En travaux, encore

On déménage dans une semaine. Ce soir, devant des pizzas, du rosé, et un match de foot pénible à souhait, dernier week-end à Sérignan du Comtat. Dans 7 jours, pas plus, pas moins, nous boirons je sais pas... Un grand Médoc, un ChateauNeuf du Pape peut être... Bref, une bouteille dont le prix est à deux chiffres, dans des grands verres. Avant, nous aurons fait un apéritif au Champagne. Et encore avant, on aura transporté des meubles d'un département à l'autre, de part et d'autre du Rhône.

Mais aujourd'hui, c'est le chantier. Isolation qui se met, radiateur à peindre. Peinture sur les murs aussi. Des lignes électriques supplémentaires à tirer : je suis gourmand en électricité.

Et en attendant pour ne pas ajouter à la coactivité de chantier, j'ai fait du jardinage. Là, c'est moi qui ote la vie et l'existence à un arbuste certe mignon, mais qui m'empechait de bien garer sa voiture (hommage à Francis Cabrel). Et j'ai taillé des haies aussi. Demain, je couperai des cyprés s'il fait beau.

Bref, c'est le chantier. Pendant ce temps, l'extreme gauche dit que ce n'est pas un drame de violer la loi et que la police est fasciste. Sarkozy dit que la gauche est le parti des délinquant. Royal dit que c'est la droite qui fabrique les délinquants. Et chacun de jouer un jeu ridicule. Se souviennent ils que Le Pen est tranquillement arrivé y a cinq ans au deuxieme tour ? Bah, la leçon ne suffit pas ? Tant pis, "on renverra les gens pleurer dans les rues"... Mais coté remise en cause, non, rien. On reste bêtes et caricaturaux.
Sans prendre en compte le fait que les seuls responsables du 21 Avril et du 29 Mai, les seules causes, c'est "eux". Mais non, continuons à faire la magie noire, à appeler le diable en jouant à quatre aprés minuit à appeler les esprits autour d'une table basse et ronde. Les conséquences ? On pleurera, on oubliera. Tous nuls, tous. Même Bayrou. Tous.

Vu ce niveau (général) minable et franchement petit (tout petit, et encore j'ai souhaité ne pas trop entendre Hollande, ma santée reste fragile), je préfère jardiner dehors. Pour la bonne cause : la mienne. Et j'en suis ravi. Et demain, on retourne au boulot. Là, je vais au lit.

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