure ?

Je n'ai pas de problèmes particuliers avec le changement d'horaire. J'aime les saisons. J'apprécie de savoir que Novembre arrivant, il fera nuit quand je quitterais mon bureau. Et que je me mettrai devant une télé jacquetant soit la Star Academy, soit le match de foot du dimanche soir 18 heures, avec la nuit dehors, ma robe de chambre, mon whisky. J'aime savoir que Mars finissant, une deuxième journée s'offrira à moi en rentrant le soir chez moi, avec cette luminosité particulière qui, du jour au lendemain, annonce l'été. Quand j'étais étudiant, les beaux jours lyonnais où le soleil se couchait plus tard.
J'aime les saisons. Et j'aime le passage à l'heure d'hiver, avec tous les sentiments qu'elle m'apporte. Le sentiment d'être l'enfant qui voit les vacances de la Toussaint et Noel se rapprochés. Ou l'hiver et le froid partir, six mois plus tard.

La mélancolie est une seconde nature chez moi. Ce soir, je suis allé courrir en rentrant du bureau. De 17h45 à presque 19 heures. Je n'avais pas d'appareil photo avec moi. Demain, je recevrai mon Panasonic TZ3 à grand angle qui remplacera le Kodak qui a fait son temps. Et je voyais, le long des jardins de l'Ile, à Roquemaure, le soleil se coucher derrière "la plaine", derrière l'autoroute qui avait vécu le drame de Juillet 1995'.
La photo aurait été sublime si j'avais eu un appareil photo. Je n'avais que de la musique dans les veines. Hyde ou Lama, je ne sais pas quelle chanson passait à ce moment là. Mais à ce moment, j'étais comme Saiga de Speed Grapher ou Yorito de Sola, j'avais cette envie folle d'avoir un appareil photo dans les mains pour immortaliser ce ciel de braise, au delà de ces vignes. Mais non, j'ai continué de courrir dans ce coin assez superbe de Roquemaure, dont je propose ici quelques photos qui datent d'il y a une quinzaine de jours.

Dans quelques jours, de ces heures là, il fera nuit. Je pense que je ne courrais plus, du moins pas sans mon polaire, peut être dessus une veste réfléchissante. Je ne sais pas. J'aurais sans doute toujours Kenji Kawai ou Raphael dans les oreilles. J'aurais plus froid aussi...

Bien sur, ma tendance serait de faire un bilan de cette saison écoulée. Qui m'a vu revenir à Roquemaure. Chez moi. Vraiment chez moi ? Je n'en ai pas, ou plus, cette impression. Je me fabrique une nouvelle vie, une nouvelle époque, mais non, je ne me sens pas vraiment ici "chez moi". Ni ici, ni dans mon village d'enfance qui a donné le pseudonyme qu'aujourd'hui je porte.
Quand je monte à Lyon, je ne me sens pas chez moi non plus. Ni chez ma belle famille, le Forez, ce n'est pas ma région. Marseille alors ? J'avoue m'y sentir bien, comme quand je vais à Nimes. Mais non, ce n'est pas chez moi non plus... Je n'ai pas à me plaindre, je ne suis pas un déraciné, et je sais sur quelles tombes me reccueillir : elles ne sont pas bien loin. Mais quand même...
Ce sentiment de solitude qui, par moment, plus en ce moment, m'étreint, peut être provient il que mon retour est en fait une arrivée. Et qu'il faut que je l'accepte comme ça. Bon, vous avez raison : passons...

En rentrant de courrir, j'ai passé un coup de fil à une ami "de web". De ma deuxième période "Saint Seiya". Celle aprés les historiques, mes ami(e)s. Et mes douleurs. Celle où Falconhill existait déjà (peut être était ce l'éphémère Fab30 ?). Cette amie, prof de français, vient d'être muté. Toujours pour rester dans une drole (malsaine ?) de mélancolie, c'est dans le pays de Gex, à Divonnes les Bains, qu'elle a été mutée. Elle voit le Mont ventoux. J'avoue qu'elle voit aussi un paysage que j'ai vu, peu, mais qui m'a laissé un souvenir impérissable. Et une douleur qui reste malheureusement vivace...

Et puis au final, il y aura eu ce Marseille - Porte, en League des Champions. Marseille aurait mérité 100 fois de perdre, mais le courage (et la réussite) auront donné un point au club de mon coeur. J'en suis ravi. En plus Marseille reste en belle position pour une qualification en huitième de finale de League des Champions, j'en serai ravi...
Et en plus, la soirée fut bonne. Avec mon ami vigneron préféré, et un de mes anciens supérieurs hiérarchiques maintenant responsable de sa société, et bon collègue et ami. Quelqu'un avec c'était (et ça reste) sympa de passer de bons moments, et de travailler (quelqu'un qui fait que le monde professionnel n'est pas que l'antre du Diable...).

Je ne cache pas que la soirée a encore joué avec ma fibre nostalgique. Soyons clair, j'ai trop le coeur, en ce moment, pour ne pas laisser suinter cette fibre qui m'ennuit, mais me fait me souvenir. Et j'aime me souvenir, car souvent ceux sont de bons souvenirs. Gex était un de mes plus beaux souvenirs, même si la suite me provoque encore des cauchemars plus de 5 ans aprés...
J'ai une mémoire auditive, même si une oreille ne fonctionne plus trop. Ma madeleine de Proust, c'est l'oreille. Souvenir assez récent : un animé que j'ai vu fin Mai, arrivant de peu dans ma maison roquemauroise. Cette musique est une chanson tirée du dessin animé Utawarerumono. Je l'avais vu en Juin, j'avais adoré Utawarerumono... cette chanson (Romy, la chanson marche), elle m'évoque cette période bien sur. Mais aussi les premières chansons japonaises entendues en 2000. Sans doute quand je suis monté à Gex, il y en avait dans mon autoradio CD. Quand je suis monté à Saint Chamond 4 moins plus tard, et quelques kilos en moins, je suis sur qu'il y en avait. Des tristes, pleines de mélancolie : celles tirées de Kenshin, Escaflowne, Evangelion, sont pleines de larmes et de sensibilités.
Moi elles me touchent.


Allez, c'est tard. je parlais de courses à pied sous soleil couchant, j'ai fini sur des dessins animés japonais. Au dodo. Marseille a bien joué. Demain j'ai du boulot. La vie continue, toujours. Jusqu'au prochain changement d'heure, et bien longtemps aprés...

Ca tourne plus rond

Bon, j'ai trouvé cette petite image, occasion de poster un peu par ici aussi ... ces derniers mois ont filé à une vitesse hallucinante, entre mon nouveau boulot qui me fait veiller a des heures indues et ma petite personnalité qui me pousse à continuer a vouloir vivre le jour... je me retrouve souvent à genoux !M'enfin, aujourd'hui je m'accorde une petite pause internet et vient de trouver cette

Book Review: Value Acceleration


The central contention of Value Acceleration: The Secrets to Building an Unbeatable Competitive Advantage by Mitchell Goozé and Ralph Mroz comes down to three points: 1) virtually every functional discipline in the modern organization (accounting, engineering, production etc.) is now run using established processes; 2) marketing and sales organizations are broken because they lack such processes; 3) companies can create an "unbeatable" competitive advantage by incorporating an overarching sales and marketing process, borrowing principles from the manufacturing realm.

Goozé and Mroz argue that marketing (defined as the entire process of determining customer needs, guiding product development based on customer and competitive intelligence, promotion and sales) is the central function of every company—it aligns marketplace needs with the organization's core competencies. Therefore, "An integrated-process model and objective management methods to manage that process lay the foundation for realizing the potential of marketing/sales."

The authors make a compelling case—up to a point. Particularly on the product management side of marketing, many organizations struggle to implement effective practices, or have reasonably solid product management processes but lack integration with the promotional end of marketing. In the words of the authors, "The "front-end" marketing skills—such as positioning and opportunity identification—and the "integrative" marketing skills—such as integration with product development, sales and corporate strategy—are not well understood." Getting the "front end" of marketing right us crucial because, to cite one example used in the book, "80% of HP's and Canon's revenue comes from products less than two years old."

Among the book's highlights:

- "Competitive advantage, therefore, goes only to the risk takers—to those who pioneer useful new management techniques." That may well be true, but small businesses constitute the bulk of the American economy (and many others) precisely because as companies grow, they tend to become more risk-averse.

- "Among all corporate functions, marketing alone has the distinction of not having a well-defined process by which it is practiced." The authors propose a promising answer: an overarching product-management-promotion-sales process based on a "customer manufacturing system" and borrowing principles from manufacturing, such as constraint analysis, continuous improvement and lean thinking.

- "Why is there no well-accepted marketing process today? The first and most obvious answer is that there isn't even a common answer to the question `What is marketing?' Ask 100 managers and marketing practitioners to define marketing and you'll get 150 different answers." There is no overall process because there is no common definition.

- "There is no consistency [in marketing processes] over time or across products." This shouldn't come as a surprise, given that the average tenure for a CMO is less than two years (optimistically; I've seen figures closer to 18 months). While that's enough time to install a process, it's not enough to really establish it as part of the organizational fabric. This presents a chicken-and-egg question: are CMO tenures so short because they don't implement effective, overarching marketing processes, or are such processes rare because corporations chew through CMOs too quickly?

- "[A common problem is that] too much attention is paid to gaining new customers, to the detriment of existing customers...There [is] a strong likelihood that [companies lose] existing customers to the competition while...working hard to attract replacements."

- As familiar as that last point likely sounds, this one will probably resonate even more with most marketers: "If you ask sales people where the constraint or bottleneck is in your marketing/sales process, we find the answer is invariably in only one of three areas: 1) Your prices are too high; 2) They need more leads; 3) They need more new products or services. In our experience working with companies to identify the actual constraint, this is rarely where the constraint actually lies." Ouch!

- "A set of sales activities not organized into a process is nothing more than a chaotic, random group of events. The inevitable outcome—surprise!—is a chaotic, random group of results...The only way to 'manage' or 'improve' a sales function that is not process-driven is to swap out sales people and hope for better results. Sound familiar? That's the way many sales organizations are run."

Although the central message of the book is compelling, I do have several issues both small and large with the book. Among the small issues:

- The overall tone of the writing is dryly academic, and could have benefited from a lighter treatment in places (though in fairness, the authors do quote Yoda at one point). Here's a sample: "Using a causal modeling technique known as structural equation modeling (SEM) or pathway building combined with constraint theory, it is possible to obtain correct results from this approach using a widely applied set of questions." Whew, doesn't exactly roll off the tongue.

- PR is NOT a lead generation activity; it's about awareness and credibility building.

- The proofreading is sloppy in spots. Example: "Clearly spelled out in these of processes is a detailed list marketing responsibilities at each phase from a product development perspective." Huh?

And among the large issues:

- "A useful process model...defines the information flows between the elements and sub-elements of the process; thus ensuring that marketing/sales is an integrated function, and that the information it operates on is complete and accurate." Because the authors use manufacturing practices as a model for marketing, they sometimes seem to lose sight of the fact that marketing deals with people, not parts. Yes, anyone can theoretically make the right decision given complete and accurate information, but getting such information is more challenging than the authors concede. Unlike production parts, people bring biases, assumptions, and other mental baggage to the process, so the trick is to be able to make good decisions based on information that is fundamentally BAD (my acronym from my competitive intelligence days for "best available data"), with recognition that the information at hand will always be less than "complete and accurate."

A further complication here is that human behavior is much more complex than the physics of manufactured parts. If I perform operation A on part B in the prescribed fashion, over and over, I should get pretty much the same results (within tolerances). But the same ad campaign can produce radically different results from week to week based on seasonality or just random factors.

- The authors' description of the dysfunction of most marketing departments (they devote an entire chapter to this!), while containing many valid criticisms, is a bit overdone. While their central contention—the marketing discipline in general lacks an all-encompassing process framework, and could benefit greatly from having one—is valid, few marketing departments in quite as bad shape as the authors describe. The lack of an overarching process certainly doesn't mean that there are no processes in place, or that management techniques from the manufacturing world, such as continuous process improvement, can't be or aren't already being applied (having started my career as an industrial engineer before moving over to marketing, I was applying this approach an ERP company a decade ago).

- In their discussion of misalignment between selling and buying processes, the authors write, "End-of-the-period purchase incentives are another common misalignment...you are training your customers to expect an incentive. As we write this, the U.S. automobile industry has been running "incentives" for so long, that most customers won't buy a car without one any more."

While the observation that car makers could optimize their profitability by ceasing to offer incentives may be true in theory, in practice they have created for themselves a "prisoner's dilemma"—they could all make money by dropping the incentives, but any single manufacturer that tried this would quickly lose business to those who continued the practice. The authors provide no answer to this quandary.

- The chapter on "Breakthrough Thinking in Sales" is the weakest in the book. The authors advise sales people to "Map your customer's buying process. There is no step 2. Now you can stop selling and start making customers." There are (at least) three problems with this approach:

1) Customers are most likely to have established buying processes in place for frequently purchased items, where the roll of sales is primarily to act as an order-taker, not true "hunting."

2) Different customers have different buying processes: small companies buy different than large ones, public companies may have different processes than private firms, and government agencies purchase differently from private sector organizations. Practices may also vary by industry. If there are a dozen (or more) different buying processes to model depending on any variety of factors, is there really a "process" to mirror at all?

3) For infrequently purchases products and services, or entirely new offerings, there is no established buying process in place to reflect. Sales people require the skills to guide the customer through the purchase.

- The authors emphasize continuously throughout the book the importance of solid product management in designing the right products for your market. Yet, despite the one example cited to the contrary (an odd one at that—IBM, the company that famously missed the PC revolution, which was launched by two guys in a garage), large and even midsized companies rarely introduce truly new products. They are very good at developing incremental improvements, but the aforementioned risk-aversenss of larger organizations make them ill-suited to designing entirely new products. These are most commonly created by visionary entrepreneurs in small companies willing to risk everything to bring an idea to life. As noted above, the personal computer wasn't invented in large company; neither was online music distribution (which the record companies were too short-sighted to capitalize on; that took the work of a 19-year-old), online video sharing (YouTube) or a host of other innovations.

- Finally, there is this: "This book has been about both the necessity of process management and about the need for a process model of the corporation's single most critical, non-out-sourceable function: marketing/sales." [Emphasis mine.] Whoa, while product management may be very difficult to outsource, the notion that marketing can't be outsourced would certainly be news to the 3,000+ marketing agencies in the U.S. (and many more around the world). And if sales can't be outsourced, how does one explain the existence of brick-and-mortal retailers, ecommerce companies, wholesalers, distributors, VARs and other external sales channels?

Still, despite its flaws, Value Acceleration: The Secrets to Building an Unbeatable Competitive Advantage presents a compelling case for, and a useful description of, a unified marketing/sales process model that could benefit many companies. It deserves to be read, if sometimes with a dash of skepticism, by every CMO, aspiring CMO, and marketing executive, as well as non-marketing executives who want to understand why marketing and sales sometimes seem like dysfunctional, disorganized parts of the organization—and what can be done to fix the problem.

Other blog reviews of this book:

Six Sigma Blog
Meaningful Marketing

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Contact Tom Pick: tomATwebmarketcentralDOTcom

Revue de presse, et journée de la glande.

J'ai toujours froid. Avant de me remettre au boulot, ballade sur Internet, et ma revue de presse. Je cherchais, à vrai dire, sur quelques sites d'actualité bien "comme-il-faut", à savoir si "la journée de la glande" était relayée. Cynique ma démarche ?

Le Figaro n'en parle visiblement pas. Il présente par contre un sondage, "utilisez vous Internet au bureau à des fins personnelles ?". J'ai répondu "oui". Comme 75% de personne à l'heure où j'écris ce billet. Je ne juge pas de la fiabilité des réponses...
Sur le site du Monde, rien non plus sur cette journée. Par contre, deux billets ont retenu mon attention. Suite aux suicides chez Renault cet été (j'avais écris ce billet...), un article sur un rapport jugeant les troubles psychosociaux élevés au technocentre de Renault. J'ai un ami de promotion qui y travaille... En lisant cet article, j'avoue me sentir davantage éloigné des préoccupations de certains syndicats voulant reconduire la grève de jeudi dernier. Il me semble que la santée (morale) des salariés, et leurs conditions de travail, est un sujet important. La défense des retraites également. Mais j'accorde plus d'importance aux conditions de travail des salariés (dans leurs ensemble) qu'à la sauvegarde du régime de 2% des salariés de ce pays, c'est vrai (je confesse...)

Un autre article assez édifiant sur le désengagement des cadres du privé dans leur travail. Quand je vois la manière dont j'ai été traité dans une autre vie, et dont ont été traités certains autres cadres, je comprends qu'on ait moins envie de se prendre des coups pour permettre à un grand directeur de payer une Audi TT à sa femme à Noel. Simplement, le management doit se faire, théoriquement, en respectant et en valorisant le travail de tout le monde. Cadres et uvriers inclus. Quand Sarkozy dit que toutes les strates de la société qui produisent des richesses doivent recevoir le fruit de leurs travail, ça parait logique... Les incantations, c'est bien, quoiqu'un peu fatiguant à la longue...

Je suis allé sur l'Usine Nouvelle, sur le Point, le Nouvel Obs, l'Express (je ne mets pas les liens, c'est chiant et bon...), le Parisien, rien... Par contre, ça parle de Gauthier-Sauvagnac... (soupir)
Sur l'Equipe et FranceFootball, j'ai cherché, de plus, une réaction de JM Aulas au match Lyon-Monaco. Lyon a littéralement volé ce match via des erreurs d'arbitrage flagrantes et un plongeon magistral de Govou. Mais là, non... Silence d'Aulas. Ah ? Bon...

Je suis même allé sur le site de Libération (si...). Je n'ai même pas trouvé la page économie du journal. Bon...

Je n'ai pas été exhaustif. Sans doute sur des sites d'actualité alternatif, j'en aurais lu deux trois mots. Mais rien sur ces "gros". Tant pis.
De toutes manières, je trouve ce type de journée totalement idiote, presque insultante. Travailler, cela n'a rien d'infamant. Et etre efficace et "rentable", ce n'est pas démoniaque. C'est bien de produire un peu de richesse, pour la société, pour soit même. Aussi pour les deux trois qui jouissent de notre travail tout en haut, bien sur...
Allez, j'ai froid. Mais j'y retourne. Mon café est fini.

Froid. Déjà...

Le Mont Ventoux. Géant de Provence.

Pourquoi cette photo qui date de l'an passé ? Parce qu'elle est belle et qu'elle me plait. En outre, elle me permet l'occasion d'un modeste billet dans ce blog qui n'atteint pas forcément des sommets hautement intellectuels. Simplement les sommets de ma région, ceux dans lesquels j'aime à me ballader.

Cette photo aussi, prise en décembre de l'an passé, parce qu'elle m'évoque ce froid sec et venteux qui déferle en ce moment en basse vallée du Rhone. 12°C au milieu de l'aprésmidi, c'est encore supportable. Sauf que déjà, mes modestes membres pas si frèles que ça n'en peuvent plus : je n'aime pas le froid, je le crains. Hyoga n'est pas mon ami.
Et lorsque les bureaux de là où je travaille n'ont pas encore les chauffages en route, je souffre. Physiquement. Moralement, ce n'est pas ça qui m'atteint en ce moment.

Donc pendant que je parle chevalier du cygne et montagne provencale, je ne disserte sur rien d'autre. C'est vrai. Laporte est ministre, et je m'en fous. Guy Mocquet a fait polémique aujourd'hui à l'école ? Je trouve l'attitude de certains professeurs aussi ridicule que n'était infantile la décision présidentielle de mettre en avant une lettre qui avait ému le Roy de l'Elysée. Les syndicats de la focntion publique veulent remettre le couvert ? Je remarque que le mien n'en fait pas parti. Peut être a t'il suffisament d'autres sujets, plus sérieux, à s'occuper ? Je l'espère, sans trop y croire à vrai dire...
Donc comme je n'ai rien à dire, je parle météo, et je regarde le ciel, et le Ventoux. Pas brillant le Faucon : il devrait aller se coucher...