Lectures et reflexions de la semaine (3)

Dans quelques instants, je pars. Inauguration d'une crèche, dans le doux village de Saint Laurent des Arbres. Ma communauté de communes, et le tout modeste vice président que je suis est invité à l'inauguration. J'embrasserai de la part de mes copains copines bloggueurs la secrétaire d'Etat Nadine Morano qui vient nous faire un coucou et couper le ruban.

Mais avant cette inauguration, et mes deux semaines de vacances derrières, les trucs lus sur les blogs que j'ai aimé cette semaine. En version rapide.

* Hypos commence en force par ce constat : ils ne s'arrêtent jamais... D'être bêtes, ridicules, indécents... Et nous de bosser en silence...
* Authueil qui nous fait un résumé de l'histoire de la femme qui a dit non. Je ne supporte pas ce que l'on fait subir à Rama Yadé. Pas en République. En monarchie oui, mais pas ici. Très bon billet du très pertinent Authueil ;
* Toréador nous parle du fin cocktail Darcolov. Echo à mon modeste syndrome grec, qui fait qu'un papillon à Athène provoque un séisme Rue de Grenelles à Paris. Et confirmation qu'une jeunesse manipulée par une frange politique pas animée des meilleures intentions républicaines, c'est profondément détestable. Du bon Toréador... ;
* Sur le même sujet, l'ami des vaches traite de la menace de l'allumette. Pas de proposition, seulement montrer qu'on a une plus grosse que celui d'en face. Et après recevoir des leçons de tolérance, j'aime toujours autant ;
* Excellent billet de Rubin stugmatisant le nazislamise de Riouffol. A lire, rien à rajouter, débattez chez lui, il le mérite ;
* Et Chafouin qui nous offre le ponpon de la pomponette : l'Humanité qui défend le coté sacré du dimanche ! Rien que ça valait le coup de se lever cette semaine...

Sinon, Nicolas nous rappelle au bon souvenir de la crise économique. Séville que Lyon jouera Barcelone en Ligue des Champions, pour l'histoire et la légende.
Et je laisse le mot de la fin au chien Dalton, aussi fatigué que moi. Et que la douce Vanille qui finit mon billet.vacances, mais on se retrouve demain...

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