Les revues politiques dominicales semblent avoir changé...

A la une du jdd, François qui dépasse Nicolas. Ca devrait me satisfaire, François Fillon est un homme politique de ma tendance originelle, celle que l'on appelle "gaullisme social"... Mais bon, soit...
A la une du Parisien, François Fillon encore... On se demande si la mode serait pour lui. Et bon... C'est bien, heureux pour lui, même si je préférais le Fillon post 2000 à celui incolore et inodore de ce deuxieme semestre 2007, mais soit...

Par contre, la une de Closer (ni photo ni lien, pas trouvé, désolé...), montre vraiment le scoop politique. L'information capable de faire basculer les opinions et de changer la face du monde : que pense Cecilia de Carla, et vice versa ? Avec en accroche photo, l'ex et la nouvelle dans un merveilleux bikini deux pieces noir triangle...
L'évènement politique ? Ne cherchez plus, il est sur Closer.

Aprés ? Rien à dire, rien à redire. J'ai dis ce que je ressentais ici. Bernadette Chirac me manque, un peu beaucoup. Et cette image d'une certaine noblesse politique, qui rendait l'élu respectable, me manque. Pas plus à dire. C'est dimanche soir...

J'aurais pu parler football ce soir. J'ai aimé, hier soir, Cissé Djibril qui revient (j'ai toujours apprécié et soutenu Cissé), et les Girondins de Bordeaux de Laurent Blanc dont j'apprécie la solidité. J'apprécie de Laurent Roussey, qui représente tout ce que je hais (la trahison et l'ambition qui te fait poignarder celui qui t'a fait Prince), être en difficulté. Et j'ai apprécié une belle soirée de championnat, passée avec une pizza, de la salade, du rosé de Sérignan du Comtat, et une chouette fille qu'on aime beaucoup.
J'aurais pu parler enfin de Roquemaure, de cette politique qui oblige à des choix personnel. J'aurais parler de Luc, dont le billet quotidien m'a sincérement et profondément ému. Mais la prochaine fois.
Quand on se pavane sur les belles rues de la République dans un affriolant bikini d'ébène, il n'y a rien d'autre à dire. Sinon essayer de rappeler des Charles, des Georges, des François, et dire à leurs esprits de vite revenir, parce que je ne sais pas où on va, mais je crains la violence du choc.

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